Une dominatrice et son Esclave génétiquement modifié (3)

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dominatriceAlice, jeune dominatrice, choisit son esclave

Alice s’approcha de la baie vitrée et des cellules qui étaient derrière. A son arrivée, certains jeunes garçons levèrent timidement les yeux. Leurs pénis se mirent à gonfler doucement, puis à se durcir et à se dresser harmonieusement, pointant vers le plafond. Devant toutes ces bites dressées et tremblantes, Alice se sentit fondre. Cette jeune dominatrice avait envie de tous les acheter et d’en faire un gigantesque harem d’esclaves. Mais elle s’était fixé un budget à respecter et ne comptait acheter qu’un jouet. Peut-être plus tard déciderait-elle d’adopter un deuxième esclave, voire un troisième… Si le premier lui donnait entière satisfaction.

La femme marcha d’un pas lent, inquisiteur, longeant les cellules. Son regard s’arrêtait parfois sur un garçon particulièrement mignon. Finalement, après une inspection de plusieurs minutes, elle finit par arrêter son choix sur un jeune homme brun, fin et à l’allure athlétique, au visage absolument magnifique.

-Celui-là, dit Alice. C’est lui que je veux.

-Le numéro H-455 ? fit Sylvie. Vous avez du goût. Je vous le sors tout de suite.

Présentation de l’esclave

Sylvie sortit une télécommande de sa poche et appuya sur un bouton. Le filin plastifié accroché au mur se détacha et le sol de la cellule du garçon se mit à s’enfoncer dans la terre. Bientôt, l’esclave disparut tout à fait. Alors, avec un vrombissement, le sol devant Alice s’ouvrit et l’esclave en sortit, toujours agenouillé sur une plateforme métallique.

Sylvie se pencha en avant et lui ôta brutalement son bâillon pour qu’Alice puisse contempler son visage dans sa totalité. Elle lui retira aussi ses menottes et son collier.

-A quatre pattes, ordonna-t-elle à l’esclave d’un ton qui n’avait rien de doux ou d’amical. Présente nous ton cul, bien haut, et écarte les fesses !

Le jeune garçon obéit et dévoila son trou du cul à sa future propriétaire. Alice se pencha un peu et inspecta l’anus de son esclave. Satisfaite, et lui ordonna de se tourner et de lui montrer son pénis. Elle le caressa un peu et apprécia les légers gémissements que poussa le garçon lorsqu’elle le toucha.

-L’esclave est fourni avec du matériel, expliqua Sylvie. Il vous sera livré avec lui, directement à domicile.

-Quel sera ce matériel ?

-Trois colliers en cuir, dotés d’un système électronique permettant d’infliger des décharges électriques à volonté via une petite télécommande. Trois laisses de différentes longueurs. Une variété de gods et de godes-ceinture, de plusieurs largeurs. Des plugs. Un fouet, un martinet et une cravache. Et enfin, un gag-ball et un bandeau pour les yeux.

-Parfait. Quand recevrai-je l’esclave et le matériel ?

-Dans trois jours exactement, nous espérons que vous en serez satisfaite.

Livraison de l’esclave

Trois jours plus tard, Alice se réveillait à peine quand on sonna à sa porte. En chemise de nuit, encore ensommeillée et n’ayant pas pris son petit déjeuner, Alice ouvrit sa porte et trouva sur son pallier une jeune femme en uniforme, assez semblable à Sylvie mais plus vieille et aux longs cheveux blonds. A ses côtés se tenait l’esclave qu’Alice avait acheté. Il tenait dans ses bras un carton qui contenait sans aucun doute le matériel décrit par Sylvie. Il était déjà équipé du gag-ball, bien enfoncé dans sa bouche.

Alice eut à régler encore quelques détails administratifs et signer deux-trois papiers avant de pouvoir faire rentrer l’esclave chez elle.

-Souvenez-vous, dit la livreuse avec un grand sourire, officiellement votre esclave n’est pas un humain. Il bénéficie devant la loi du statut de simple objet. Vous êtes libre de lui faire subir ce que vous désirez.

Une fois que toutes les explications lui furent fournies, Alice ferma la porte et tira l’esclave jusqu’à son salon par la laisse qui pendait à son cou, elle-même fixée à un collier en cuir qu’on lui avait attaché autour de la gorge.

L’esclave était bien entendu totalement nu. Alice le fit se placer au milieu du salon et le contempla. Voilà, cette jeune dominatrice possédait un esclave. Un serviteur sexuel. Un jouet dont elle pouvait user comme elle le désirait, sans égard pour lui et ses sentiments. Elle aurait pu le torturer si elle l’avait voulu, rien ne le lui interdisait. Peut-être se ferait-elle plaisir de ce côté-là un peu plus tard.

Pour l’instant, elle avait des tas de choses à essayer.

-A genoux, ordonna-t-elle à l’esclave en adoptant un ton autoritaire et froid. Saches que ce sera désormais ta position de prédilection. Lorsque je n’ai pas besoin de toi et que je ne t’ai donné aucune tâche à effectuer, c’est comme ça que tu passeras le temps, c’est clair ?

Le jeune garçon hocha la tête, docile. Son gag-ball le privait de la possibilité de parler.

La dominatrice fixe les règles

-Je vais instaurer quelques règles de base tout de suite, afin que tu les aies en tête pour le reste de ta vie. Première règle : La seule façon de te déplacer qui t’es autorisée, sauf ordre particulier de ma part, est à quatre pattes comme un chien. Tu n’as pas le droit de te mettre debout ou de t’asseoir quelque part. Je considère que ces deux positions sont réservées aux humains. Deuxième règle : Il t’est formellement interdit de prendre la parole, sauf si je te l’autorise expressément.

Je te veux absolument silencieux, comme si tu étais un meuble. Si tu as quelque chose d’urgent à me dire, ou une question importante à me poser, agenouille-toi en face de moi et embrasse le sol pour me le signifier. Tu devras cependant attendre que je t’en donne l’autorisation pour t’exprimer. Troisième règle : Lorsque tu t’adresseras à moi, tu m’appelleras Madame. Rien d’autre, sauf si je te demande de m’appeler Maîtresse ou Votre Majesté dans le cadre de jeux de rôles sexuels.

Quatrième règle : Concernant tes repas, je te préviens tout de suite, je ne compte pas dépenser de l’argent pour te nourrir avec des aliments humains, sauf situations particulières pour te récompenser. Tu auras droit à deux repas par jour : Un le matin et un le soir. Je déciderais à ce moment-là de te nourrir avec mes odeurs corporelles ou mes fluides naturels, à voir. Cinquième règle : Tu feras tes besoins une fois par jour, le soir, sous ma surveillance.

Sixième règle : Tu t’en doutes bien mais il t’est formellement interdit de te masturber ou de prendre du plaisir d’une quelconque manière sans mon autorisation. »

Esclave Biscotte !

Alice, jeune dominatrice, fixa son esclave un moment. Il avait l’air de bien assimiler ce règlement.

-Ces règles sont définitives et ont peu de chance de changer, dit Alice. Enfreindre une de ces règles te vaudra une punition extrêmement sévère que tu n’as vraiment pas envie de connaître, crois-moi. On t’a peut-être entraîné à résister à la douleur mais je suis capable de choses que tu ne t’imagines même pas. Il m’arrivera de te faire souffrir pour le plaisir, mais sache que jamais cela ne s’approchera, en terme de pénibilité, des corrections que je te réserve en cas de désobéissance. Est-ce bien clair ?

Le garçon hocha la tête.

Alice sourit, un peu attendrie, et se pencha pour ôter le gag-ball de la bouche de son esclave.

-Désormais tu t’appelles Biscotte, dit-elle. J’avais un chien qui portait ce nom, il y a longtemps. Tu me le rappelles un peu. Tu répondras donc à ce nom, à partir de maintenant.

Voyant que l’esclave gardait le silence, Alice se rappela de la deuxième règle qu’elle avait fixée.

-Oh, tu peux parler à partir de maintenant et jusqu’à ce que je t’indique le contraire. Compris ?
-Oui Madame, compris.

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