Femme dominatrice et sadothérapeute ! (5)

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Retour à la maison de Maîtresse Soraya, femme dominatrice

 

Paul suivait Pauline en baissant la tête sur le chemin qui menait à l’entrée de la maison de Maîtresse Soraya, femme dominatrice et sadothérapeute. Elle sonna et leur hôte leur ouvrit la porte.

– Bonjour ma chérie, comment va ?

– Très bien, je t’amène ma larve.

– Ah très bien.

Paul resta debout immobile, les deux femmes se regardèrent.

– Cela fait deux fautes en 24 heures. Hier, il a contesté et ce jour, il oublie de te baiser les pieds. Tu en penses quoi ?

– La punition devra être sévère.

Paul s’agenouilla rapidement aux pieds de Maîtresse Soraya et il lui baisa les pieds.

Les deux dominantes se regardèrent avec un œil complice, la sentence était entendue.

Maîtresse Soraya prit entre son pouce et son index l’oreille de Paul et le traina ainsi jusqu’à l’étage. Elle le fit entrer dans une pièce dans laquelle divers objets étaient entreposés. Elle le poussa sur un cheval d’arçon et lui attacha les mains et les pieds aux quatre pattes de l’instrument.

– Ca va servir de table à fesser et tu vas voir Pauline, il sera bien plus docile et attentif après cette leçon de vie.

Maîtresse Soraya se saisit d’une longue canne qu’elle brandit devant sa future victime qui bredouilla des excuses qui firent éclater de rire les deux femmes.

– Eh bien, commençons.

 

femme dominatrice

 

Féssé avec une canne !

 

La canne s’abattit sur les fesses de Paul qui ne put s’empêcher de pousser un cri de douleur. Une légère marque rouge vint zébrer sa peau. Maîtresse Soraya recommença son geste une bonne dizaine de fois, les cris de Paul ne faisant que motiver ses actes. Son regard se durcit et la violence des coups redoubla malgré les plaintes du soumis. La femme dominatrice ne plaisantait pas, la punition était pour elle un acte de domination sans condition.

Elle arma son bras et avec une dextérité certaine, elle fendit les airs pour que le fouet vienne frapper le soumis. Sa sensualité à fleur de peau se magnifiait au fur et à mesure qu’elle bougeait. Sûre d’elle, directive, inflexible, elle abattait encore et encore, de façon rythmée ou pas, son bras. Complices, les deux dominas joignirent leurs efforts pour punir leur futur esclave.

– Tu sais Pauline, un soumis, cela se dresse, le dressage permet seulement de peaufiner la soumission selon des rituels préétablis. On dresse d’abord les soumis puis on les mate, comme des chiens. Ainsi, une fois matés, ils acceptent leur condition de soumis et ils sont à jamais soumis. Tu peux en faire ce que tu veux, esclavage, féminisation etc….

– Pauline acquiesça d’un œil complice à ce discours et à son tour son bras vint faire virevolter le fouet afin de marquer la chair, pourtant déjà bien meurtrie, de son mari.

 

A demeure chez Maîtresse Soraya le temps du dressage

 

Pauline ne broncha pas devant les cris de douleur de Paul. Un léger sourire vint illuminer son doux minois. Elle comprit à cet instant que son époux serait bientôt un soumis définitif, le traitement hypno-thérapeutique commençait à produire ses effets. Elle savait maintenant qu’il avait franchi le Rubicon du fantasme et qu’il était prêt à accepter cette nouvelle réalité, peut-être très proche de ses rêves.

Pauline s’empara à son tour de la canne et elle frappa plusieurs fois avant de laisser souffler la peau déjà sanguinolente de son conjoint. Elle arrêta son geste et s’approcha du visage de Paul. Ensuite, elle lui tira les cheveux afin de le regarder dans les yeux. Elle planta son regard bleu azur dans les yeux du supplicié et remarqua dans un sourire de satisfaction qu’il avait laissé échapper quelques larmes.

– Dorénavant, tu es mon esclave et celui de Maîtresse Soraya. Tu vas rester à demeure chez elle pendant le temps de ton dressage. Et tu vas voir, tu n’es pas au bout de tes peines. Compris ?

– Oui Maîtresse.

– On a dit combien Soraya ?

– Cent, je crois, deux erreurs égal deux fois cinquante.

– C’est cela, je termine alors.

– Bien sûr.

 

Acceptation de son sort de soumis !

 

Pauline continua sa dure besogne sans se soucier des cris de douleur de Paul. Ses fesses zébrées excitaient encore plus le bras de Pauline qui rajouta dix coups, pour le plaisir, affirma-t-elle.

Paul était épuisé par la douleur et lorsqu’elles le détachèrent, il s’écroula au sol, incapable de bouger.

– Viens Pauline, laissons-le se reposer et méditer sur son sort d’esclave en devenir. Revenons dans une heure. On lui posera alors la question fatidique.

Elles revinrent une heure plus tard, Paul s’était adossé au mur, l’intense douleur s’était estompée mais pas le souvenir. Maîtresse Soraya entra la première dans la pièce.

– Ah voilà notre bel esclave, encore un peu secoué je vois. Qu’en penses-tu Pauline ?

– Oui en effet, les marques ne sont pas que physiques visiblement mais c’est ce qu’il faut, c’est le métier qui rentre.

– Alors, la question fatidique que nous devons poser. A toi Pauline.

– Bien sûr. Dis-moi mon chéri, malgré ces petites vicissitudes, veux-tu toujours devenir le soumis de ton adorable femme et de son amie Soraya ?

Pauline saisit Paul au niveau des cheveux du dessus de son crâne et l’obligea à la regarder droit dans les yeux.

– Alors, j’écoute.

Un long silence s’ensuivit et Paul finit par répondre en marmonnant « oui » puis il baissa les yeux, devant sa femme dominatrice.

Les deux femmes triomphantes jubilèrent du regard et s’embrassèrent vigoureusement. Elles laissèrent Paul à terre et sortirent de la pièce.

– Tu vois Pauline, je te l’avais dit, le fantasme peut toujours devenir réalité, question de temps et de moyens.

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