La lopette et ses 2 dominas : un couple gynarchique (8)

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Week-end avec les 2 Maîtresses

Après cette nouvelle expérience forte, Laurent aurait bien soufflé un peu dans sa condition de lopette, car tout allait très vite, beaucoup plus qu’il ne l’avait imaginé dans ses rêves les plus fous. Mais évidemment ce n’était pas lui qui décidait de quoi que ce soit. Sa femme l’informa le lendemain de la suite des événements :

-Ce week-end étant un week-end prolongé, nous partons tous les trois, toi, moi et Maîtresse Zaïa. Ce sera l’occasion de faire une petite escapade, avec deux nuits à la campagne dans une chambre d’hôtes qui m’a l’air bien sympa.

Que lui préparait-on ? Qui devrait-il servir en priorité de ses deux maîtresses ? Devait-il désormais appeler sa femme Maîtresse Samia ? Serait-il à la hauteur des exigences de Maîtresse Zaïa, qui plaçait la barre de dressage très haut ?

Des questions sans réponse, mais le week-end arriva vite. Ne plus conduire lui manquait, mais il s’y était fait. Ils passèrent chercher maîtresse Zaïa et il dût monter à l’arrière.

-Une position qui te permettra de bien visualiser les deux femmes qui dirigent ta vie : avait dit Samia.

Dans la voiture, le temps du parcours, elles devisaient joyeusement sans s’occuper de lui :

-J’ai pris deux valises, dit Zaïa à Samia. Une pour moi et celle que j’appelle ma valise de domination de voyage. De quoi bien m’occuper de ta lopette de mari !

-J’ai hâte que tu me montres ce qu’elle contient, répondit Samia émoustillée.

-Nous allons passer un bon week-end tous les trois… reprit Zaïa avec un sourire.

Arrivée dans la maison d’hôtes

Laurent se gardait bien de participer à la conversation sans y avoir été expressément autorisé par sa femme ou sa Maîtresse. Mais elles continuaient leur conversation sans jamais s’intéresser à lui. Samia raconta à Zaïa sa folle nuit cette semaine, dans son double rôle de Maîtresse de son mari et d’amante passionnée. Maîtresse Zaïa dit apprécier cette prise d’initiative de celle qu’elle considérait désormais comme une collègue de domination et une amie.

Après deux heures de route, ils arrivèrent à destination. Une belle maison provençale, perdue au milieu des oliviers, qu’on gagnait par un long chemin de pierres. Ils furent accueillit par la responsable de cette maison d’hôtes, qui vivait seule dans ce lieu à l’écart. Seules Zaïa et Samia parlèrent à la patronne, ce qui au mieux laissait supposer que Laurent n’avait pas son mot à dire. Mais comme la patronne ne pouvait pas voir qu’il portait une cage de chasteté et la petite culotte de sa femme, elle jugea sans doute simplement que cet homme était bien discret, doublé d’un bon porteur de valises.

La maison comportait deux chambres d’hôtes à l’étage, la patronne les accompagna et avant de prendre congé dit :

-Vous serez bien ici. Le plaisir de cette belle campagne, le calme, pas de voisin proche, et en plus on n’entend pas les cris, sauf d’une chambre à l’autre…

Sur cette fin de phrase étonnante, elle s’était tournée vers Laurent. Celui-ci comprit que la patronne devait en savoir plus qu’il ne le pensait au départ sur la situation dans leur trio.

-Bon, je vous laisse vous installer tranquillement dit la patronne avant de redescendre.

La lopette dans la chambre de Maîtresse Zaia

Maîtresse Zaïa pénétra dans sa chambre et les masques tombèrent. Alors que Laurent s’apprêtait à suivre Samia dans la leur, Samia l’arrêta à l’entrée.

-Stop ! Toi tu ne vas pas là. Ta place est dans la chambre de Maîtresse Zaïa. Moi je veux pouvoir recevoir sans avoir un mari sur le dos tout le week-end !

-Au pied ! ajouta Maîtresse Zaïa, accompagné d’un geste et avec un regard sans équivoque sur le sérieux de l’ordre.

Laurent suivit donc sa Maîtresse et resta debout dans la chambre, déjà fort bien dressé pour un soumis de fraîche date et tout le mérite en revenant à Maîtresse Zaïa qui éduquait toujours ses esclaves jusqu’à les conduire à l’excellence. Il était déjà à l’écoute du moindre de ses ordres, une belle satisfaction. Mais on peut toujours trouver à redire sur son esclave quand on est une domina, ou même le punir par plaisir, sans motif. Là il y en avait un et elle entendait ne pas le laisser passer :

-Tu seras puni ma chienne pour t’être crue autorisée à pénétrer sans autorisation dans la chambre de ta femme. Pour que ton châtiment soit justement réparti, ce sera 50 coups de fouets par moi et 50 coups de cravache par ta femme, avant le dîner. Qu’est-ce qu’on dit ?

-Merci Maîtresse.

-J’adore quand tu me dis merci alors que tu sais très bien que je vais te corriger sévèrement ! J’aime te faire vivre dans la peur et te déstabiliser.

-Vous savez ce qui est bon pour moi Maîtresse.

Sous contrôle de sa femme et de sa Maîtresse

-Bon, je passe sur l’envie de doubler ta correction. Mais il faut que tu intègres le fait que tu es sous notre contrôle, ta femme et moi, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Donc aucun relâchement ne sera toléré. C’était une erreur grossière de rentrer dans la chambre de ta femme sans autorisation, comme si vous étiez un couple normal, il fallait rester sagement au seuil de la porte à attendre les ordres. Tu ne dois jamais prendre la moins initiative personnelle, c’est clair ?

-Oui Maîtresse, je pensais que…

-Je me fiche de ce que tu penses ! Tu ne dois jamais non plus donner ton avis sauf si sollicité par moi ou ta femme. Nous allons te déposséder de ta personnalité au fur et à mesure de ton dressage, et tu vas aimer ça. Dans quelques temps tu seras tellement conditionné par nous que tu cesseras de penser par toi-même, tu nous laisseras penser pour toi, en bonne lope soumise. Donc tu ne dois plus exprimer ton avis et tes désirs, tu ne dois même plus les imaginer, seulement servir tes Maîtresses.

-Je ne le ferai plus Maîtresse Zaïa, promis.

-De toute façon, je n’aurai de cesse de te corriger jusqu’à ce que tu perdes toute volonté. Rappelle-toi que jamais un homme ne m’a résisté, tu ne seras pas le premier.

-Oui Maîtresse, merci Maîtresse de m’éduquer.

-Et puis une dernière chose : ce n’est pas avec toi que ta femme souhaite dormir ce week-end, tu devrais t’en douter…

La lopette aux ordres de Maîtresse Zaia

Laurent avait certainement encore des accès de naïveté, car il ne s’en était pas douté. Mais Maîtresse Zaïa ne relâchait pas la pression et lui laissait peu de temps pour réfléchir. Les ordres s’enchaînaient les uns après les autres, il valait mieux obéir, et vite. Elle faisait déjà de lui tout ce qu’elle voulait mais restait sévère et exigeante pour lui interdire tout relâchement.

-Allez, déshabille-toi entièrement puis range mes affaires dans les tiroirs. Et fais des piles impeccables avec mes dessous ! Je veux te voir évoluer dans la pièce pour me servir, avec ta queue à l’air, bien contrainte dans sa cage. Moi je me prélasse sur le lit et je te regarde, c’est ma conception des rapports femme – lopette.

-A vos ordres, maîtresse.

Un peu plus tard, ayant tout bien rangé, Laurent se tourna vers Maîtresse Zaïa. Il bandait devant elle qui était voluptueusement allongée sur le lit. Dans sa robe bleue, elle était divine et le matait.

-C’est fait Maîtresse.

-Alors masse-moi les pieds, je ne te mène pas ici pour te reposer.

-Oui Maîtresse.

-Je suis flattée que tu bandes sur moi mais ta femme peut-être pas. Tâche de débander avant qu’elle vienne me rejoindre.

Il n’y parvenait pas, mais sa femme se faisait attendre, lui laissant le temps de contempler sa maîtresse, qui vraiment était sublime. Elle continuait à dicter ses volontés :

-Maintenant enfile ta tenue de soubrette, tu n’as pas lieu d’être habillé en homme devant moi ni devant ta femme. J’ai besoin d’une boniche à ma disposition.

Lopette transformée en bonne

Transformé en bonne, Laurent revint se présenter aux pieds de sa Maîtresse. Elle exerça son droit de cuissage immédiatement, puis fouillant sa valise rouge de dressage, elle s’équipa avec un gode ceinture.

-J’ai très envie de me faire la bonne avant le dîner ! Mets-toi à quatre pattes sur le lit et vite.

Il s’empressa d’obéir, ce qu’elle nota avec délectation.

-Tu sais que j’apprécie tes progrès. Impressionnant en à peine une semaine de prise en main. J’en ai dressé des lopettes, mais tu as tout le potentiel pour devenir ma pute préférée.

Elle se glissa derrière lui et sortit la vaseline de son sac à main. Elle commença par le doigter avec douceur. Laurent savait que sa Maîtresse pouvait s’emporter facilement et devenir violente, aussi il se gardait bien de bouger, se contentant de lui offrir son cul le mieux possible pour qu’elle en dispose à sa guise. Elle continuait son exploration puis très soudainement le pénétra profondément avec son gode ceinture. Elle le défonça alors en cadence, lui arrachant des cris que sa femme dans la chambre à côté devait forcément entendre. D’ailleurs cela semblait être le but de Zaïa qui lui ordonna :

-Crie plus fort, chienne ! Exprime ta jouissance ! Lâche-toi ! Je vais t’exploser ton joli petit cul de salope !

-Oh oui Maîtresse, encore, j’aime ça !

-Non, dit que tu adores ça !

-J’adore ça maîtresse Zaïa, j’adore ça ! répéta plusieurs fois Laurent, haletant et tellement bien pris.

Humiliation totale pour la lopette

Désormais il exprimait très bruyamment sa jouissance, sa soumission et son appartenance sous les coups de boutoirs intenses de maîtresse Zaïa. Au point qu’il ne s’était même pas aperçu que sa femme était entrée dans la chambre et se régalait de la scène.

-Tu veux participer Samia ? dit Zaïa à qui rien n’échappait par contre. On lui donnera sa correction après.

-Ça me tente…

-Alors mets un gode ceinture et rejoins-moi.

Pendant que Samia s’équipait, Zaïa prenait de plus belle sa lopette. Enfin elle se retira. Etre pris par sa Maîtresse était déjà en soi pour Laurent une expérience extraordinaire, mais en plus sous les yeux de sa femme, cette humiliation totale l’électrisait…

Et maintenant sa femme allait même participer…

-Changeons les positions dit Zaïa. Nous allons le prendre en brochette. Toi tu baises ton mari et moi je fais sucer mon gode à mon esclave. En plus comme il sort juste de son trou, il devrait en apprécier le goût…

C’est maintenant sa femme qui le sodomisait. C’était différent, plus doux, mais tout aussi intense. Dans le même temps il devait sucer le gode ceinture de sa Maîtresse qui le regardait faire avec délectation. Sa femme devait aussi y prendre de plus en plus goût car ses coups de boutoirs étaient de plus en plus appuyés. Il continua à se faire saillir ainsi car elles échangèrent de nouveau leur place.

Soumission suprême pour la lopette

Sa femme le regardait sucer son gode et prenait un intense plaisir à cette soumission suprême. Maîtresse Zaïa le tenait fermement par les hanches, sa petite robe de soubrette relevée, et lui bourrait le cul en cadence.

Il n’avait encore jamais été pris ainsi, par deux femmes à la fois, et pour tout dire, il en redemandait, ce qui se voyait. Il fut longuement ramoné par l’une puis par l’autre, n’ayant jamais le temps de souffler, devant sucer aussi sans relâche, il termina la séance avec le cul et la bouche complètement explosés. Puis maîtresse Zaïa prit la clé de la cage de chasteté de son esclave qu’elle portait autour du cou et la lui enleva. L’espace d’un instant Laurent espéra qu’on allait enfin l’autoriser à jouir, cela faisait une semaine qu’il vivait la queue en cage et le cerveau surexcité et il n’en pouvait plus, surtout avec de telles sollicitations de sa boite à fantasmes ! Mais son espoir fut brisé net par sa maîtresse :

-Il n’est pas venu le temps pour toi de jouir, petite lopette soumise.

A SUIVRE…

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