Dressage du nouveau soumis : vers un couple gynarchique? (2)

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nouveau soumis

Changement dans le couple

Restant sur le dos de son mari, nouveau soumis, solidement attaché sur le lit, Samia reprit son discours pour détailler à Laurent le programme des réjouissances :

Mon rendez-vous, tout d’abord. Ce ne sera pas un rendez-vous entre copines, je pense que tu commences à t’en douter. Non, c’est avec un homme, une rencontre recherchée activement depuis que tu as voulu changer le mode de fonctionnement de notre couple. Récemment, ce qui a tout précipité c’est que j’ai rencontré quelqu’un qui a tout le potentiel à mes yeux pour devenir un amant régulier. Tous les mots ayant un sens, « régulier » veut-dire qu’il n’est pas le premier candidat. Alors la question qui doit trotter dans ta tête, je l’imagine : est-ce que je t’ai déjà fait cocu ?                                                                                                                  

La réponse est oui, il fallait bien que je teste avant d’aller plus loin avec toi. Deux fois, sans suite mais celui-là a dix ans de moins que moi, et m’excite beaucoup ! J’aurais tort de ne pas profiter de sa vigueur sexuelle. Normalement, vu tes penchants, ça devrait t’exciter. Sinon, il faudra t’habituer, soit il me baisera bien et je n’aurai pas l’intention de m’en priver, soit… j’en rechercherai un autre, ce n’est pas les occasions qui me manquent. Je le retrouve chez lui tout à l’heure, une fois que je t’aurai laissé entre de bonnes mains.

Nouveau soumis dressé par Maîtresse Zaia

Alors parlons un peu de ce qui t’attend. Ou plutôt de qui t’attend ! Elle s’appelle Zaïa, je devrais dire Maîtresse Zaïa ainsi que tu devras l’appeler. C’est fou ce qu’on peut faire avec un bon cercle d’amies. Elle n’était pas dans mon premier cercle sinon tu la connaîtrais mais au fil de conversations, on élargit vite aux amies des amies. On converse, on se revoit et finalement on décide de tenter l’expérience. Si ton fantasme profond est à la hauteur de ce que tu en dis, ça devrait te plaire.

Cocu et soumis, je te le dis, tu vas adorer… Si tu veux rester avec moi, désormais c’est à ce prix !

Ah oui, une dernière chose : maîtresse Zaïa a la réputation d’être très sévère dès la prise en main d’un nouveau soumis, ne la déçoit pas, et ne me fait pas honte.

C’est à ce moment précis qu’une nouvelle voix, plus forte, se fit entendre dans la pièce :

Avant qu’elle parte, mate une dernière fois ta femme et la tenue sexy qu’elle porte pour aller se donner à un autre homme.

Fouetté par ma femme

Maîtresse Zaïa venait d’entrer dans le jeu. Etait-elle déjà dans la pièce quand Samia y avait fait entrer son mari ? Impossible pour lui de le savoir, il avait les yeux bandés à ce moment là. Zaïa reprit la parole en s’adressant toujours à Laurent :

Quand ta femme reviendra demain, ton dressage aura déjà été bien commencé.

Au revoir mon chéri, ajouta Samia réjouie, je te souhaite de prendre autant de plaisir que moi…

Une minute. Avant de partir Samia, enchaîna Zaïa, veux-tu assister à la leçon numéro un ?

Ah oui, pourquoi pas, j’ai encore un peu de temps avant mon rendez-vous galant, répliqua Samia visiblement excitée.

Alors enlève à ton mari son mord à balles, il va devoir répondre à quelques unes de mes questions. Toi Samia, assied-toi sur le fauteuil près de la table basse, tu vas aimer.

Samia retira le bâillon puis s’installa confortablement et dit à l’intention de son mari :

Sache que maîtresse Zaïa est une fan du maniement du fouet et une fervente adepte des punitions corporelles comme mode de dressage…

Zaïa s’approcha tout près de Laurent qui put enfin découvrir son visage, celui d’une femme pleine de charme mais qui dégageait une autorité qu’un tempérament soumis détecte immédiatement. Elle passa la main sur sa proie, le parcourant depuis les épaules jusqu’aux jambes, comme pour faire le tour du propriétaire. Elle remonta sa main, la passa sous la jupe pour peloter ses fesses et juger de la qualité de la marchandise. Enfin, elle lui murmura à l’oreille :

Ta femme m’a dit que tu aimais bien qu’elle te fouette. Samia, prends mon fouet, et montre-moi comment tu corriges ton homme.

-Avec plaisir. Combien de coups de fouets ?

-Deux ou trois suffiront.

Maîtresse Zaia prend le fouet !

Samia s’exécuta, releva la petite jupe moulante portée par Laurent pour lui découvrir les fesses, et y asséna trois coups de fouet d’intensité modérée qui eurent effectivement l’air d’exciter son homme car de légers cris de jouissance accompagnaient chaque coup.

C’est mignon, dit Zaïa en souriant à Samia. C’est vrai que ton mec a un joli petit cul, je comprends que tu hésites à le faire rougir. Donne-moi le fouet, je vais te montrer ce qu’il faut faire. Et toi, petite lope, je te conseille de mordre l’oreiller si la douleur est trop vive.

Zaïa administra dix violents coups de fouets à son soumis en guise de première leçon d’éducation. Même étouffés, les cris de Laurent montraient une douleur intense que la vue de ses fesses déjà rougies ne pouvait que confirmer.

Voilà Samia, ça c’est une correction. Tu vois la différence ?

Zaïa s’adressa à Laurent de nouveau.

Maintenant écoute-moi bien, petite salope. Je vais te donner dix nouveaux coups de fouets. Je veux t’entendre souffrir en silence, sinon ce sera dix de plus. C’est bien compris ?

Oui, qui ? dit Zaïa furieuse en lui infligeant un énorme coup de fouet.

Oui maîtresse ! s’empressa de répliquer Laurent après un hurlement de douleur.

J’aime mieux ça.

Elle prit un peu de distance et commença à fouetter avec une intensité plus faible que la première fois. Son soumis réussissait cette fois à contenir ses cris de souffrance, jusqu’à présent.

On en est à combien Samia ?

Neuf je crois ?

Ok, allez ma lope, c’est bien, j’ai apprécié ta discrétion, un dernier et c’est fini pour l’instant.

Cinglante correction !

Elle envoya alors un coup de fouet si appuyé que Laurent ne put réprimer un cri strident.

Quel dommage ! dit Zaïa. On y était presque. Nous voilà repartis pour dix nouveaux coups de fouet sur ton délicieux postérieur. Mais que ça te serve de leçon. C’est toujours ta maîtresse qui aura le dernier mot, et elle trouvera toujours un moyen de te soumettre et de te faire obéir. Tu dois comprendre que tu n’as aucune issue.

Elle s’éloigna de nouveau un peu pour mieux faire pleuvoir dix nouveaux forts coups de fouet. Laurent encaissait cette cinglante correction de sa maîtresse en étouffant du mieux qu’il pouvait ses cris à chaque impact sur ses fesses désormais lacérées.

C’est nettement mieux. Est-ce que tu aimes ce que te fais ta maîtresse ?

-Oui maîtresse ! dit Laurent, avec crainte.

-Bien, puisque tu aimes ça, dix nouveaux coups de fouet d’intensité maximale !

Zaïa se déchaina de plus belle sur son apprenti esclave, tordant sa lope de douleur. Même Samia qui ne ratait pas une miette de la leçon était impressionnée.

Maintenant petite salope, je te repose la question. Est-ce que tu aimes ce que te fais ta maîtresse ?

-Non maîtresse, pitié !

Dressage pour devenir un homme objet

-Deux erreurs en trois mots, c’est beaucoup ! D’abord on ne dit jamais « non » à sa maîtresse, tu vas être puni de dix nouveaux coups de fouet pour ça. Ensuite on n’implore pas sa maîtresse qui ne connait pas le sens du mot « pitié ». Enfin je pense que tu as enfin compris que si ta maîtresse te demande si tu aimes qu’elle te fouette, il n’y a aucune échappatoire pour toi. Si tu réponds « oui », elle va te fouetter pour te faire plaisir, si tu réponds « non » elle va aussi te fouetter pour ton impertinence. Ça s’appelle une question sans issue. Il est temps de te donner ta correction.

Zaïa lui rougit encore davantage les fesses en dix nouveaux coups de fouets. Quelques larmes de sang coulèrent de son postérieur. Laurent se tordait dans la mesure où ses liens serrés lui en offraient la possibilité, et commençait à perdre pied, il semblait surtout avoir compris que sa maîtresse allait le modeler jusqu’à en faire un homme objet.

Et maintenant ma petite chose, tu vas souhaiter du bon temps à ta femme qui va s’absenter et faire de toi la lope cocue que tu mérites d’être ! Choisis bien tes mots car s’ils ne plaisent pas à Samia ou à moi, tu gouteras encore de mon fouet. Je t’écoute…

Départ de ma femme

A la fois terrorisé, meurtri et excité, Laurent, nouveau soumis, fit de son mieux pour plaire aux deux femmes qui attendaient sa réponse et étaient seules juges de son sort.

Amuse-toi bien ma chérie, prends un maximum de plaisir à faire de moi le cocu que je mérite d’être. Je vais faire tout mon possible pour être à la hauteur des exigences de ma maîtresse qui va faire de moi une lope soumise et complètement dominée. Je ne veux pas la décevoir, ni elle, ni toi, je n’ai droit de rien et vous avez droit de tout.

-Oui, c’est pas mal, dit Zaïa, qu’est-ce que tu en penses Samia ?

-Ça me va aussi Zaïa, j’ai l’impression qu’il apprend vite. A demain chéri !

-Allez, va retrouver ton étalon ma belle, je m’occupe du dressage de ta salope de mari qui m’appartient désormais.

Samia quitta la chambre non sans avoir délivré un regard de braise à son mari. Sans doute pour lui faire comprendre que c’est avec ce même regard qu’elle comptait allumer celui qui prétendait à devenir son amant.

A SUIVRE…

 

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3 réflexions au sujet de “Dressage du nouveau soumis : vers un couple gynarchique? (2)”

  1. est ce qu’il s’attendait à ça ? peut être pas à ce point, je pense que ce n’est pas tout à fait cela qu’il espérait mais maintenant il est pris au piège il va falloir qu’il assume.
    on attend la suite avec impatience.

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