Au bout d’un quart d’heure, me semble-t-il, mes Maîtresses reviennent. La séance SM peut commencer. Elles sont pratiquement nues toutes les quatre. Elles ont gardé leurs culottes et leurs chaussures ou leurs bottes de Maîtresses. Elles ramènent une espèce de grand socle en bois, avec une tige au milieu, qu’elles posent par terre. Elles tournent autour de moi qui suis à genoux, leurs seins balancent au rythme de leurs pas. Béa a des petits seins fermes mais de longs tétons bruns foncés. Les seins de Catherine sont lourds, en forme de poires, ceux de Diane sont magnifiques, grands et fermes, avec là aussi de longs tétons bien dressés par l’excitation. Ma femme va se mettre dans un fauteuil et me laisse à la merci des trois autres. Elles se mettent tout autour de moi, leurs bassins sont à la hauteur de mon visage, je rebande timidement.
– ça t’excite petit cochon, me fait Béa
– viens me renifler la culotte, me dit Diane.
Elle me prend la tête et me la plaque contre son sexe, à travers la culotte. Je sens les effluves de sa chatte à travers le tissu, elle se frotte vigoureusement contre ma bouche et s’arrange pour écarter un peu le tissu. Les lèvres de son sexe apparaissent et je sors ma langue pour les lécher.
– ça c’est pour plus tard, m’intime Catherine en tirant violemment sur la chaîne, je grogne de douleur.
Elle fait comme Diane, je dois me frotter le visage contre sa culotte, puis c’est au tour de Béa.
Les filles sentent bon la chatte, les culottes commencent à être toute mouillées, je bande dur.
Je passe ainsi de l’une à l’autre, à genoux au milieu d’elles, debout autour de moi.
– va chez Catherine, viens ici, à moi maintenant, etc…
Puis elles se tournent et me présentent leurs jolis culs. Je lèche et j’embrasse leurs fesses.
– Mets toi sur le canapé, je vais te faire sucer mes nichons (Béa).
Je m’assieds sur le canapé, Béa se met au dessus de moi, à califourchon.
Une magnifique paire de seins danse devant mon visage, elle m’effleure les lèvres avec ses tétons, puis elle me les donne à sucer, juste les bouts. Je ne me fais pas prier.
Diane prend la relève, elle me presse ses deux seins sur le visage, ensuite elle remue de droite à gauche et me donne des coups de nichons.
– ouvre grand la bouche et suce fort.
Je fais ce qu’elle m’ordonne et je reçois deux beaux seins à téter, à pleine bouche.
Ensuite Catherine s’installe sur moi. Elle prend ses seins et les presse, faisant ressortir et grossir les bouts. Je me fais un bonheur de les sucer copieusement. En même temps Catherine se frotte contre mon ventre, elle est trempée à travers sa culotte.
– Il est temps pour la punition, ordonne ma femme depuis le fauteuil d’où elle mate.
Les filles me guident alors vers ce socle en bois, sur lequel est fixé une tige, réglable, surmontée d’une barre en T. On me fait avancer dessus, Béa me prend le sexe et les couilles pour les tirer par dessus le T. Diane arrive, munie d’une autre barre que les maîtresses fixent par dessus la première, le tout est resserré avec des petites vis à pattes, de chaque côté.
Je suis maintenant debout sur ce socle, mon sexe et mes couilles pris dans cet étau. Pour finir on me met des bracelets en cuir aux chevilles et aux poignets, reliés par des chaînettes à l’engin. Je suis là, debout, prisonnier et à la merci des mes tortionnaires. Ma femme est toujours installée dans son fauteuil, elle attend la suite. J’ai une érection d’enfer, malgré ou à cause de cet engin qui m’emprisonne le sexe.
Béa se met devant moi et me caresse la queue, c’est bon. D’un coup elle me met des tapes sèches et rapides, du haut en bas, ça fait mal. En même temps Diane est passée derrière moi et me pince les tétons, elle les triture et les fait rouler entre ses doigts. Elle se colle à moi, ses seins se pressent dans mon dos. Catherine, accroupie devant moi, me donne des tapes sur les testicules ; ça fait mal.
– on va bien s’occuper de toi, tu vas voir, me susurre Diane à l’oreille.
Je commence à gémir et à m’agiter. Mes bras sont prisonniers, attachés par les poignets à la même barre qui m’emprisonne le sexe. Mes pieds sont fixés au socle par les chaînettes. Elles n’arrêtent pas.
– Tu peux remuer comme tu veux, tu es à notre merci (Catherine)
– Il faut lui mettre un bâillon, je pense que nos culottes feraient l’affaire (Diane)
Elles m’abandonnent un moment et retirent leurs culottes trempées de mouille, l’une après l’autre elles viennent me les fourrer dans la bouche. C’est délicieux. Pour finir ma femme enlève la sienne et me la passe sur la tête.
Puis la séance continue. On me frappe la verge et les testicules, mes tétons sont pincés, tirés, triturés dans tous les sens. Elles me palpent durement les couilles. Je prends de bonnes claques sur les fesses. Je râle et je souffle fort. Les femmes se collent à moi. C’est bon et douloureux en même temps, mes fantasmes les plus profonds sont en train de se réaliser.
Ces femmes se révèlent sous un autre jour, je pense qu’elles prennent un pied d’enfer à s’amuser ainsi avec moi ; je n’ai qu’une envie, que ça continue. La douleur, si on peut dire, est très supportable, c’est surtout le contexte qui est follement délirant.
– J’ai des cadeaux pour vous les filles (ma femme)
Elle ouvre un sac, posé dans le coin du salon et exhibe deux martinets, une cravache en cuir et deux petites lanières munies d’une poignée en latex.
– C’est pour lui taper dessus, s’extasie Béa
– vous pouvez utiliser tout ce matériel, seule ou toutes les trois ensemble, sauf le visage. Amusez vous bien.
Diane s’empare d’un martinet, les autres vont s ‘asseoir. Elle se met derrière moi, un peu sur le côté. Les premiers coups sont doux puis la cadence s’accentue, je commence à m’agiter dans l’appareil mais mon sexe est bien maintenu dans l’étau. Les coups pleuvent, ça dure. Les filles me fixent, leurs yeux pétillent d’excitation contenue. Alors Béa vient s’agenouiller devant moi, elle s’empare de ma queue et me branle doucement, avec un art consommé. Elle me prend dans sa bouche et commence une fellation d’enfer. Les coups redoublent sur mon dos, de côté je peux voir Diane manier le martinet, ses seins tressautent au rythme des coups qu’elle m’inflige.
– tu aimes ça mon salaud (Diane, entre deux coups)
Les effluves des culottes dans ma bouche ajoutent à mon trouble, mes genoux tremblent.
– je te conseille de rester debout sinon tu vas t’arracher les couilles ! (ma femme)
Mes douces tortionnaires éclatent de rire, ce qui ajoute à mon excitation.
Catherine se saisit de la cravache et l’utilise pour me taper sur la poitrine et mon ventre. Ça me fait mal et je suis aux anges, j’aime ça. La fellation de Béa est divine mais elle s’arrête.
Les filles changent de rôle et de position. Après une courte concertation elles se répartissent les rôles. Diane et Catherine prennent les petites lanières et se mettent de chaque côté de moi ; elles me fouettent la verge, l’une après l’autre. Béa a pris position devant moi, avec le martinet et me frappe les testicules de bas en haut. Mon sexe est en feu, je gémis de douleur et de plaisir mêlés.
Mes jolies bourreaux me sourient, goguenardes. Elles sont hyper chaudes. De temps en temps elles font une pause pendant laquelle l’une ou l’autre me branle ou me suce. Puis le traitement recommence, interminable. Si elles continuent je vais éjaculer, juste sous l’effet de l’excitation qu’elles me procurent. Elles sont divines.
Ma femme, dans le fauteuil en face de moi, m’ordonne de la regarder. Elle ouvre grand ses cuisses, d’une main elle écarte les lèvres de son sexe, puis de l’autre elle se masturbe furieusement.
Elle ne tarde pas à jouir, des spasmes la parcourent elle soulève son bassin au rythme de son orgasme.
– je vais te faire jouir maintenant et après je continue à te branler, comme tout à l’heure. (Béa)
Elle se met à genoux devant moi et me prend dans sa bouche, cette fois la fellation est méthodique et efficace.
J’ai peur de l’orgasme et de ce qui va suivre. J’essaie de me retenir, Diane et Catherine me fouettent avec le martinet, les coups sont appuyés. Béa me suce de plus en plus vite, elle me branle d’une main, avec l’autre elle se caresse l’entrejambe ou me palpe les couilles.
Je n’en peux plus et j’explose dans sa bouche, aussitôt elle arrête de sucer et prend ma verge dans le creux de sa main. Elle serre, me décalotte le gland et du pouce me le frotte en un lent mouvement circulaire. C’est atroce, je me débats mais rien n’y fait, je suis fixé par les couilles à cet étau, bras et jambes attachés. Les deux autres continuent au fouet. Cela dure, je suis au bord des larmes lorsqu’elles s’arrêtent enfin. On me libère les poignets.
– le reste tu peux le faire tout seul, va nous attendre dans la chambre à coucher. Garde tes bracelets, on va t’attacher sur le lit pour la suite de cette séance SM(ma femme)
Et elles sortent.
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