Histoire Dominatrice : Merveilleuse scène bdsm 1

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Histoire Dominatrice : Merveilleuse scène 1

Cet hiver, j’ai pris l’ascenseur avec une dame d’une cinquantaine d’années accompagnée de deux très jeunes femmes, et étant pressé comme à l’accoutumée, j’ai commis une impolitesse en me précipitant sur la sortie de l’ascenseur.

La dame, magnifique quinquagénaire vêtue d’un tailleur strict, m’en a fait le reproche en souriant :

-Jeune homme, votre conduite mériterait une punition.

Devant mon regard confus, et devinant très certainement qu’elle avait touché une corde sensible, elle rajouta :

-Mes filles et moi, sommes à votre disposition.

Rouge de confusion, d’autant qu’elle s’adressait à moi devant ces jeunes femmes dont le regard laissait percer leur moquerie, je lui tendis nerveusement une carte de visite, et lui dis en m’enfuyant :

-Je suis à votre entière disposition, mais surtout ne m’appelez pas aux heures des repas.

Les choses étaient donc précisées, je suis cérébral, mais marié.

Et puis j’oubliais l’affaire, n’ayant jamais revu ces trois personnes dans cet immeuble.

Trois semaines plus tard, un après midi vers 15 heures, je reçois un appel de la dame en question qui me rappelle notre entrevue rapide, sa question et ma réponse favorable.
Nous discutons aimablement, la dame m’interrogeant sur ma personnalité, mes fantasmes, et bien évidemment sur ma sincérité et sur ma fiabilité, la dame souhaitant avoir des garanties sur la sécurité d’une éventuelle rencontre.
Et enfin, nous prenons donc rendez vous pour la semaine suivante, un mardi soir à 20 heures, avec la promesse de ma part de rester chaste jusque là.

Vous vous doutez que mon excitation durant la semaine était au comble, excitation, doublée quand même d’une certaine inquiétude.

Le mardi soir arrive, et à 20 heures précises, je sonne à la porte d’une appartement situé dans un quartier chic de Marseille, dans un immeuble haussmannien. Je suis traversé par une excitation fébrile de type hystérique.
Je sonne donc, et une employée de maison ouvre la porte.

Jolie femme brune au regard sévère, vêtue en soubrette d’un justaucorps noir et d’un bas tablier en dentelle blanche, sous lequel on distingue, la lisière des bas autofixants noirs, talons, etc…
Elle me demande l’objet de ma visite et je l’informe du fait que je suis convoqué par Madame de Boissieu, en lui donnant mon nom.

Elle me fait rentrer et ôter ma veste, puis m’introduit dans une très vaste salle de bains à l’ancienne, où elle m’intime l’ordre de me déshabiller complètement.
Après m’avoir inspecté, elle me place sous une douche à l’italienne, et me frictionne énergiquement, comme si je m’étais présenté sans avoir fait une quelconque toilette !

Ensuite, me faisant accroupir sous la douche, et à quatre pattes les fesses largement ouvertes, elle m’introduit dans mon fondement un tuyau de douche, et en augmentant fortement la pression, ce qui me fait ouvrir le rectum, et me nettoie parfaitement celui ci, qui évacue tous les morceaux de fèces encore cachés dans les replis de dernier conduit, sans paraitre incommodée par ses scories scatologiques.

Humilié, mais propre partout si je puis dire, elle m’installe sur une sorte de chaise gynécologique, et entreprend de ma savonner le pubis et le scrotum. Après quelques minutes, la peau étant ainsi assouplie, elle me rase les parties génitales à l’aide d’un rasoir mécanique.
Je me retrouve sans poils pubiens, tel un bébé le jour de sa naissance.

Puis elle me sèche, me passe un collier de cuir avec un maillon autour du cou, ainsi qu’un bracelet de cuir autour des poignets et des chevilles, et me dit enfin:

-C’est ainsi que vous devrez toujours vous présenter devant madame et ses nièces !

Que dire de mon état ? Je suis à la fois excité et angoissé. Dénudé, épilé, je me retrouve totalement désarmé devant cette belle femme sévère et énergique, en me questionnant sur la suite…

Baissant les lumières de cette charmante salle de bains, elle ma fait mettre à genoux et me tient le discours suivant.

-Je suis Mademoiselle Blucker. Je suis la servante de Madame de Boissieu mais ici tous les hommes sont soumis où à soumettre. Toutes les femmes peuvent et doivent les dominer et les punir, quelque soit leur leur rang. Ainsi moi même, qui suis sa servante, je suis ipso facto votre maîtresse, droit dont j’userais largement. Avant ou après chacune de vos visites par exemple, je vous fouetterais, sauf aujourd’hui où je laisse la primeur de cette punition à Madame. C’est moi également, qui sous ses ordres gérera vos épilations, le nettoyage de votre rectum, votre cage de chasteté, etc, etc… ».

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À ces mots, mon sang ne fait qu’un tour ! Une cage de chasteté ??? Je ne pensais pas aller si loin dans la soumission, alors que l’on avait simplement évoqué un châtiment corporel !!!
Mais étant impressionné par l’aplomb de la servante, et excité quand même par ses propos, je la laisse poursuivre.

-Je vais vous introduire dans le salon, vous vous tiendrez la tête basse, sans croiser le regard de Madame et de ses nièces, et vous obéirez immédiatement à leurs ordres.
Sachez que dès cet instant jusqu’à votre départ, vous n’êtes plus rien. Vous êtes trop âgé pour être un objet sexuel désirable, vous ne pouvez être qu’un jouet dans leurs mains, et encore heureux que ces dames vous fasse l’immense honneur de s’intéresser à vous. Alors ne les décevez pas, donnez leur tous ce qu’elle vous demanderont, votre patience, votre humilité, votre honte, votre douleur, car vous allez souffrir.

Je suis de plus en plus inquiet, mais dans quel guêpier me suis je retrouvé ?

Mademoiselle Blucker me pend par la chainette qu’elle a passé sur l’anneau du collier , des poignets et des chevilles, et m’entraine dans son sillage parfumé vers le salon où m’attendent ses dames.

Avant de frapper à la porte du salon, mademoiselle Blucker me dit :

-j’ai oublié de te poser l’anneau ! Si tu entre ainsi je vais être fouettée ! madame ne souffre pas de voir des testicules pendantes !

Retournant dans la salle de bain, elle en revient avec un anneau en caoutchouc dur torique, l’écarte de ses doigts habile et l’insère autour des mes bourses. La douleur n’est pas vive et cela a pour effet de me donner une très légère érection. J’ai donc les couilles prisonnières.

Mademoiselle Blucker frappe alors à la porte du salon, et la voix de Madame lui intime de me faire rentrer dans la pièce. Ce salon est assez vaste, éclairé par plages de lumière diffuse, meublé de fauteuils et canapés de cuir profonds, ainsi que de meubles étranges, probablement inspirés de machines de supplices.

Mademoiselle Blucker m’installe au centre de ce salon et me glisse à l’oreille de me mettre à genoux, ce que je fais immédiatement, et disparait dans un coin.

J’entraperçois dans cette demi obscurité, Madame, assise devant moi dans un somptueux fauteuil de cuire fauve, ses longues jambes chaussées d’escarpins et gainées de bas noirs, précédant la zone plus claire de ses hanches, dont nul sous-vêtement ne cache l’accès à l’écrin de son sexe merveilleusement orné d’une toison brillante, mis en lumière par l’écartement discret des cuisses.
Le message étant clair, c’est ce sexe féminin qui te gouverne, et c’est à lui que tu dois rendre hommage. Le haut est revêtu d’une sorte d’une guêpière de cuir noir sans jarretelles qui amincit sa taille et soulève deux seins magnifiques. Le visage, quand à lui est sévère mais ironique. On lit dans les yeux de cette personne la véritable assurance de sa supériorité.

Sur la droite, j’aperçois plutôt que je vois, deux jeunes femmes, dont les formes témoignent d’une puberté conquérante, mise en valeur par également l’absence de sous-vêtements, et simplement couverts par une chemise peu ou prou transparente, assises sur un canapé.
Leur crinière, feu pour la cadette et noire pour l’ainée, ajoute un aspect inquiétant à leur regard déjà impressionnant. Ce regard de lionne en chasse que l’on observe dans les films animaliers. Il ne manque plus que le sang sur leurs babines.

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Madame va me parler, Madame me parle.

-Julien, si c’est bien votre prénom, sachez que mes réceptions ne sont pas des jeux triviaux, vulgaires et ridicules, mais plutôt des références à un style de vie, à un conditionnement. Mon prénom est Marlène mais tous ici m’appellent Madame, et mes nièces que voici, Éponine et Elzéma, m’appellent ma Tante. Si vous avez accepté cette visite en mon domaine, vous vous doutiez que vous en subiriez les conséquences. Nous ne sommes pas là vous et moi pour jouer, nous sommes ici pour vous dresser.
En aparté, je dirai que bien évidement vous n’êtes pas à votre âge, un objet sexuel, et aucune de mes nièces et moi n’attend de vous une étreinte passionnée ! (Madame sourie, et ses nièces s’esclaffent). Vous dresser. Et pourquoi donc vous dresser ?
Je pourrais vous dire que notre société qui voit depuis des millénaires les hommes au pouvoir, doit devenir gynarchique.
En fait, je ne crois pas à la gynarchie, car d’une part elle me parait très improbable, et d’autre part il n’est pas certain qu’une gynarchie soit meilleure qu’une androcratie. Les femmes sont parfois pires que les hommes et même parfois toxiques.
Toutefois, on peut espérer une société plus matriarcale, dans laquelle les pouvoirs seraient partagés. Mais ce point n’est pas mon objectif, mais il doit être le votre. Je pourrais vous dire que depuis la nuit des temps, les femmes souffrent de n’être souvent qu’un objet sexuel. Souffrent de viols et autres humiliations, et que la vengeance est tout à fait admissible.
Mais cela n’est pas non plus mon objectif, mais il doit être le votre. Par contre je peux vous dire, que les femmes possédant en elle, tous ce qui construit le désir et éveille la libido, il est tout a fait normal qu’elles en reçoivent une juste rétribution.
Voltaire écrivait « Toute femme est putain, ou a envie de l’être » !
Alors la pute offre son corps, mais en doit en recevoir un prix, fut il le prix de la souffrance de son partenaire.

Parce que mon véritable objectif est ma jouissance, la jouissance la plus égoïste qui soit, celle qui consiste à jouir de la souffrance de mes partenaires, celle qui consiste à leur faire payer tout ce qu’ils ne possèdent pas, que je maitrise, et qu’ils attendent.

Toute ma jouissance est là. Le dressage d’un homme capable d’annihiler sa propre volonté simplement pour obtenir un infime plaisir. Un homme acceptant de reconnaître la supériorité de la femme qui le domine. Un homme capable de supporter la morsure de la cravache et autres souffrances, simplement pour obtenir une part infime de libido.
Bref, j’ai tout, je possède tout, l’homme n’a rien, l’homme doit tout supporter, ma domination, ma cruauté, mes caprices. Et s’est ainsi que j’élève mes nièces, je leur offre l’exemple de vrais rapports entre hommes et femmes, afin que de leur vies elles n’est à souffrir elle même de la bestialité de compagnons plus ou moins avinés.

Donc en conclusion, si vous persistez, vous deviendrez notre objet, notre chose, vous deviendrez un homme soumis, dressé. Un homme dont nous abuserons, en vous fouettant cruellement, en vous humiliant, en vous féminisant, en vous castrant, en quelque sorte.

L’acceptez vous ?.

Et d’une voix sourde, je me prends à répondre :

-Oui Madame.

-Bien dit, Madame, nous allons vous examiner .

recits bdsmMademoiselle Blucker me soulève par mes chaînes et me rapproche de Madame et de ses nièces. Celles-ci m’examinent, minutieusement, détaillant mon anatomie la plus intime, et décrivant la taille de mes bourses et de mon pénis. Je suis rouge de confusion d’être ainsi détaillé par Madame, mais en plus, par deux gamines, qui ne se privent pas de plaisanter sur mon anatomie. Pire, ces dames me font accroupir, de façon que Mademoiselle Blucker puisse m’ouvrir et écarter mes fesses, que ces dames inspectent encore plus minutieusement, faisant des réflexions sur la profondeur de ma raie, et la largeur de mon orifice anal. À mon grand âge, je suis ainsi exposé à leur regard critique, plus nu que nu, et plus ouvert encore. Madame dit alors à ses nièces :

-Mes chéries que pensez vous de ce fondement ?

Éponine lui répond :

-Ses fesses sont galbées, donc se prêteront merveilleusement au fouet !

Elzéma, encore plus perverse, lui répond :

-Je n’aperçois que peu l’orifice anal, ne serait il pas nécessaire que Blucker l’explore devant nous ?

-Excellent répond Madame, Blucker, sonde le profondément.

Mademoiselle Blucker me fait alors pencher sur une table basse, et s’en retourne probablement dans la salle de bains d’où elle revient équipée d’une paire de gants en latex couverts d’un gel, et entreprend de fouiller l’intérieur de mon rectum, afin d’en sonder la profondeur, devant ces demoiselles intéressées, dont la plus jeune dit :

-C’est parfait ma tante, Blucker l’a parfaitement nettoyé, nous pourrons donc accéder à ses profondeurs.

Madame répond alors :

-Oui, certes, mais tout d’abord nous allons le mettre en condition, c’est à dire le fouetter. Julien chaque fois que tu pénétreras dans ses lieux tu seras fouetté. Tout d’abord par Blucker, ensuite par mes nièces, et enfin par moi qui zébrera tes fesses, afin d’y apposer ma signature écarlate. Pour la suite, je t’en laisse la surprise.

J’avoue que je suis très inquiet, et que je commence à trembler, sinon d’excitation, mais surtout de peur. Mademoiselle Blucker m’emmène devant une sorte de table, sur laquelle elle me fait me pencher, m’attache les mains devant moi, et les chevilles sur les pieds de cette table de supplice, les jambes assez ouvertes, laissant deviner par vue arrière mes bourses contenues par l’anneau.

C’est alors que Mademoiselle Blucker m’entreprend avec un longue cravache destinée, je suppose, à me chauffer les fesses. Ce supplice n’est pas excessivement douloureux, et Mademoiselle Blucker m’applique à la demande de Madame, trente coup de cravache, dont l’effet commence à se faire ressentir. Une fesse, l’autre, et parfois un petit coup sur mes bourses, qui me fait sursauter. Madame, de temps à autre, demande à ses nièces de vérifier l’état d’excitation de ma verge, et je sens la petite main d’Éponine où d’Elzéma passer sur me couilles.

-Bien, dit Madame, mes nièces, vous allez vous même fouetter Julien, beaucoup plus durement, bien évidemment, je veux le voir pleurer, car seuls les pleurs me font jouir, pendant que Blucker sera entre mes cuisses.

A ces mots, mademoiselle Blucker s’agenouille devant Madame, et entreprend de la lécher très consciencieusement, tandis que Éponine et Elzéma, ôtent leur culotte en me les flanquant dans la bouche, sans doute pour éviter mes cris, et armées chacune d’une courte cravache me fouettent à tour de rôle, d’une fesse sur l’autre, en donnant de temps à autre un coup léger mais douloureux sur mes bourses.

Le gout et le parfum des deux petites culottes qui sentent le sexe des deux jeunes filles me transporte alors. 30 coups, 60 coups, 90 coups de cravache, viennent ainsi s’abattre sur mes fesses terriblement rougies et douloureuses. Moi, grand père, je suis fouetté, humilié par deux gamines qui s’acharnent sur moi, en vérifiant de temps à autre la rigidité de ma verge. La douce main d’Elzéma me caresse parfois, seule satisfaction fugace.

Je ne pleure toujours pas, et Madame m’en parait contrariée, et c’est alors qu’elle demande à ses nièces de me retourner et de m’attacher sur le dos, les jambes ouvertes et écartées, sur la table, coté dos. Je me retrouve donc dans une position quasi gynécologique, totalement à la merci des deux cravaches qui me fouettent alors sur les cuisses, mais égalemnt sur les bourses.

Je commence à souffrir horriblement.
Madame se lève alors en repoussant Mademoiselle Blucker, prend un fouet qu’elle tenait à sa portée, et me zèbre elle même les deux cuisses, ce qui me fait hurler malgré les culottes dans la bouche. C’est à ce moment que je comprends l’expression « signature sanglante », car je suis certain que j’ai été fouetté jusqu’au sang. Mes larmes coulent alors et Madame pousse un grand cri de jouissance !

Les deux jeunes filles ravies de mes blessures et excitées par le sang, se rapprochent commencent à s’embrasser et à se caresser. (J’appris par la suite que les deux nièces n’avaient aucun lien de parenté réel, car l’une était la fille de la soeur de Madame, et l’autre la fille du beau-frère de Madame).

Tout ce petit monde se caresse, se pourlèche, et jouit tour à tour.
Les deux nièces et leurs jolis seins qui se rapprochent, leurs bouches qui se lèchent, et leurs jolies fentes qui s’offrent l’une à l’autre.
Ça sent l’amour, ça sent la femelle.
Et moi, je suis toujours dans la même position, fesses offertes, orifice ouvert.

Madame me fait alors détacher, et mademoiselle Blucker me fait allonger sur le dos, les coudes posés par terre et les mains en position de supporter un poids, sur un tapis moelleux que je suppose absorbant, et tour à tour mademoiselle Blucker, ensuite Éponine et Elzéma, viennent tour à tour me faire pipi dans la bouche, après que je les ai eu consciencieusement léchées et faites à nouveau jouir.

Je me souviendrai toujours de ce gout de sexe de jeune fille dans la bouche..
Madame se lève alors, s’accroupit sur moi, et me pisse longuement sur tout le corps, marquant ainsi son territoire de Maîtresse BDSM.

-Julien ,désormais tu nous appartiens, tu m’appartiens. Reviens mardi en 15, d’autres surprises t’attendent. Blucker, après l’avoir nettoyé, vide le .

Madame me congédie enfin, et mademoiselle Blucker me ramène dans cette salle de bains d’une autre époque, me rince et accroupie derrière moi, me prend d’une main les testicules, et de l’autre me branle rapidement jusqu’à jouissance, et me dit.

-Aujourd’hui tu as été beaucoup fouetté, donc je ne te fouettes pas, par contre lors de ta prochaine visite je te fouetterais dès que je t’aurai déshabillé et nettoyé.En fait c’est à moi qu’incombera le plus souvent de te fouetter. Tu devras me respecter.

-Oui, Mademoiselle Blucker, je vous respecte profondément, et je vous remercie de vous intéresser à moi et de me fouetter. Cela me fait prendre conscience de votre supériorité de femme, vis à vis d’une être aussi inférieur que moi même. Permettez moi, chère maîtresse, de vous baiser les pieds en signe d’humilité et de soumission.

Mademoiselle Blucker, me parait alors ravie de ma réponse, déchausse son joli pied droit, et je m’accroupis alors pour le lui baiser. Mademoiselle Blucker me dit alors :

-J’ai adoré cela, aussi la prochaine fois, je te fouetterai encore plus fort.

Fin de Scène 1 – Histoire dominatrice bdsm

 

Débrifing :

En fait, curieusement, je me sens plus soumis à mademoiselle Blucker, qu’à Madame. Je ressens plus de complicité avec elle, et sans doute est elle plus proche de moi. Je suis persuadé que Madame le ressent également, puisque lors de ma prochaine visite, Mademoiselle Blucker sera fouettée devant moi, et donc humiliée devant un soumis, sans doute pour attiser sa colère à mon égard, afin qu’elle soit plus dure avec moi.

Madame est perverse, et très intelligente. Ses deux nièces sont également perverses, et comble de désespoir, je les ai rencontrées l’autre soir sur le vieux port dans un café à la mode, où elles devisaient avec des amis de mes enfants !!!

Bien évidemment leur discrétion a été exemplaire, mais elles n’ont pu céler un sourire narquois.

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