On est samedi. La suite du dressage SM continue. Il est 4h du matin. J’ai mal dormi. Je suis toujours nu dans ma cage d’1m50 de longueur, toujours avec la cagoule, le collier, les yeux bandés, les mains menottées dans le dos, et vraisemblablement une cage de chasteté que je n’ai pas encore pu voir.
La nuit est longue. J’essaie de m’endormir à nouveau, mais c’est difficile. Je suis perturbé par les menottes, et par une éréction qui me prend inlassablement mais qui ne peut pas aboutir à cause de la cage de chasteté. J’apprends à prendre mon mal en patience. J’essaie autant que possible d’aimer ma position d’esclave.
La porte de la pièce finit par s’ouvrir. J’entends des talons s’approcher. La cage s’ouvre.
–Sors de là et mets toi à genoux, esclave!
Puis-je entendre de la voix de Clara, ma nouvelle Maîtresse aujourd’hui. Ce weekend, ma Maîtresse lesbienne (Danièle) m’a loué à un autre couple lesbien: Clara et Déborah.
J’essaie de me faufiler hors de la cage, non sans difficulté. Je parviens à en sortir au bout de 30 secondes. Je me mets à genoux.
Clara m’enlève le bandeau. Aujourd’hui, ma Maîtresse est splendide. Elle porte des escarpins avec des talons de 10 cm, un tailleur noir et un chemisier blanc. Je peux sentir l’odeur de son parfum. Je suis tellement charmé que je n’ai que l’envie de vénérer ma Maîtresse.
Je regarde au sol vers ses pieds. Clara me redresse la tête en me prenant par le menton. Je vois son visage rayonnant.
-Il est 13h30 là. Ma copine Déborah et moi devons nous absenter pour faire du shopping cet après-midi. A 18h, tu devras avoir préparé à manger pour ce soir. Tu devras avoir fait la vaisselle. Tu devras avoir nettoyé la salle de bains. Tu devras avoir passé l’aspirateur. Tu devras avoir repassé notre linge. Défense totale d’accéder à ma chambre, même pour passer l’aspirateur! : dit Clara.
Elle me lâche le menton, et fait signe de sa main de me lever. Je m’exécute.
–Allez! Lève-toi esclave! Je te conseille de prendre aussi de prendre le temps de manger pour toi, et d’aller aux toilettes avant 18h. Je te montre les pièces de la maison, et exécution!
Clara me montre les pièces. Elle m’indique où est l’aspirateur et où est le linge à repasser.
–Quand le linge sera repassé, tu l’empileras ici. Tu pourras aussi le poser sur des cintres ici. Compris, esclave?
Je hoche la tête. Ma Maîtresse me détache les menottes. A ce moment là, sa copine Déborah entre dans la pièce. Elle porte un long manteau en cuir et des bottes à hauts talons. Je la vois se rapprocher vers moi avec le bruit de ses talons qui résonne et quelque chose pour m’attacher les jambes.
–C’est vrai qu’il a besoin de ses mains. Mais est-ce qu’il a besoin de ses pieds? Baisse les yeux, esclave! : dit Déborah. Je baisse les yeux immédiatement.
–Il doit passer l’aspirateur. Je ne veux pas qu’il casse quelque chose parce qu’il aurait les pieds attachés! : lui répond Clara.
–Bon OK, mais c’est pas pour autant qu’il a besoin de sa petite bite. Attends, je reviens! : dit Déborah qui s’en va de la pièce.
Clara se retourne vers moi avec le regard sévère. Elle me prend les testicules et mon pénis enfermé dans la cage de chasteté.
–Ah oui! Interdiction totale de toucher ça! Tes parties génitales m’appartiennent maintenant. Enfin toi aussi, mais tes parties génitales encore plus. Gare à toi si t’y touches!: dit Clara. Tu iras aux toilettes quand on reviendra s’il le faut.
Déborah finit par revenir dans la pièce avec une grosse ceinture métallique avec une sorte de ventouse pour bloquer l’accès à mes testicules. Elle pose la ceinture sur moi, qu’elle attache avec un cadenas. Même avec les mains libres, je ne peux plus toucher mes parties génitales. La ceinture prévoit toutefois une fente pour me permettre d’uriner.
Les dominatrices s’en vont. Elles referment à clé la porte de la maison derrière elles.
Je prépare à manger pour moi-même car mon ventre gargouille vraiment. Je n’enlève pas ma cagoule ni mon collier, car ce sont des symboles de ma soumission que je commence à adorer. Je pense de moins en moins à mon pénis, que mon dressage SM commence à faire oublier. J’exécute les tâches que ma Maîtresse m’a ordonnées. Les 18h arrivent vite, mais je parviens à tout faire dans les temps.
Clara et Déborah finissent par rentrer vers 17h45.
A leur arrivée, Clara m’ordonne de me pencher sur la table du salon et d’écarter les jambes. Déborah part vite inspecter mon travail pour vérifier si tout a été fait. Clara reste derrière moi. Pendant ce temps, je l’entends murmurer pour se demander quel plug elle pouvait me mettre dans l’anus.
5 minutes plus tard, j’entends le bruit des talons de Déborah revenir dans le salon. Je la vois arriver par en face avec deux paires de menottes, une chaîne, un rouleau en plastique et des cadenas.
–Les mains dans le dos, esclave!
Je me retrouve à nouveau menotté. Déborah me tire la tête par la cagoule et m’étouffe pendant 30 secondes. A la fin, elle me chuchote à l’oreille que j’aurais pu nettoyer la salle de bains plus proprement.
Déborah finit par me relâcher. Elle me donne une fessée en m’ordonnant de me relever.
Une fois debout, Déborah m’enlève la grosse ceinture métallique qui bloquait l’accès à mes testicules pendant toute l’après-midi. Elle m’attache les jambes avec la deuxième paire de menottes pour pieds. Clara se tient devant moi en me fixant des yeux.
–Baisse les yeux, esclave! Besoin d’aller aux toilettes?: m’interroge Clara.
Je hoche la tête.
–Tu peux y aller. Ne ferme pas la porte! Un esclave n’a pas d’intimité. : me répond Clara.
Je commence à me déplacer vers les toilettes, à petits pas puisque mes pieds sont attachés. Très rapidement, Déborah se précipite vers moi et me donne des coups pour me faire trébucher jusqu’à ce que je sois par terre allongé sur le ventre.
–En rampant, esclave !
Je rampe avec grande difficulté vers les toilettes. J’entends les dominatrices se moquer derrière moi. Je me sens rassuré de les entendre prendre plaisir. Je finis par atteindre les toilettes au bout de 10 minutes. Je me dresse et fais mes besoins comme je peux malgré les mains attachées dans mon dos.
Je ressors, toujours en rampant. Aussitôt, une chaîne d’environ 40 cm est mise pour relier mes menottes à mon collier.
-Lève-toi, esclave! Tu dois retourner dans ta cage.
J’obéis. Je retourne dans la cage de 1m50 dans laquelle j’ai dormi la nuit précédente. Ma Maîtresse la referme aussitôt en la cadenassant. La nuit s’annonce encore longue … Mon dressage SM aussi …
Texte alléchant.