Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (10)

Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate! (9)

 

Tandis que je marche à quatre pattes derrière Déesse Déborah, ces pensées m’assaillent. J’ai envie de fuir, quitter Jessica, mon épouse dominatrice, recommencer ma vie à zéro, ailleurs. Et pourtant, entre mes jambes, ma queue est toujours aussi dure. Peut-être que j’ai trouvé ma place finalement?

 

Seul, dans la salle de bain, avec Sarah, la soumise…

 

Nous entrons dans la cuisine et je découvre Sarah, à quatre pattes par terre, en train de boire de l’eau dans une de mes gamelles. Cette vision me sidère. Sans qu’on lui demande rien, c’est là que Sarah a compris qu’elle devait boire. Sa perfection m’impressionne.

• Sarah, ça progresse ?

 

• Oui, Déesse Déborah.

 

• En attendant que ta vessie soit à notre disposition, Déesse Jessica aimerait dépuceler l’anus de cette chienne.

 

• Bien, Déesse Déborah.

 

• Tu vas lui faire son lavement à la salle de bains, d’accord ?

 

• Bien sûr, Déesse Déborah.

 

• Tu pourras revenir boire quand tu auras fini. Moi je vous attends dans le canapé, j’ai quelques mails à envoyer, il faut bien que nous travaillions pendant que vous vous divertissez !

 

• Très bien, Déesse Déborah.

Sarah se relève, elle attrape la laisse que lui tend Déesse Déborah, et nous partons tous les deux dans la salle de bains. Passer un peu de temps seul avec cette jeune femme m’excite au plus haut point. Je ne devrais pas, car elle pousse l’obéissance bien plus loin que moi. D’ailleurs, elle ne m’adresse absolument pas la parole et se contente d’aller chercher son sac avant de me conduire dans la baignoire.

• Accroupis-toi, me dit Sarah d’une voix calme, mécanique.

 

• D’accord. Je n’ai jamais fait ça, ça fait mal ?

…pour un lavement!

Elle ne répond rien. Je m’accroupis dans la baignoire. Avec des gestes habitués, Sarah sort de son sac un petit tuyau qu’elle vient brancher au robinet de la baignoire. Elle règle la température de l’eau, la coupe, puis crache sur deux de ses doigts, vient enduire mon anus de sa salive, et rentre délicatement le bout du tuyau dans mon anus. Je pousse un petit cri de surprise. Sarah me regarde.

• Ça va aller?

 

• Oui.

C’est la première fois qu’elle s’adresse à moi personnellement. Je la remercie d’un sourire. Bien que ses seins m’excitent au plus haut point, je ne bande plus, trop inquiet de ce qui m’attend. Il y a encore quelques mois je me serais damné pour apercevoir une poitrine comme la sienne. Comment j’aurais pu imaginer que j’en reverrais une dans ces circonstances ?

• C’est parti, alors.

Sarah ouvre le robinet. Je sens mon anus se remplir d’eau tiède. Je réprime un nouveau haut-le-cœur, ce n’est pas douloureux mais j’ai l’impression que mon ventre va exploser. Sarah coupe l’eau.

• Décontracte-toi, expulse!

Elle retire le tuyau, je me vide. Puis elle le replace. Recommence l’opération plusieurs fois. Je commence à m’habituer. Au bout de quelques minutes, elle vérifie l’eau qui sort de mes fesses et se relève.

• C’est bon, t’es prêt.

 

• Merci.

 

Quelques questions sur la sodomie!

Sarah ne répond rien. Elle récupère son tuyau, le nettoie, puis le remet dans son sac. Je me relève, profite un peu de la station debout.

• Est-ce que je peux te poser une question ?

 

• Quoi ? me répond Sarah en se retournant.

 

• Est-ce que ça fait mal ?

 

• La sodomie?

 

• Oui.

 

• Au début, oui, ça va te faire mal. Ça dépend de la taille du gode qu’elles vont choisir. Après, ton corps va s’habituer, il se décontractera plus facilement. Par contre je te conseille d’essayer d’être détendu. Si tu serres ton sphincter pendant qu’elle t’encule, tu vas souffrir le martyre.

 

• D’accord, je te remercie. Tu es soumise depuis longtemps, toi ?

 

• Oui, j’étais soumise à un notaire avant, mais il m’a revendu à Déesse Déborah l’année dernière.

Je ne me remets toujours pas de cette histoire de vente de soumis. Il y aurait donc un marché parallèle où des maîtres et des maîtresses s’échangent les prouesses de leurs compagnons ? Mais alors serait-il possible que Déesse Jessica, mon épouse dominatrice, cherche un jour à me vendre ?

 

De nouveau seul avec Déesse Déborah!

Alors que je m’abîme dans ces pensées, Déesse Déborah apparaît à la porte.

• Qu’est-ce que vous trafiquez ici, c’est fini ?

 

• Oui, Déesse Déborah, répond Sarah. Il est prêt.

Déesse Déborah attrape ma laisse.

• Tu en as profité pour rester debout, petite salope ! À genoux tout de suite.

 

• Bien, Déesse Déborah, je réponds, en me remettant rapidement à quatre pattes.

 

• Et ce n’est pas parce que Sarah s’occupe de ton cul que ça t’autorise à lui parler !

 

• Je suis désolé, Déesse Déborah.

 

• Retourne à la cuisine, Sarah, tu ne perds rien pour attendre.

 

• Oui, Déesse Déborah.

Sarah se met à quatre pattes également et repart dans l’appartement, me laissant seul avec Déesse Déborah, qui vient examiner mon cul sans prendre de précautions.

• T’as de la chance d’être tombé sur elle, elle fait ça merveilleusement bien. Ton anus est impeccable. Sarah n’est pas très expressive, et parfois elle manque de passion dans ses actes, mais il faut admettre qu’elle est incroyablement dressée. Allez viens, on va voir si ta Maîtresse est prête.

Elle tire sur ma laisse et me promène dans l’appartement.

• Pardonnez-moi Déesse Déborah…

 

• Quoi?

 

• M’autorisez-vous à passer aux toilettes ?

 

• Bon dieu, tu ne pouvais pas le dire avant ?

 

• J’ai beaucoup bu et je ne sais pas si je pourrai me retenir encore longtemps.

 

• Bien sûr c’est normal ma chienne, tu as tes besoins comme tous les animaux ! Nous serions à la campagne, je te laisserais aller dans l’herbe mais tu ne vas pas souiller l’appartement de ta Déesse avec ta vilaine pisse !

 

• Non, Déesse Déborah.

 

• Viens avec moi, dans ce cas.

 

Retour dans le salon, avec ma sublime épouse dominatrice!

Nous retournons dans le salon où nous attend déjà Déesse Jessica, mon épouse dominatrice, confortablement installée dans un fauteuil. Les cuisses écartées d’une façon lubrique, comme si elle ménageait son effet, mon épouse dominatrice est équipée d’un gigantesque gode-ceinture. Je déglutis.

• Alors, tu en penses quoi ?

Déesse Jessica se relève. Déesse Déborah la contemple.

• La perfection!

Oui, mon épouse dominatrice est magnifique. Elle a enfilé une combinaison en cuir léger qui moule parfaitement ses seins. Ses fesses, apparentes, sont sublimes. Mais ce qui m’inquiète, c’est ce qu’elle a entre les jambes. Le gode est monstrueux, elle n’avait pas menti sur les 25 centimètres. De loin, il me semble même encore plus grand.

• J’ai suivi ton conseil comme tu peux voir…

 

• J’ai hâte de voir ça dans son cul !

 

• Oui et je peux te dire qu’il va tout prendre, il m’a trop déçu tout à l’heure !

 

• Bon eh bien on n’a plus qu’à le vidanger… ah non, la chienne voulait aussi uriner.

 

• Je vais l’emmener sur le balcon ! Ça m’excite beaucoup qu’on puisse la surprendre en train de faire ses besoins !

 

• Mais non, Jess, on va appeler Sarah, elle est là pour ça et il n’y aucune raison que seule ta chienne ait le droit de se désaltérer. Sarah ! Tu viens s’il te plaît !

 

Convocation de Sarah pour qu’elle me serve de toilette!

Comment ça appeler Sarah ? Elle ne compte tout de même pas… Je n’ai pas le temps de répondre à cette question que Sarah est déjà là, à quatre pattes, devant nous.

• Je ne pense pas que ma vessie soit encore prête, Déesse Déborah.

 

• On a le temps, Sarah, ne t’inquiète pas ! En plus cette chienne va te donner un coup de main en la remplissant un peu plus vite et tu vas pouvoir lui montrer ce qu’est une vraie avaleuse de pisse. Pour vous deux, c’est win win !

 

• Bien, Déesse Déborah.

 

• Relève-toi, toi!

Je me relève, Déesse Déborah attrape mon sexe sans ménagement. Derrière elle, Déesse Jessica la rejoint.

• Quand on pense que lui aussi n’a presque bu que de l’urine aujourd’hui !

 

• Sarah est habituée ne t’inquiète pas… Allez, active-toi, nous n’avons pas que ça à faire de la soirée !

J’ai du mal à uriner. Voir Sarah devant moi, la bouche ouverte au niveau de mon pénis, attendant que je lui remplisse la bouche, est une vision que je ne pensais jamais affronter. Mais mon envie est trop forte et au bout d’un moment, je commence à uriner. Manifestement habituée, Déesse Déborah dirige immédiatement le jet dans la bouche de sa soumise.

Sarah, experte en la matière!

Miraculeusement, aucune goutte ne déborde, Sarah avale tout avec régularité.

• Regarde ça, petite chienne, regarde comme cette pute avale bien.

 

• C’est très impressionnant ! commente Déesse Jessica.

 

• Oui c’est vraiment une experte en la matière. En plus comme elle va lui repisser dans la bouche tout à l’heure pour l’entraîner, rien n’est perdu.

 

• C’est drôle, ils pourraient s’échanger leur pisse comme ça pendant longtemps !

 

• C’est le but ! Ta chienne doit apprendre à boire énormément en se contrôlan. Il y aura forcément des soirées où tous tes convives auront besoin de se soulager.

 

• À quoi bon avoir des toilettes quand on a des chiennes ?

 

• Haha tout à fait ! C’est bon, c’est fini ?

Déesse Déborah vient expulser les dernières gouttes dans la bouche de Sarah, qui termine d’avaler.

 

• Regarde-moi ça, pas une goutte par terre !

 

• J’en reviens pas!

 

• Allez Sarah, nettoie cette bite de chienne, qu’on puisse passer à sa vidange.

 

Sarah, obligée de me nettoyer la queue!

Sarah approche sa bouche de ma queue. Je sens sa langue qui nettoie mon méat, mon gland, passe sous mon prépuce, avec une application déroutante. Inéluctablement, je bande. Déesse Déborah met une gifle à Sarah.

• Je t’ai demandé de le nettoyer, pas de le sucer !

Sarah hoche la tête et recommence à nettoyer mais je suis de plus en plus dur. Un coup de cravache s’abat sur mon cul.

 

• Et toi, qui t’a autorisé à bander dans la bouche de ma chienne ? hurle Déesse Déborah.

 

• Je… je suis désolé, Déesse Déborah.

 

• Laisse-les un peu, va, tempère Déesse Jessica. Ce sont des animaux, c’est normal qu’ils aient des besoins naturels !

 

• Peut-être mais tu vois, c’est exactement pour ce genre de déconvenues que tu devrais le mettre en cage ! À la première occasion, il va essayer de fourrer tout ce qui bouge !

 

• En attendant regarde-les… tu ne les trouves pas mignons ?

 

• Ils sont mignons mais la discipline, c’est crucial.

 

• Quand même, regarde-les, ma chienne a dû boire plus d’un litre de pisse depuis ce matin, sans compter la vidange qu’il a avalée. Son ventre est vide. Et pas plus tard que ce midi, ta chienne n’a eu que nos chattes à dévorer et des litres de pisse à ingurgiter. Alors n’ont-ils pas le droit de profiter un peu ?

 

• Tu es trop gentille avec eux.

 

• J’avais promis une récompense à ma chienne après tout… je suis bien obligé de tenir parole, surtout quand je sais la punition qu’il va subir ensuite.

 

Puis, obligée de me vidanger, avec l’autorisation de mon épouse dominatrice!

 

Déesse Déborah prend un peu de recul. Sarah a toujours ma bite dans sa bouche. Elle ne sait plus si elle doit continuer à nettoyer ou s’arrêter.

 

• Eh bien Sarah, tu es sourde ? Suce cette chienne, Déesse Jessica vient de t’y autoriser !

 

• En plus, si elle s’occupe de la vidange, nous aurons plus de temps pour nous occuper de son cul.

 

• Je n’avais pas très envie que Sarah prenne du plaisir ce soir mais tu as probablement raison. Allez Sarah, au travail, montre comment tu es bien dressée et vide ces minables couilles s’il te plaît.

 

Sarah hoche la tête et se met alors à me sucer intensément. Je n’ai jamais éprouvé une chose pareille. Elle joue avec ma queue, tète le gland, gobe mes couilles, remonte savamment le long de la hampe. Les deux Déesses se sont assises dans deux fauteuils et nous regardent.

A suivre