Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate!(3)

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Qu’est-ce qui m’arrivait? Pourquoi je lui obéissais aussi bêtement? Mon épouse dominatrice venait de me tromper, de m’humilier, je sentais le goût du sperme de son amant dans ma bouche. Pourtant, je ne parvenais à rien d’autre que répéter dans ma tête « Déesse Jessica » en boucle.

Evidemment, elle qui était si intelligente, bien plus que moi, avait déjà tout perçu de ma nature soumise. Il ne lui avait pas fallu plus de quelques mots pour me convertir.

  • Tu viens mon chien?

Allez mon petit chien, montre-moi ce que tu sais faire!

épouse dominatrice

Sa voix me sortit de mes pensées. Sans m’en rendre compte, j’avais marché à quatre pattes jusqu’au bureau où elle avait déjà pris place. Je relevai la tête. Déesse Jessica était assise sur une chaise « ouverte » et me regardait. Ses fesses dépassaient de l’arrière de la chaise.

  • J’ai du travail, il me semble que toi aussi.

De son index, elle me montra ses fesses. Je cheminai jusqu’à celles-ci. Une fois arrivé à sa hauteur, elle me tendit sa main au niveau de la bouche.

  • Redonne-moi mon cadeau.

 

  • Oui, Déesse Jessica.

J’ouvris délicatement la bouche et vint déposer le préservatif rempli dans le creux de sa main. Elle l’observa.

  • Je suis un peu déçue tout de même… je pensais qu’il se renverserait plus facilement. Nous verrons ça plus tard.

Elle posa le préservatif sur son bureau puis se mit à travailler, tendant ses fesses au maximum vers l’arrière pour que j’aie accès à son anus.

  • Allez mon petit chien, montre-moi ce que tu sais faire!

 

Au service de mon épouse dominatrice!

Je vins me positionner derrière ses fesses et je tendis la langue. Son anus était immaculé, parfait. Ma langue glissa autour de lui, longea le sillon des fesses puis vint titiller son bouton. Je la sentais à son aise mais elle ne parlait pas. Concentrée sur son travail, elle tapait sur son ordinateur à la vitesse de l’éclair. De mon côté, durcissant ma langue, je commençai à la faire entrer délicatement dans son cul. J’entendis enfin un gémissement.

  • Mmm tu t’y prends bien, je savais que tu serais un redoutable lécheur de cul !

 

  • Merci Déesse Jessica.

 

  • Dommage que Tony ne m’ait pas sodomisée tu ne trouves pas ? Tu pourrais entrer encore plus profondément…

 

  • Euh… oui Déesse Jessica.

 

  • Oui quoi, petit chien ?

 

  • Oui, dommage que Tony ne vous ait pas sodomisée…

 

  • Oh, cela t’aurait fait vraiment plaisir ?

 

  • Oui… oui Déesse Jessica.

 

  • C’est bien mon chien, j’y penserai la prochaine fois si ça peut te faire plaisir ! Tu pourras me regarder me faire enculer, cela te fera beaucoup de bien tu verras ! Allez recommence, je veux sentir ta langue fouiller mes intestins.

À nouveau à quatre pattes la langue dans son anus, je recommençai mon travail pendant qu’elle retournait au sien. Je ne sais combien de temps je dus m’appliquer entre ses fesses. Ma langue entrait de plus en plus profondément. Elle gémit de temps en temps mais restait concentrée – une machine de guerre!

A quatre pattes pour me déplacer dans la maison!

Enfin, elle referma l’écran de son ordinateur, fourbue.

  • Je n’ai plus qu’un coup de téléphone à passer à mon assistante, peux-tu aller le chercher s’il te plaît ? Je l’ai laissé dans la chambre.

 

  • Oui, Déesse Jessica.

Au moment de me relever, je me souvins de la posture que j’étais obligé d’adopter devant mon épouse dominatrice. À quatre pattes, la queue ramollie par cet interminable anulingus, je rejoignis la chambre pour récupérer son téléphone qui traînait sur le lit. Ensuite, je revins tant bien que mal jusqu’au bureau où Déesse Jessica m’attendait sur son fauteuil, les jambes bien écartées, le sexe offert, les seins tendus vers moi.

  • Viens là petit chien… viens faire la fête à ta Maîtresse.

Je m’approchai d’elle, et tandis qu’elle attrapait son téléphone je lécha ses cuisses puis son sexe. Ensuite, je remontai jusqu’à son nombril puis ses seins. Elle m’attrapa par les cheveux puis me donna quelques petites gifles affectueuses.

  • Bon chien ça… allez tète-moi mieux que ça, applique-toi! Je passe mon coup de fil. Tu n’as pas intérêt à me faire mal.

Ma queue était de nouveau tendue à m’en faire mal. Rien ne m’excitait davantage que la succion de ses tétons magnifiques, qui semblaient épouser la forme de mes lèvres. Comme si j’étais son bébé, mon épouse dominatrice me caressa les cheveux tout en passant son appel. Elle pressa ses seins pour que je tente de les mettre intégralement en bouche.

 

Une assistante incompétente et un mari incapable!

Elle avait adopté un ton froid lors de son appel. Son assistante, Sarah, qui ne devait même pas avoir 25 ans, semblait avoir l’habitude de ces appels intempestifs. Déesse Jessica lui parla très fermement, avec un ton similaire à celui avec lequel elle s’était adressée à moi, quelques instants, auparavant.

  • J’ai des choses à faire Sarah, il y a intérêt à ce que tu aies tout mis au propre pour demain…

Au bout du fil, Sarah semblait s’excuser. Jessica raccrocha, contrariée. Elle me repoussa brutalement de la main. Je sentis que j’allais payer pour l’incompétence de son assistante.

  • Dis-moi, chien, comment qualifierais-tu la vie d’une femme qui possède une assistante incompétente et un mari incapable de se donner du plaisir autrement qu’en vidant ses misérables burnes dans mes sous-vêtements sales ?

 

  • Je… sans doute que…

 

  • Tu peux pas être clair pour une fois ?

Elle se releva, excédée.

  • Je suis désolé pour vous, Déesse Jessica.

 

  • Ça ne suffit pas. J’en ai assez d’être entourée par des tordus, tu comprends ?

 

  • Oui, Déesse Jessica.

 

  • Viens avec moi.

A genoux devant mon épouse dominatrice!

Elle se dirigea vers la chambre. Je la suivis à quatre pattes. Mes genoux commençaient à me faire souffrir à force de frotter le parquet ancien. Je regrettais, aujourd’hui, de ne pas l’avoir fait rénover plus tôt.

  • Je t’autorise à te relever pour ranger et plier mes affaires… regarde comme Tony m’a déshabillée sauvagement… un vrai rustre !

De suite, je me redressai, en dépliant, lentement, mon corps, qu’elle ausculta attentivement.

  • Eh bien tu ne bandes plus ? Que se passe-t-il ?

 

  • Mes genoux me faisaient mal, Déesse Jessica.

 

  • Tes genoux ? Et à quoi bon t’avoir laissé lécher mon cul pendant tout ce temps alors ?

 

  • Je… je suis désolé, Déesse Jessica.

 

  • Tu vas voir je vais te refaire bander, moi… plie mes affaires et ramène mon string s’il te plaît.

Je m’exécutai. Ainsi, je repliai, avec précaution, son jean puis je reposai sa chemise blanche sur un cintre. Enfin, je pliai son soutien-gorge puis lui apportai son string, qu’elle attrapa d’un geste ferme, toujours debout au milieu de la chambre.

  • À genoux!

Je me mis à genoux devant elle.

  • Sens-le, lèche-le! Tu as l’habitude non ?

Très excité par les sous-vêtements de ma Déesse!

Elle me tendit le string, le fourra sous mon nez puis le long de ma langue tendue. Je sentis immédiatement mon sexe gonfler entre mes jambes, ce que mon épouse dominatrice ne manqua pas de remarquer.

  • Non mais quel pervers regarde-toi… tu débandes en me léchant le cul et tu bandes en reniflant mon string ? Ouvre la bouche…

 

  • Oui, Déesse Jessica.

Elle enfonça le string dans ma bouche. Son odeur enivrante remplit mon palais.

  • Tu aimerais te branler n’est-ce pas ?

Je marmonnai un « oui » inaudible, la bouche emplie de son string.

  • Alors branle-toi lentement. En épongeant ma mouille. Ne bouge pas je reviens. Et gare à toi si tu jouis !

Elle quitta momentanément la chambre tandis que je continuai à mâcher sa culotte. Elle n’avait pas tort, ma salive mélangée au tissu semblait faire jaillir du coton la mouille qu’elle avait épanchée dans la journée.

 

A suivre

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