L’ESCLAVE SEXUEL DE MARIANNE (SUITE) : Maîtresse Dominatrice

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Non, mon sexe n’intéresse plus Marianne, ma Maîtresse Dominatrice… Il faut dire qu’elle fait l’amour avec absolument qui elle veut, et qu’il lui faut un truc plus gros… en tout cas plus long… bref, pour ce qui est du coït, elle le pratique ailleurs, plus avec moi (en fait, le coït n’est pas son sport favori).

Maîtresse Dominatrice
Elle n’a même pas besoin de se déplacer, car de plus en plus d’hommes fréquentent les salons d’esthétique, dont le sien).
Elle fait ainsi porter des cornes à la moitié de la ville, femmes… et hommes, y-compris au sein du même couple ! Monsieur et Madame Berger sont ses partenaires fréquents, ils sentent souvent l’urine en sortant du salon… mais j’ai dîné avec eux et Marianne : on dirait qu’ils ignorent vraiment l’un-l’autre qu’elle est leur Maîtresse Dominatrice commune… mais sont-ils vraiment dupes ?… quelle bande de pervers !

Donc, je ne suis plus que l’esclave de Marianne, plus vraiment sexuel. Elle exige une discrétion absolue quand je fais les travaux domestiques : toujours en son absence. Quand elle rentre du salon, je ne dois surtout pas être là : Elle peut très bien être avec une amie.
Dans ce cas, elle peut m’appeler pour l’aider à jouer avec, l’attacher, l’humilier, ou au contraire pour me soumettre à plat-ventre devant sa conquête si elle veut l’impressionner… parfois, elle me met à disposition d’une Maîtresse Dominatrice et la regarde m’utiliser, elle participe aux humiliations perverses de la nouvelle et s’inspire de celles qui l’excitent ou l’amusent…
Elle peut tout simplement être seule et ne pas souhaiter ma présence. Je suis son esclave, c’est à dire pour elle une sorte d’objet humain.
Alors, elle se ne se souvient de moi que si elle a « des fourmis dans la chatte » et personne pour s’en occuper, car JAMAIS elle ne se caresse. C’est mon travail, mon domaine, ma fierté.
D’autres fois, c’est pour s’amuser à me dresser comme un chien, ça la fait rire de me gifler quand je suis maladroit. Je ne le fais pas exprès, mais la menace des gifles me déconcentre, je ramène mal une chaussure lancée, je tombe en marchant à quatre pattes… et puis de toutes façons, elle aime me gifler, me cracher dessus et m’insulter. Quand elle est satisfaite, souvent trempée d’excitation, elle m’utilise, soit en me sodomisant jusqu’à jouir vraiment, j’allais dire… « comme un homme » ! Soit en s’allongeant, les jambes écartées, me laissant approcher à genoux et m’arrêtant d’une poussée du pied, jusqu’à ce que l’envie prenne le dessus, et là je me régale de son orchidée magnifique aux parfums puissants… son plaisir (donc le mien), est pimenté, ponctué de coups, de talons ou de cravache, destinés à me faire gémir, me contorsionner, ce qui lui procure « des ondes de plaisir » dit-elle. Avec un sourire diabolique, elle me rend fou de désir en y mélangeant la douleur.
Elle s’occupe parfois aussi de « punir mes fautes », par exemple un pli lors du repassage d’un vêtement ou d’un drap, son thé non prêt ou trop infusé quand elle rentre, un retard de plus de dix secondes lorsqu’elle m’appelle d’un claquement de doigts… mais elle me l’a souvent dit : c’est idiot, c’est un scénario, ce qu’elle aime, c’est me frapper, m’entendre la supplier d’arrêter.

Mon existence ne m’appartient plus vraiment, mais en échange de mon esclavage, j’ai le droit de contempler cette déesse se reposer, assister de temps en temps à son sourire de bien-être, sentir ses odeurs, participer à son plaisir.
Quelque chose que je ne fais pas pour elle ? C’est qu’elle n’y a pas encore pensé : quand elle réalise que telle ou telle action est un effort et non un plaisir, elle m’ordonne de la faire à sa place, me laissant le plus souvent deviner et me punissant si je ne comprends pas assez vite.
Pour elle, ma vie à moi n’a aucun intérêt en dehors de son plaisir. Notamment, je peux me masturber tant que je veux, elle s’en fout complètement.
Je l’ai fait cent fois, en humant avec délice l’auréole de sa transpiration sur un chemisier, un string sale, ses collants ou des chaussures dans lesquelles elle a transpiré.
Somme toute, je lui appartiens, et quand elle n’a pas besoin de moi je fais ce que je veux (j’ai même eu une relation avec une serveuse embauchée à l’occasion d’une fête, je lui ai avoué… et la gamine s’est retrouvée dans le lit de Maîtresse le lendemain !).
C’est ma vie et j’en suis heureux. Mais comment en sommes-nous arrivés là ?

Il y a d’abord eu Mylène. C’est son employée au salon. Jolie africaine, mince et musclée, elle est très grande, sans doute pas loin du mètre quatre-vingt et complexée par sa taille. Quel dommage… je l’ai vue essayer des talons dans une boutique, elle dominait (est-ce sa vraie nature ???) tout le monde dans son costume traditionnel du Nigeria, tout en drapés mais moulant ses formes, le turban lui ajoutant encore près de trente centimètres, elle approchait dangereusement le ventilateur de plafond. En fait, elle aurait sans doute fait une belle carrière de mannequin, mais les places sont chères. Dans son pays, disait-elle, elle passait pour un laideron et ici elle préfère jouer au basket, sport dans lequel sa taille est un atout.
Célibataire, assez délurée mais farouchement hétéro, elle refusait toutes les avances de sa patronne. Marianne avait tout essayé, à chaque fois elle se refusait et menaçait même de porter plainte pour harcèlement. Mais l’employée ne lui en tenait pas rigueur, flattée de se sentir attirante, et désirée par une telle femme.
Je l’ai croisée un jour, en tant que « mari de la patronne » et je pense lui avoir plu, ce qui n’a bien entendu pas échappé à ma Maîtresse Dominatrice. Les semaines suivantes, Marianne est devenue adorable avec moi, j’ai même dormi plusieurs fois dans son lit ! Certes, elle me sodomisait joyeusement, me giflait, me crachait et me pissait dessus, mais j’ai même passé des fins de nuits avec son corps souple et moelleux entre mes bras, après avoir tété ses seins, respectivement huitième et neuvième merveilles du monde. Je ne sais comment elle faisait pour me bouger en cours de nuit, mais je me réveillais toujours bien à ma place : piétiné au fond du lit ou étouffant entre ses fesses parfumées… le message était clair : fous le camp et prépare mon réveil.

Et un jour, elle est rentrée toute fière avec un gros paquet sous le bras. C’était un boubou haute couture du Nigéria, taillé dans un magnifique chintz camaïeu de bleus lumineux et contrastés, le turban assorti, une vingtaine de bracelets et de très sexy petits talons assortis de cinq centimètres, très décolletés.
– Que penses-tu de ce cadeau pour Mylène ?
– Magnifique, mais tu crois que ça la fera céder ? Il me semble que je pourrais peut-être la draguer un peu et l’amener ici, non ?
– C’est un peu ça, oui, mais j’ai ma petite idée, déshabille-toi.

Un SNAP accompagnait son ordre. Je me dépêchai d’obtempérer. Un autre SNAP en désignant le boubou, compris : J’enfilai tant bien que mal le costume en essayant d’imiter l’image de Mylène… puis les bracelets et les deux grandes boucles d’oreilles. Penadant ce temps, Marianne me fit une confession qui a marqué mon esprit, tant par la confiance qu’elle m’accordait que par le contenu de ses révélations.

« Petite fille, j’ai eu un chien, je l’adorais. Je jouais toujours avec, je lui apprenais des tours que je montrais à mes parents. Vers douze ans, mes jeux sont devenus différents : j’aimais tant me faire obéir, d’un seul claquement de doigts, que j’ai exploré d’autres tours… moins présentables à tout public. Comme ma sexualité s’était éveillée, c’est allé très vite : je l’ai dressé à me lécher jusqu’à la jouissance, puis j’ai tripoté ses parties génitales, mais ça me plaisait moyen. Ce que j’aimais, c’était me faire obéir, le punir quand il ne faisait pas ce que je lui ordonnais, alors je lui mettais des objets dans le cul, un stylo, puis plus gros, et un jour, une copine m’a offert un gode-ceinture qu’elle avait piqué à sa tante… Seigneur ! Qu’est-ce que j’ai pu enculer ce pauvre chien, il se laissait faire avec patience et semblait aimer ça ! Je l’emmenais toujours, discrètement, aux toilettes, pour ne plus jamais avoir à utiliser de papier. Sa langue fraîche et râpeuse sur mon petit anus me faisait parfois presque jouir…
Pourquoi je te dis ça ? Parce qu’après ça, j’ai continué tout pareil, mais j’ai pris des hommes. C’est plus facile à dresser, plus rapide, je les rends fous de moi et je peux les utiliser très vite. Ils comprennent mieux les punitions, surtout, et je les force à adorer mes gifles, parce que
ça me fait mouiller, j’adore gifler. Une mauvaise réaction à une gifle, une protestation ? Dehors ! »

Elle ne m’avait pas encore utilisé comme son chien, à part la sodomie qui faisait partie des « choses que ma femme ne me faisait pas »... mais je dois dire que son récit a fait naître en moi une sensation étrange… j’ai réalisé plus tard que c’était la crainte qu’elle m’abandonne, qu’elle ne me fasse pas subir tout ça.
Une fois habillé, y-compris le turban, Marianne en grande professionnelle (et en un tournemain) me fit un maquillage outrancier avec un gros débord de rouge à lèvres, qui me transforma littéralement en une pute de Lagos.
Elle réalisa qu’elle était satisfaite, me dit d’une voix bizarre qu’elle trouvait ma vulgarité extrêmement excitante, releva la vaste robe et commença à me caresser les fesses :

Alllloorrrs, ma petite Mylène ?… Toujours pas envie de moi, hhmmm ?… Cochonne, je le sais, que tes bracelets sont au nombre de tes amants, tu t’es bien fait sauter, petite délurée… pas une femme là-dedans ?

Lubrique, elle se suça le doigt puis me l’enfonça dans l’anus, son autre main écartant mes fesses pour le passage… son short en jean avait déjà glissé à terre, elle ôta d’un geste son haut à fines bretelles qui le rejoignit, puis reprit son massage pas banal de mon canal anal.

Mais tu mouilles, ma cochonne ! Tu sais qu’il m’excite, ton cul d’africaine ? Regarde mes tétons, comme ils bandent ! File me chercher mon gode, salope, je vais t’enculer pour toutes les fois où tu m’as refusée au salon. Prends les deux, le petit et le gros ! Et ma cravache aussi, on sait jamais, ça sert à calmer les rebelle comme toi. Ma future petite pute, qu’est-ce que tu crois ? Être la première à résister à Maîtresse Marianne ? Tu vas voir comme je vais te le défoncer, ton petit trou noir.

Je revins avec le strap-on et j’installai le plus petit sur les hanches de Marianne, totalement sous le charme de sa chair tendre et chaude, de l’odeur de sa chatte et de sa transpiration…
Elle, les yeux hagards, comme hypnotisée par la scène qu’elle se jouait intérieurement, vraiment ailleurs, elle continuait à m’appeler Mylène, me traitant de pute, me serrant le cou pour me forcer à rester à genoux. Bien sûr, elle me fit sucer l’engin de silicone (à moi de lubrifier)…
Puis elle prit un objet sur la table et me fit mettre à quatre pattes au bord des marches de la terrasse.
Descendant à celle d’en-dessous, elle me pénétra en m’insultant
Cochonne, tu aimes ça maintenant, hein ?
Elle s’excita d’autant plus quand je me mis à faire tinter les bracelets en gémissant, ce qui n’était pas vraiment de la simulation car Maîtresse pilonnait mon rectum avec rage.
Ma sssssalllloooope ! Tu agites ta joncaille, ça te plaît de te faire prendre la rondelle ? Tu fais moins la fière, à présent, hein ? Je vais te mater, moi, sale petite dévergondée !

Soudain, la sonnerie de la porte retentit. Marianne ne s’était pas placée ici par hasard : juste en face de l’entrée, l’autre objet était la télécommande du portail. Elle ouvrit, et bien sûr… Mylène apparut (je conseille la bibliothèque rose à ceux qui n’avaient pas deviné).

Dire qu’elle fut surprise serait exagéré. En tout cas, elle ne le montra pas. Au contraire, joignant les mains, elle poussa un cri d’excitation comme une fillette de six ans qui découvre sa poupée, cadeau d’anniversaire !
Oh, c’est ce que vous m’avez promis ? Je peux ?  Elle se déshabilla illico et prit le deuxième gode sur la table… ainsi que la cravache.

-À moi, s’il vous plaît, Madame !
-Bon, d’accord, mais tu sais ce que je veux en échange ?
-Tout ce que vous voudrez, patronne !

Marianne se retira et remonta ma robe jusque par-dessus ma tête.
À peine deux secondes plus tard, ma volée de coups de cravache commença !

Alors, « MONSIEUR le mari de Madame » ? SCHLACK ! On veut draguer les employées ?  SCHLACK ! Mais qui va se faire enculer, hein ? SCHLACK ! C’est le bon gros Jean-Louis, l’esclave, la fiotte, la lopette qui s’habille en Princesse Bamiléké ! SCHLACK ! Tu n’as pas honte ? SCHLACK ! Tiens, salopard ! SCHLACK ! Il faut te dresser, toi ! SCHLACK !

Elle en bavait presque de rage… et moi qui pensait lui avoir plu !
Pendant ce temps, Marianne avait fait le tour et tiré une chaise face à moi. Elle s’assit et écarta ses cuisses avec précipitation, comme si elle allait jouir d’un instant à l’autre, plaqua ma bouche à sa chatte trempée et déjà brûlante. Mylène m’avait pénétré, je gémis un peu, ses coups de reins étaient énormes, j’avais le dos en feu et ce gode était le plus gros… C’est là, comme toujours au spectacle de ma douleur, que Maîtresse jouit en criant, secouée de plusieurs spasmes d’une violence rare, m’enfonçant littéralement la tête entre ses jambes crispées, les refermant en une clé, serrant comme un étau et après l’explosion me poussant vers le bas pour le final ligual anal… son odeur embaumait la terrasse, il me semble entendre Mylène sniffer ce parfum musqué et l’apprécier… Marianne avait-elle gagné la partie ?
Mon enculeuse donna encore trois coups de reins très secs, puis se retira et vint prendre la place de sa patronne… je lèchai immédiatement la chatte noire et rose ou perlait une abondante rosée, d’une odeur plus douce mais d’une saveur acide… Marianne monta à cheval sur mon dos et se soulagea, comme d’habitude… un flot brûlant raviva les douleurs du fouet, je hurlai dans la chatte de Mylène qui semblait fascinée… elle s’était immédiatement excitée et tendue à la vue de l’urine jaune qui jaillissait en flot du sexe de l’esthéticienne, et caressait frénétiquement son clitoris, son autre main tapant sur ma tête au rythme des ondulations de son ventre, pour que j’enfonce ma langue plus profond dans son vagin… et elle lâcha prise :

AH ! AAH ! Aaaahh ! Ça y’est, je viens… lèche, lèche, lèche encore, lèche encore, esclave ! Lèèèèche !!! Je jouiiiiiiiiiiis !!!! mais… vous pissez sur l’esclave, Madame ? C’est… cochon, c’est sale, vicieuse, ça m’exciiiiite… moi aussi, je piiiiisssse !

Et voilà son jet tout aussi puissant qui m’éclaboussait le visage, je n’y voyais plus rien, cependant qu’elle et Maîtresse éclataient de rire… Mylène riait de bon coeur en pissant des saccades d’une urine forte et brûlante, elle rit, elle rit, elle rit… et s’arrêta brusquement.

Je m’y attendais un peu…
(pas vous ? même conseil pour les mêmes… bibliothèque rose)

Marianne l’embrassait à bouche-que-veux-tu, bien sûr. J’entendis des bruits de succion, de salives et de langues qui, avides, s’entremêlaient, et j’assistai à cette nouvelle victoire de… hum… l’amour…
À coups de cravache, de gifles, de coups de pieds, elles m’obligèrent (façon de parler, je ne me suis pas fait prier) à lécher leurs entrejambes, puis leurs pieds, et je filai chercher une serviette de toilette pour essuyer ces derniers. Elles continuèrent à s’embrasser, nues, à cheval sur mon dos, en riant, alors que je les transportais jusqu’à la piscine, où elles me congédièrent d’un geste méprisant :

PFFFUITTTT ! Dégage, la salope, tu pues la pisse et puis d’abord, on ne parle pas aux enculées ! (rire gras de mégères moqueuses).

Ce jour-là marqua un tournant dans l’évolution de mon état d’esclave, car avec Mylène, le bruit se répandit. Marianne commença à me faire venir pour le plaisir de ses clientes sadiques ou fétichistes, et les deux esthéticiennes, qui devinrent très amies, s’en firent rapidement d’autres, très curieuses et attirées par « ce qui se dit »…

D’ailleurs, les étapes suivantes furent gynarchiques et lesbiennes, dont une fête mémorable au bord de la piscine… (à suivre)

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