Vanessa et S., magnifique dominatrice (6)

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Vanessa et S., magnifique dominatrice (5)

Par deux fois, O… se releva pour resservir en vin les deux amies, qui ne le remercièrent même pas, accaparées qu’elles étaient par leur conversation. Ensuite, il se remit en position. Vanessa était clairement très intéressée par ce que lui disait son hôtesse,  cette magnifique dominatrice. Elle ne cessait de poser des questions.

Tout savoir sur l’esclave zuma!

La sexualité d’O… semblait la captiver tout particulièrement! Tout en continuant de déguster les fruits de mer qui  devenaient plus rares dans la glace pilée du plateau, elle posa beaucoup de questions. Ainsi, elle voulait tout savoir sur ses performances sexuelles, la taille de sa queue, sa résistance, l’efficacité de la cage, l’habileté de ses doigts et de sa langue…

A chaque fois, S… lui répondait sans hésiter, ne cachant rien de ce qu’était son mari, ou plutôt son esclave. En effet, pas une fois, elle ne le nomma par son prénom. Elle parlait toujours de lui en tant que zuma. Toujours à genoux, O… éprouvait une honte infinie à ce que l’on parle ainsi de lui en sa présence, sans lui prêter la moindre attention, comme s’il s’était agi d’un chien ou d’un objet.

Et en même temps, l’humiliation que représentait le fait d’être ainsi traité par son Épouse, magnifique dominatrice et sa ravissante amie comblait sa nature profonde. Il était si excité que son sexe entra cette fois dans une puissante érection. Dans un réflexe purement animal, il ne put réprimer une légère ondulation de son bassin, à la recherche d’un plaisir dont, pourtant, il savait qu’il ne viendrait jamais.

A la place, il éprouva une douleur sourde au bas-ventre alors que sa queue dilatée était comprimée par les fins barreaux métalliques de la cage de chasteté. S… s’en aperçut et, désignant du menton son esclave, elle dit à Vanessa, avec une forme de mépris dans la voix qu’il ne lui avait encore jamais entendu :

  • Tiens ma chérie, toi qui veux savoir si zuma est encore capable de bander, regarde-moi ça !

Inspecté par Vanessa, avec l’approbation de sa magnifique dominatrice!

 

La jeune femme, tout en achevant de décortiquer une dernière langoustine, tourna la tête vers O… et sembla fascinée par le spectacle de cette queue martyrisée par sa prison de métal. Elle s’exclama :

  • Incroyable ! Il faut que je voie ça de plus près !

 

  • Esclave, fit aussitôt S… avec autorité, approche et viens montrer ta queue à Vanessa !

Sans la moindre hésitation, le cœur battant, O… se leva et se plaça debout, les jambes écartées et les mains dans le dos aux côtés de Vanessa qui, sans aucune gêne apparente, mâchant sa dernière bouchée, fixa des yeux la cage de chasteté tandis qu’elle s’essuyait les mains.

  • Mmmm… Magnifique, je peux toucher ?

 

  • Bien sûr Vanessa, quelle question, il est à toi !

 

  • Merci ma chérie. Approche un peu plus, zuma, et montre-moi ta queue.

magnifique dominatrice

O… fit un pas en avant, le pubis désormais à peine à 50 centimètres de Vanessa. Sous le regard bienveillant de S…, la jeune femme tendit la main droite et la plaça délicatement sous les testicules d’O… qui frémit au contact de cette peau étrangère. Il écarta spontanément un peu plus les cuisses afin qu’elle put avoir un accès plus facile à ses parties génitales.

Elle les souleva doucement, les soupesa, faisant durcir encore un peu plus dans sa cage le membre devenu violacé.

  • Magnifique, répéta-t-elle. J’adore ce pubis et ce sexe impeccablement rasés. La cage est vraiment très serrée et lourde, tu as mal, esclave ?

 

  • Oui Mademoiselle, très.

 

  • Et comme ça ? s’amusa-t-elle, serrant tout-à-coup violemment les testicules dans sa main.

 

Rapprochement entre sa magnifique dominatrice et Vanessa!

O… ne put réprimer un petit cri de douleur ni un léger mouvement de recul du bassin. Il se ressaisit vite, s’offrant à nouveau à la jeune femme qui poursuivit son auscultation. Excitée, S… rapprocha sa chaise de celle de son amie et se lova contre elle, la tête sur son épaule, pour jouir du spectacle.

Elle introduisit sa main gauche dans le décolleté de son amie, commençant à lui effleurer les seins très doucement. Vanessa laissa échapper un soupir de contentement en fermant un instant les yeux. Cette vision de la poitrine opulente de la jeune femme, dont il se rendit compte pour la première fois qu’elle était totalement libre, que son Épouse caressait si sensuellement sans aucune pudeur, renforça encore l’excitation d’O!

Son sexe palpitait d’un mélange de désir et de douleur dans la cage que Vanessa continuait à tenir dans sa main en l’examinant. Constatant que le gland était totalement visible, elle fit courir l’ongle de son index sur sa peau fragile et demanda à son amie :

  • Il est circoncis ?

 

  • Non, répondit S…, mais la cage retient le prépuce lorsque la queue y entre, et le gland reste découvert en permanence, comme s’il était circoncis, en effet. J’aime cette idée, quand il est nu, de pouvoir voir son gland à tout moment, je trouve que ça renforce sa nudité et sa vulnérabilité.

 

  • Je suis d’accord, j’aime cette idée également. Je te le répète, je suis vraiment très admirative de cette relation que tu as établie avec lui. J’ai toujours trouvé ces relations SM un peu extrêmes, si ce n’est malsaines. Mais là, je trouve que tu as créé quelque chose de très beau avec lui. Et je dois t’avouer que cela m’excite énormément…

Suite de la soirée dans la chambre de S…

Joignant en quelque sorte le geste à la parole, elle relâcha son emprise sur les parties génitales d’O…! Sachant d’instinct où était sa place,  ce dernier recula de quelques pas et s’agenouilla en baissant le regard. Ensuite, elle se tourna vers S…, à la fois pour lui faciliter l’accès à ses seins et pour, à son tour, hasarder sa main droite vers l’entrejambe de son hôtesse.

S… ouvrit légèrement les cuisses pour s’offrir à son amie qui put constater que rien de tout cela ne l’avait laissée indifférente.

  • Mmm… merci pour ce merveilleux diner. Je dois reconnaitre que je n’ai plus très faim. Ou plus exactement, j’ai faim d’autre chose à présent…

 

  • Je t’en prie ma chérie, tout le plaisir était pour moi. Et comme tu le vois, j’ai moi aussi très envie de toi ! Suis-moi.

Elle se leva, entrainant Vanessa par la main vers la chambre. En passant devant lui, elle regarda O…, nu et à genoux. Ce spectacle l’excita encore un peu plus. Le regard de son mari croisa le sien. Elle vit qu’il était heureux. Il bandait toujours dans sa cage. Son amie avait raison : ils avaient construit ensemble une relation magnifique que peu de gens pourraient comprendre.

Obligé de tout ranger pendant ce temps là!

Vanessa, clairement, était de ceux-là. Elle aussi était heureuse, emplie d’un désir dont elle savait qu’elle allait l’assouvir sans retenue, pour la première fois avec une autre femme. Elle lança à O… un ordre qui claqua comme un coup de fouet :

  • Esclave, tu seras gentil de tout ranger et tout nettoyer pendant que Vanessa et moi allons baiser. Fais toute la vaisselle à la main ce soir, tout doit être impeccable, tu sais que je suis maniaque. Quand tu auras fini, viens te coucher discrètement au pied du lit, nous ne voulons pas t’entendre. Au travail !

Les deux amantes se prirent par la taille et disparurent dans la chambre en riant tout en s’embrassant, laissant la porte entrouverte pour qu’O… puisse les entendre pendant qu’il s’affairait. Il commença à débarrasser la table, faisant le moins de bruit possible pour ne pas troubler leurs ébats. Les rires s’étaient mués en chuchotements, qui firent rapidement place aux premiers gémissements de plaisir : il était à nouveau cocu !

(A suivre…)

 

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