Rééduqué par mon épouse dominatrice, une brillante avocate!(4)

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Mon épouse dominatrice quitta momentanément la chambre tandis que je continuai à mâcher sa culotte. Elle n’avait pas tort, ma salive mélangée au tissu semblait faire jaillir du coton la mouille qu’elle avait épanchée dans la journée. Quand elle revint, elle agita le préservatif rempli par Tony, notre voisin.

  • Donne-moi le string, gros cochon, et continue à t’astiquer.

J’ouvris la bouche, presque mécontent qu’elle m’enlève ainsi mon jouet. Qu’avait-elle donc en tête ?

  • Tends tes mains.

 

Prêt à tout pour le plaisir de mon épouse dominatrice!

 

épouse dominatrice

 

Je m’exécutai. Elle déplia le string trempé de ma salive entre mes mains, puis commença à vider le préservatif dans la petite partie la plus élargie.

  • Je me suis souvent fait baiser avant de rentrer à l’appartement et par mauvaise conscience, je nettoyais toujours mes sous-vêtements. Il est temps de réparer l’injustice tu ne penses pas ?

 

  • Je… si Déesse Jessica, bien sûr…

 

  • Tu aurais pu découvrir ainsi tous mes adultères, je suis sûre que ça t’aurait plu !

 

  • Je… je ne sais pas…

 

  • Mais si tu le sais… quand tu as vu Tony en train de me labourer, quel a été ton premier réflexe ? Sortir ta queue pour l’astiquer comme une petite chienne. Alors ne va pas me faire croire que ça ne t’aurait pas plu ! Regarde !

La quantité de sperme répandu sur le string était impressionnante. Je continuais à m’astiquer en rythme et je sentais la tension qui montait dans mon bas-ventre.

  • Regarde comme tu t’astiques encore… regarde comme ça t’excite… une vraie pute !

 

  • Oui Déesse Jessica…

 

  • Tu as envie de te vider hein…

 

  • Oui Déesse Jessica…

 

  • Tu penses que tu le mérites ?

 

  • Je ne sais pas, Déesse Jessica.

 

  • Pour le moment, je n’en suis pas persuadée, mais tu pourrais peut-être faire quelque chose pour me faire plaisir ?

 

  • Tout ce que vous voulez, Déesse Jessica.

 

  • Alors mange!

 

Quel bon chien obéissant!

Elle me désigna le string couvert de sperme. Une sueur froide me traversa.

  • Mange-le, goûte-le, goûte mon amant, avale-le! Je t’autorise à vider tes misérables « burnes » sur mes pieds.

Que faire ? Avaler du sperme me dégoûtait, mais comment refuser cette offre ? Comment m’endormir sans me vider à ses pieds si beaux, si délicats, si parfaits ? Une fois de plus, l’instinct prit le dessus sur la raison. J’engloutis son string dans sa bouche. L’odeur de sperme envahit mon palais, je réprimai un haut-le-cœur.

  • Quel bon chien obéissant ! Que tu me fais plaisir ! me dit Déesse Jessica en me tapotant les joues. Regarde-moi ça comme tu l’essores bien. Allez astique-toi plus fort, mon chien, astique-toi comme une pute, regarde mes jolis pieds, viens les couvrir de ton foutre.

Je ne pensais plus à rien. Ma salive et le sperme de Tony se mélangeaient dans ma bouche. Dans le même temps, je m’astiquais brutalement le sexe. Elle m’encourageait en venant frotter son pied sur mes testicules. Quelques instants plus tard, je me répandis en gémissant, serrant fort mes dents sur le string. De longs jets de sperme vinrent maculer ses pieds et ses jambes. Elle poussa un cri de surprise.

  • Eh bien mon cochon tu ne t’étais pas vidé depuis quand ? Tu as tout salopé regarde-moi ça ! Une vraie pute en manque ! Retire ce string de ta bouche et nettoie-moi tout ça, je n’ai pas envie de reprendre une douche.

Je retirai le string et vins méticuleusement essuyer ses pieds et ses jambes. Elle me regarda faire, commenta et elle m’indiqua, même, les gouttes qui étaient parties plus loin, sur le parquet.

  • Voilà, déguste mon chien… montre-moi ta bouche ?

A quatre pattes, direction la salle de bain!

Je relevai la tête, la bouche encore couverte de sperme.

–       Ça te plaît hein ?

–       Oui, Déesse Jessica.

–       Une vraie petite « bouffeuse » !

–       Oui, Déesse Jessica.

–       Alors dis-le, sois gentille !

–       Je suis une vraie bouffeuse de sperme, Déesse Jessica…

Elle me tapota la joue.

–       Comme tu aimes ça je serai gentille avec toi, je vais t’en rapporter, tu pourras te régaler ! Allez suis-moi à la salle de bains…

À quatre pattes derrière elle, je la suivis jusqu’à la salle de bains où elle attrapa sa brosse à dents.

–       Pas de brossage de dents pour toi ce soir ! Ce serait dommage tout de même que tu perdes ce bon goût dans ta bouche, non ?

–       Euh… oui Déesse Jessica.

Elle commença à se brosser les dents devant moi.

 

–       J’ai été très gentille avec toi aujourd’hui, mon chien. Cela ne pourra pas se passer comme ça tous les jours, tu le sais ?

–       Oui, Déesse Jessica.

Elle recracha son dentifrice dans l’évier, puis m’entraîna jusqu’aux toilettes sur lesquelles elle s’assit, écartant les jambes sans aucune pudeur.

Forcé à boire l’urine de mon épouse dominatrice!

Elle m’attrapa par les cheveux pour me redresser la tête et me jetta un regard attendri.

–       Mon pauvre petit chien, tu en as encore plein les lèvres… est-ce que tu voudrais un petit bain de bouche ? Ou tu préfères t’endormir dans l’odeur de ton foutre ?

–       Je… comme vous voulez Déesse Jessica.

–       Mmm tu as raison, comme je veux ! Alors approche ta bouche.

Mon épouse dominatrice plongea d’un coup sec mon visage dans son entrejambe. Et se mit d’un coup tout aussi sec à uriner. Elle se soulagea dans ma bouche. Surpris, je recrachai une partie dans la cuvette, ce qui me valut une gifle monumentale. Je m’efforçai alors de prendre le maximum de son jet dans ma bouche. Son urine ètait salée, moins désagréable que je n’aurais pu le craindre. Elle releva ma tête.

–       Ça c’est un bon chien ! N’avale pas tout de suite ! Fais des gargarismes, c’est important d’avoir une bonne hygiène buccale.

Je m’exécutai pendant qu’elle me regardait en souriant.

–       Voilà, tu peux tout avaler maintenant.

Je l’avalai, non sans mal, pas loin de tout régurgiter. Ma bouche eut un affreux goût mélangé d’urine et de sperme.

–       Nettoie, maintenant.

 

Transformé en quelques heures en chienne docile et assoiffée par mon épouse dominatrice!

Elle avança son entrejambe vers moi, je commençai à la lécher avec avidité pendant qu’elle me caressait les cheveux. Et je me remis instantanément à bander.

–       Oh c’est pas vrai, tu recommences ? Tu es insatiable en fait ! Il va falloir faire quelque chose, tu ne peux pas bander à tout bout de champ comme ça tu en as conscience ?

–       Oui, Déesse Jessica.

–       Allez ça suffit pour aujourd’hui. Je dois me lever tôt demain et toi tu as des emplettes à faire.

Elle me tira par les cheveux pour m’emmener dans la chambre et alla s’écrouler dans le lit.

–       Toi tu dormiras là désormais, à mes pieds sur le tapis.

–       Bien, Déesse Jessica.

Je m’allongeai sur le tapis. Elle éteignit la lumière mais je distinguais encore la lumière de son portable.

–       Bonne nuit, Déesse Jessica.

–       Bonne nuit mon chien.

En m’endormant sur le tapis, je repensais à ma première nuit de rééducation. La première d’une longue série, je le savais déjà. Jessica, mon épouse dominatrice, avait réussi, en quelques heures à peine, à transformer son mari en une chienne docile et assoiffée, comme si elle avait su lire en moi ce que je n’arrivais pas m’avouer moi-même. De quoi seront faits les jours suivants ? Il fallait les prendre les uns après les autres. Demain, je devais aller à l’animalerie pour acheter un collier et une laisse. Nous verrons comment notre nouvelle relation s’établir.

 

A suivre

 

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