La sublime Maîtresse et son jeune esclave (la suite)

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sublime MaîtresseA la demande de ma nouvelle sublime Maîtresse j’avais préparé et transmis par mail un emploi du temps précis avec les horaires de mes cours, les dates de mes partiels, mes vacances,  jours fériés, etc. Elle devait pouvoir m’appeler à tout moment. Si j’étais dans l’impossibilité de me déplacer il fallait que j’envoie un long message d’excuses pour implorer son pardon et sa clémence. Libre à elle ensuite, de me punir plus tard ou de m’éjecter définitivement. Je n’avais plus de nouvelle depuis plusieurs jours quand je reçu un SMS laconique. « Viens le plus vite possible esclave, j’ai besoin de toi. » Crevé par une journée de cours intenses, j’avais prévu une petite soirée tranquille chez moi, mais j’étais euphorique à l’idée de retrouver cette femme envoutante. J’étais très excité mais j’avais peur qu’elle me fasse trop mal et que je ne le supporte pas…

Quand elle m’ouvre la porte je suis très surpris de la trouver téléphone à la main dans une tenue décontractée, un pyjama en satin noir, une grande veste en mohair par dessus, pieds nus dans des pantoufles fourrées. Elle est prise dans sa conversation téléphonique et me regarde à peine, se contentant de m’indiquer la direction de ses pieds avec son doigt.

Je comprends très vite, me prosterne à ses pieds en embrassant chacune de ses pantoufles.

– Bon je vais de voir te laisser il vient d’arriver.

Intrigué et inquiet, je me demande à qui elle s’adresse. je crois percevoir une voix féminine. Elle rit.

– Tu es bêtes… Bon allez je t’embrasse ma chérie !

Je reste à ses pieds sans oser bouger, me sentant un peu bête.

– Tu as ta petite blouse de sous-fifre?

– Oui dans mon sac Maîtresse. Je l’ai toujours avec moi.

– Hum, c’est un bon petit esclave ça, organisé, prévoyant.

– J’ai également les 27 euros pour vous rembourser la blouse.

Elle rit.

– Relève toi, Pose l’argent ici et mets ta blouse. Reste habillé parce que tu va commencer par laver ma voiture. Ça m’amuserait beaucoup de te voir dehors à poils mais tu vas attraper la crève et un esclave malade me servirait pas à grand chose…

C’était une magnifique Audi A1 noir nacré garée sur l’allée à l’extérieur, devant le garage. J’avais tous les produits d’entretien et matériel nécessaire dans le garage. En me tendant les clés, elle m’a demandé de faire très attention, sans plus de consignes. Après le jet d’eau j’ai frotté avec une éponge douce et un peu produit pour la laine. J’ai du changer plusieurs fois l’eau pour laver les roues très sales. Le travail n’était pas passionnant, j’avais surtout peur de faire une bêtise, mais j’ai aimé caresser le cuir des fauteuils avec mon chiffon et le produit spécial. Je l’imaginais assise au volant…

Lorsque le travail fut terminé je suis rentré, plutôt fier du résultat mais avec la crainte qu’elle ne trouve n’importe quelle excuse pour me corriger.

En fait elle n’a même pas regardé, elle m’a juste demandé de me mettre en caleçon et avait une liste d’autres taches ménagères à me confier.

Je me suis encore une fois retrouvé à faire la vaisselle, nettoyer la cuisine, laver le sol. Dans le salon j’étais à quatre pattes pour lustrer le parquet avec un chiffon. Elle était assise confortablement sur le canapé à pianoter son ordinateur portable sur les genoux. Elle ne se préoccupait pas de moi. J’étais juste une boniche, ce n’était ni amusant ni très excitant. Depuis un moment, je cogitais beaucoup en pensant à ma situation…

– Qu’es-ce que tu as à faire la gueule esclave? Tu crois que c’est marrant pour moi de devoir subir ta tronche de chien battu quand j’essaie de me détendre? Viens ici, aux pieds!

j’avance à quatre pattes jusqu’à ses pieds. Elle m’attrape la tête avec la main gauche et me balance une claque violente avec la droite.

– Qu’est-ce qu’on dit?

– Merci Maîtresse.

– Ouvre la bouche.

Elle m’attrape la tête avec les deux mains pour cracher directement dans ma bouche.

– Mets toi à quatre patte devant moi, ton dos va me servir de repose pieds.

Je m’exécute.

– Un peu plus bas.

La position n’est pas très confortable mais je suis content d’avoir ses deux pieds sur mon dos.

– Tu gâches tout esclave, c’est dommage. Un peu de ménage c’est quand même le minimum que je sois en droit d’exiger de mon jeune esclave, tu ne crois pas?

– si Maîtresse.

– J’ai une femme de ménage mais elle n’est pas tout le temps là, je ne peux pas tout lui demander, en plus elle commence à être vieille, elle a mal au dos… Je devrais la virer mais je sais qu’elle a besoin de ce travail minable et je suis trop gentille… Alors je la garde… Mais si tu commences à m’ennuyer, c’est toi que je vire. Tu veux ça?

– Oh non Maîtresse, je vous en supplie…

– Un esclave doit tout accepter de sa Maîtresse. Tes seules limites sont celles que je fixe moi. Ce n’est pas à la carte l’esclavage, c’est tout ou rien. Je veux bien te garder un peu à l’essai mais après tu devras signer un contrat si je te garde. ça n’a rien de juridique mais c’est un symbole très fort, c’est encore plus important… Tu es ma chose, chaque centimètre de ton corps m’appartient, tu dois tout accepter si je te le demande, que ça soit douloureux, fatiguant, humiliant, dégradant, tout… à partir du moment où je te le demande.

J’écoutais attentivement mais un peu effrayé. Elle reposait toujours ses deux pieds sur mon dos et parlait tranquillement d’une voix calme, comme si la situation était parfaitement naturelle. Le contraste entre sa voix douce et ses propos était troublant.

– Là j’ai envie que tu fasses du ménage que je n’ai pas l’intention de faire moi même ou que je ne peux pas confier à ma femme de ménage, alors tu le fais. Ce n’est pas grand chose… C’est fatiguant, peut-être, ce n’est pas mon problème, je m’en fou… Tant que ce n’est pas moi qui me fatigue c’est la seule chose qui compte pour moi et qui devrait compter pour toi. c’est clair?

– Oui Maîtresse.

Elle me présente un de ses pieds qu’elle a déchaussé.

– Baise le pied de ta maîtresse.

Il est vraiment magnifique, d’une féminité provocante, je l’embrasse avec dévotion.

– Hum mais je vois à travers ton caleçon que mon pied te fait de l’effet?

Elle rit. Je suis rouge mais je peux difficilement cacher mon érection.

– Mets toi sur le dos.

Elle plaque ses deux pieds nus sur ma tête. Pour moi c’est le bonheur, je dois avoir un sourire bête.

Elle s’amuse à me frotter les pieds sur mon visage. Ils sont chauds et un peu humides avec une légère odeur de transpiration. Je suis envouté. Elle semble amusée par le pouvoir que ses pieds ont sur moi.

– Ils te plaisent mes pieds?

– Oui Maîtresse.

– C’est normal, ce sont les pieds de ta Maîtresse, tu dois les chérir, les vénérer.

– Oh oui Maîtresse.

– Tu dois en prendre soins, ils sont bien plus importants que toi. Tu dois être prêt à te sacrifier pour eux.

Je ne comprends pas ce qu’elle veut dire mais réponds.

– Oui Maîtresse.

– Baise les maintenant, montre moi comme tu les aimes.

Je les embrasses partout. La peau est soyeuse et délicate. Elle s’amuse de temps en temps à les déplacer pour que je soit obligé de contorsionner pour continuer à les embrasser.

– Tire la langue!

Elle frotte chaque plante de pied sur ma langue et rit. Elle s’essuie les pieds sur ma blouse et mon caleçon, puis me jette un coussin.

– Mets ça sous ta tête, j’ai envie de l’écraser sous mes pieds…

Je me mets sur le dos et attends apeuré et excité qu’elle me monte dessus. Debout, elle me scrute comme si j’étais sa proie. Un premier pied se plaque sur ma bouche.

– Donne moi tes mains.

Je lui tends les mains pour l’aider à garder son équilibre. elle ne me quitte pas du regard. J’ai tout son poids sur ma mâchoire, j’ai l’impression qu’elle va exploser, son deuxième pied se plaque ensuite sur mon front. J’ai les bras tendus, ses mains chaudes et douces dans les miennes et ses pieds qui m’écrasent la tête. Elle est légèrement penchée mais me lâche progressivement les mains. Elle a trouvé son équilibre, j’ai tout son poids sur la tête.

– Ca va en dessous esclave? Hi hi, tu ne peux pas parler, ce n’est pas grave… J’adore être sur ta tête, quel meilleur sentiment de puissance, de pouvoir?

J’ai l’impression que ma tête va exploser.

– Tu sais esclave, je bougerais quand j’en aurais envie, là je suis bien avec ton cerveau sous les pieds.

Elle rit. Je n’en peu plus. Elle libère enfin ma tête torturée.

– Oh les belles traces de pieds, c’est mignon… Remet moi mes pantoufles.

Je m’exécute avec grande délicatesse et un grand mal de crâne…

– Comme tu aimes mes pieds j’ai quelque chose qui devrait te faire plaisir… Tu vas astiquer mes chaussure. Suis moi !

Dans le dressing, les chaussures occupent une place de choix. Elles semblent toutes provenir de boutiques très chiques. Il y a des ballerines, des mocassins, des escarpins, des bottines à lacets, des bottes, des sandales, des chaussures de sport, des mules, des chaussures en toile, … même des espadrilles et des tongs… un paradis. c’est le palais de la belle chaussure, plus élégantes les unes que les autres. Cette fois-ci je suis très enthousiaste. Je dois utiliser des chiffons, cirages et crèmes prévus à cet effet. A chaque paire de chaussures entre les mains, j’imagine ses pieds de déesse à l’intérieur. J’ai vécu un grand moment de bonheur, même s’il a ne m’ a confié que deux étagères de chaussures.

Elle est venu inspecter mon travail rapidement en piochant 2 ou 3 paires pour les examiner. Elle n’a rien trouvé à redire.

– Pas mal esclave, pas mal…

Elle réfléchit, me regarde et prend ensuite dans une étagère d’été, une paire de tropézienne qui ne faisait pas partie des chaussures dont je devais m’occuper. Je suis troublé, j’ai peur de sa réaction…

– Tiens, celles-ci tu vas les lécher. Allez au boulot le petit chien, commence par l’intérieur, la semelle est sale je voulaient les changer mais je les aiment bien… je veux qu’elles soient comme neuves. Allez lèche le chien, lèche bien.

Il y a des marques de saleté accumulée à l’intérieur, mais elles ne sont pas dans un état épouvantable. A force de passer ma langue la saleté s’estompait mais je devais l’avaler. Le goût était salé, mais pas spécialement désagréable. Ca ne me dérangeait pas du tout. En revanche quand il a fallu nettoyer les semelles extérieures rapeuses, s’était beaucoup moins agréable.

Elle s’était assise tranquillement sur le banc en velours et me regardait avec condescendance m’humilier en léchant avec application ses semelles de chaussures.

– Tu as déjà fait de l’équitation, esclave?

– Non Maîtresse.

– C’est vrai??? Moi j’adore l’équitation, j’étais toute petite la première fois que je suis monté sur un cheval, mais ça fait quelques années que je ne monte plus… J’ai une amie qui domine également les hommes, c’est une « gynarchiste » militante. Elle est très jeune, à peine 30 ans mais elle m’a appris énormément de choses. Elle a plusieurs hommes à ses pieds qu’elle exploite et martyrise, pour leur plus grand bonheur…

Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir, je continuais à lécher studieusement les semelles de ses sandales. Ma bouche était sèche.

– Elle utilise un de ses soumis comme « ponyboy », elle le monte régulièrement, elle l’a super bien dressé et fait maintenant de longues ballades sur ses épaules. Ca me plairait beaucoup de pouvoir faire ça avec toi. Tu en penses quoi?

– J’aimerais bien Maîtresse, mais je n’ai jamais pratiqué…

– Ce n’est rien ça, ce n’est pas très compliqué… tout ce que tu as à faire c’est porter ta Maîtresse sur les épaules et avancer sans la faire tomber.

– Oui Maîtresse

– Je ne veux pas prendre de risque et me faire mal… Elle est d’accord pour te dresser quelques séances et faire de toi un bon cheval capable et réactif. Comme ça on pourra faire des ballades sympas avec elle et son soumis. Je vais essayer d’organiser ça assez vite. En attendant il faut que tu penses à te muscler régulièrement.  Il ne faudra pas me mettre la honte, si non tu vas te souvenir de ta correction…

– Oui Maîtresse.

L’idée me plaisait mais je ne savais pas si je serais capable et j’avais peur qu’elles soient peu indulgentes et compréhensives avec moi.

– Bon c’est bon la sandale, tu peux arrêter. fais voir ta langue !

Je tire la langue honteux… Elle éclate de rire et me regarde d’un air moqueur et triomphant.

– Elle est devenue grise !!! C’est dégoutant, on dirait vraiment un animal… Je ne sais pas si elle va retrouver ça couleur naturelle…Je veux que tu baises mes pieds maintenant et que tu me remercie pour t’avoir donner des petites corvées à faire. Merci surtout tu me touche pas avec ta langue pourrie. Je t’écoute.

Rouge de honte, la tête inclinée vers ses pantoufles je cherchait mes mots pour lui exprimer ma gratitude. J’avais un peu de mal…

– Allez dépêche toi, on n’a pas toute la soirée, je veux aller me coucher. Et elle me flanque une gifle.

Une fois satisfaite de mon petit discours elle me libéra enfin. Il fallait que je cours pour ne pas rater le dernier métro…

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1 réflexion au sujet de « La sublime Maîtresse et son jeune esclave (la suite) »

  1. Très sincèrement, c’est l’une des plus belles histoires qu’il m’ait été donné de lire. Elle est parfaitement écrite et ne souffre pas d’un scénario abracadabrantesque. J’espère de tout cœur qu’il y aura une suite un jour!

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