Transformation d’un étudiant soumis en soubrette. (5)

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Une journée bien préparée

Maitresse Isabelle a décidé qu’aujourd’hui son petit étudiant soumis, Warrita se consacrerait au ménage. Comme tous les matins,  Warrita habillée de sa petite nuisette rentre à 8h précise, sans faire de bruit, dans la chambre de sa Maitresse et se met à  genoux  au pied du lit.

Délicatement, elle défait les draps et commence à  masser et sucer les pieds de sa divine Maitresse. Un doux ronronnement de plaisir lui fit comprendre que son action menée avec tact et dextérité réveille sa Maitresse en douceur.

Elle lèche encore avec plus d’application les pieds, n’hésitant pas à les enfourner complétement dans sa bouche pour mieux les aspirer et les malaxer.

-Warrita, ce matin tu laves l’appartement ! Tu portes juste ta petite culotte rose et ton collier. Tu commences dans une demi-heure. Aspirateur, poussière, vaisselle, lavage par terre du sol et de la salle de bain…Tu connais la place de tous les produits.

-Va te préparer et attend mon départ à genoux dans un coin. Je déteste me préparer dans le bruit.

A genoux, au coin en attendant son départ !

D’un mouvement du pied, elle me repousse. Je quitte sa chambre en lui disant clairement :

-Oui, Maitresse Isabelle.

-La petite culotte rose sera utile pour faire les carreaux extérieurs. Je suis sure que tu mettras tout ton cœur pour les faire au plus vite. Attention, à la moindre tache suspecte tu recommences tout devant moi avec des pinces aux seins et peut-être sans culotte…Compris ?

-Oui, Maitresse Isabelle.

J’avale en vitesse un bol de céréales. Ensuite, j’enfile ma petite culotte rose en dentelle et je fixe autour de mon cou le collier noir. Je mets à genoux dans le coin du vestibule qui m’est destiné et je place les bras sur ma tête et reste ainsi sans bouger.

Après un certain temps, la porte de la chambre s’ouvre…

-Très bien warrita ! tu commences à connaitre ta place…Je m’en vais accompagner une amie et je serai de retour dans la matinée. Tu commences immédiatement !

Après m’avoir tiré l’oreille pour me rabaisser un peu plus, Maitresse Isabelle claque la porte d’entrée et la ferme à double tour.

Je  me relève et commence à  évaluer les travaux ménagers prévus pour la journée.  Maitresse est partie et je décide de me reposer encore un petit temps…Qui le saura ?

J’allume la télévision sur les infos et je me couche sur le sofa. Enfin seul et sans personne pour m’humilier et me dresser constamment. Je ferme les yeux et commence à rêvasser doucement en sentant le tissu de la petite culotte sur mon entre-jambe.

Un retour inopiné !

Un bruit de clefs dans la serrure, le claquement de ses hauts talons sur le sol et Maitresse Isabelle est devant moi. Je n’ai pas eu le temps de me lever ni d’éteindre le poste. Une paire de gifles bien claquantes me font comprendre que l’heure est grave !

-Menteuse, fainéante, tu seras punie toute la journée et peut-être plus.

D’un claquement de doigt, elle m’ordonne de me lever puis va dans sa chambre et revient  avec 3 foulards.

-Tu voulais te reposer et bien d’accord mais à ma  manière….

Maitresse Isabelle me lie les mains dans le dos, m’attache les genoux ensemble et me bande les yeux !

-Voilà, tu as tout l’appartement pour te distraire et te reposer. Je n’ai pas serré très fort le nœud de tes mains. J’ai fait une photo. Si je constate qu’il a bougé un tout petit peu je t’assure que je t’enchaine dans la cave pendant 3 jours et 3 nuits….Compris ?

Je secoue positivement la tête. Une dernière paire de gifles et maitresse quitte définitivement l’appartement.

Une longue journée

Je ne vois plus rien. Je progresse par petits pas en faisant bien attention de ne pas me cogner ou de renverser quelque chose. Enfin, je retrouve le sofa dans le salon  et je décide de m’allonger en attendant son retour. Les minutes, les heures passent lentement. Seuls les petits bruits de l’immeuble me donnent une vague idée du temps qui passe.

Etre sage, ne pas bouger afin de ne pas empirer la situation. Je sais que Maitresse ne fait jamais des promesses en l’air.

Maitresse Isabelle rentre dans l’appartement. Elle ne fait aucun commentaire et fait comme si je n’existe pas. Après un certain temps, je l’entends s’installer à la table de la salle à manger et travailler  sur son ordinateur. Prenant mon courage à deux mains, je viens près d’elle, m’agenouille à ses pieds et pose délicatement ma tête  sur  ses  genoux. Tout en lisant et en pianotant sur son potable, Maitresse Isabelle me  caresse les cheveux et les joues.

Je suis au nirvana et je pense que la punition se terminera bientôt.

Prêté à ses amies comme femme de ménage !

Subitement, ses doigts tordent et pincent violement mes tétons. Je tressaute sous cette douleur soudaine et j’essaye de m’y soustraire sans résultat.

-Pourquoi je ne peux jamais te faire confiance ? Tu passeras toute la journée en aveugle, entièrement dépendante de moi.

-Je me suis arrangé avec mes amies. Tous les jours de la semaine prochaine, tu feras le ménage chez chacune d’elle. Tu porteras un bâillon boule et une ceinture de chasteté cadenassé dont je garderai les clefs. Tu seras là pour travailler comme esclave et pas pour leur donner du plaisir. Ta bouche et ton sexe me sont réservés. Maintenant, libre à elle d’employer ton derrière comme elle le souhaite. Je te déposerai le matin et te reprendrai le soir. J’espère que tu  auras des bons rapports sinon, il faudra prendre les mesures qui s’imposent.

Sur ses paroles pleines de menaces, Maitresse Isabelle se lève et va dans la cuisine. Lentement, sans faire de bruit je la suis sagement en espérant un peu de pitié.

-Tu ne vas pas quand même pas me suivre toute la journée. TU ES PUNIE !

La punition se durcit

Elle me bâillonne durement avec un bandeau puis accroche la laisse de mon collier au radiateur du vestibule.

-Tu as 40 cm pour bouger. C’est plus qu’il ne t’en faut… Je ne veux plus entendre le moindre gémissement ou plainte. Repose-toi car demain moi et mes amies allons t’apprendre toutes les astuces du ménage à grands coups de punition. A 20 cent l’heure tu pourras te faire tes petites économies et me faire un cadeau.

-Si je dois revenir, c’est pour te mettre des pinces aux seins pour toute l’après-midi.

Seule, abandonnée je n’ose plus bouger et passe l’après-midi et une grande partie de la soirée à réfléchir sur mon comportement futur….

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