La Reine Jasmine, femme dominante et Slave enzo (2)

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La Reine Jasmine, femme dominante et Slave enzo!

 

Après avoir constaté que son mari se relâchait, la belle femme dominante s’était décidée à faire porter une « cage de chasteté » à son mari, qui était à l’origine l’instigateur de cette idée. Enzo était ravi lorsqu’il la mit, mais il n’allait pas tarder à déchanter !

femme dominanteUne cage de chasteté, très efficace!

La journée du lundi fut une journée ordinaire pour Jasmine, qui reprenait contact avec son bureau et ses collègues.  En revanche,  pour Enzo, c’était une grande nouveauté. Soucieux de faire plaisir à son épouse, après l’avoir déposée devant son travail, il était allé faire les courses dans un grand supermarché.

De retour à la maison, il avait balayé l’appartement et nettoyé les plaques de la cuisinière. Ensuite, il avait  fait briller tous les miroirs, mis de l’ordre dans toutes les pièces et s’était occupé du linge. Il avait essayé de trouver la clé de la cage de chasteté durant l’accomplissement des tâches ménagères. Cependant, il n’était pas parvenu à mettre la main dessus. Sa femme dominante l’avait bien cachée!

A la fin de cette journée très occupée, il se rendit compte qu’il était  (déjà) l’heure d’aller chercher sa Reine. Il n’avait pas vu passer la journée. Hélas pour lui, elle sortit avec trente cinq  minutes de retard. Cependant, il se garda bien de faire une quelconque réflexion évidemment. Il espérait une faveur au lit le soir.

En dépit de ses attentes, elle lui refusa l’honneur de lui laisser lécher son « minou ». Son cœur battit la chamade et son sexe tenta de s’ériger mais c’était vain. Elle ne changerait pas d’avis. Il ne la connaissait que trop bien. Il se serra alors désespérément contre elle en soupirant et la couvrant de baisers. Jasmine avait des yeux rieurs en constatant sa résignation.

Elle lui dit,

  • Bonne nuit chéri!
  • Bonne nuit mon amour, répondit-il d’une voix faible.

 

  • Tu sais quoi ? S’exclama-t-elle soudain avec un sourire carnassier… finalement j’adore la cage !!!

Reine Jasmine, femme dominante, impassible!

Le lendemain, mardi, la journée se déroula, à peu près de la même façon que la précédente. Jasmine se fit déposer le matin à son travail. Le soir, elle sortit, de nouveau avec du retard, ce jour-là, avec vingt minutes de retard. De son côté, Enzo travailla encore plus dur et la maison étincelait du sol au plafond. Le repas était prêt. Il avait posé sur la table basse près du salon, plusieurs tubes de crème de massage.

femme dominante

 

La Reine Jasmine était ravie mais cette femme dominante resta impassible. Toute la soirée, son mari s’affaira dans l’espoir d’obtenir une petite faveur au lit.

Elle se fit masser longuement les pieds pendant qu’elle regardait un film à la télévision. Ensuite, elle se fit masser le dos une fois au lit. Cependant, elle déclina,  une fois de plus, quoi que ce soit d’autre. Le cœur en miettes son mari couvrit son visage et ses épaules de petits baisers humides et désespérés. Elle se laissa faire un moment tout en surfant sur son mobile, puis elle éteignit la lumière :

  • « Ça suffit, demain… je travaille,  moi !, déclara la Reine Jasmine, en lui tournant le dos.

Elle sombra dans un sommeil profond, en quelques minutes.

Dépité,  Enzo mit un très long moment à trouver le sommeil. En effet, sa queue emprisonnée, gonflait dans la cage, refusant de se calmer. Il commençait à se dire qu’il avait fait une énorme erreur. Pourquoi lui ai-je donc proposé cette maudite cage ? se demanadait-il.

Au service de sa Reine!

Après une mauvaise nuit entrecoupée d’érections et de longs moments de veille, il s’éveilla le premier. La respiration régulière de sa compagne le rassura. Il aurait voulu se glisser sous les draps et lui faire un cunnilingus langoureux avant de la prendre sauvagement… mais ça… c’était avant ! Du coup il s’abstint, convaincu qu’il allait causer une réaction de refus très violente.

Elle s’étira lentement comme un fauve qui s’éveille.

Il vint l’embrasser tendrement. Elle lui donna un petit coup de pied dans les jambes en souriant.

  • Va préparer le petit déjeuner ! Ordonna-t-elle.

 

  • On est mercredi mon amour…, répondit-il en posant des baisers sur son ventre et descendant jusqu’à sa culotte, rempli de désirs et d’espoir.

 

  • Tu te fais du mal pour rien bébé,  rit-elle, dépêche toi d’aller me faire le café!

Ensuite, elle referma ses cuisses.

La mort dans l’âme, l’ancien professeur se leva et gagna la cuisine.

Après le petit déjeuner, il la conduisit servilement à son travail, puis rentra pour mettre de l’ordre dans la maison. Il descendit au garage et passa la matinée à  ranger. Parfois le cadenas métallique du verrou claquait sur le dessus de sa cage en plastique, lui rappelant son nouveau statut d’encagé.

Vers 11h45, il reprit la voiture pour aller la chercher puisqu’elle avait pris son après-midi. Son sexe comprimé n’avait cessé de lui envoyer des ondes dans les reins toute la matinée.  Il se sentait complètement vulnérable et frustré. Aussi, il était disposé à faire des concessions. Mais lesquelles ?

 

Humilié par son épouse mais heureux et de plus en plus, excité!

Lorsqu’elle monta dans la voiture, elle avait un grand sourire. Toutes ses frustrations s’évanouirent. La Reine Jasmine était fatiguée mais d’humeur joyeuse. Ils déjeunèrent à la maison sur la terrasse, devisant de choses et d’autres comme si tout était normal. Le jeune retraité fit le service avec diligence. Après avoir bu son café, son épouse se leva pour aller s’assoir dans le canapé, avec son smartphone.

« Message reçu » songea-t-il en commençant à débarrasser la table et ranger la cuisine. Il fit ensuite la vaisselle, sachant qu’elle détestait qu’il utilise le lave-vaisselle. Ses testicules lui envoyaient des fourmillements désagréables qui pourtant lui causèrent un début d’érection. Il se sentit « femme au foyer » alors que son « mari » se reposait au salon.

L’humiliation faisait gonfler sa verge douloureusement, et bizarrement il en ressentait un plaisir trouble. Il revint au salon et prit son mobile pour aller sur son application favorite faire une partie de poker.

  • Tu as fini ?, questionna Jasmine en levant le nez.

 

  • Heu oui mon amour… je pensais…

 

  • Faire ton « jeu à la con » j’imagine ?, termina-t-elle.

 

  • Je… suis désolé… Heu… je vais la… désinstaller ?… proposa-t-il, la mort dans l’âme.

 

  • Très bonne idée ! Tu commences à comprendre, mon chéri, sourit la Belle Femme Dominante.

 

  • Voilà,  c’est fait mon amour, dit-il, honteux et les joues rouges.

 

  • Parfait. Je suggère que tu me masses plutôt les pieds, toi qui adores ça!

 

Une épouse de plus en plus audacieuse et perverse!

Rouge de confusion, Enzo reluquait ses orteils qui s’agitaient de façon éloquente! L’audace et la perversité de son épouse croissait de jour en jour. Etait-ce un effet de la cage ? Son coeur se mit à battre plus vite tandis que son pénis palpitait lui aussi.

Elle lui fit un clin d’œil,

  • Allez mon toutou, au travail. Ce sera ta récompense pour ce bon repas.

C’était la première fois qu’elle l’appelait ainsi. L’humiliation fit gonfler sa verge instantanément. Il baissa les yeux, incapable de répondre. Des ondes de plaisirs remontaient dans sa prostate et jusque dans ses reins. La soumission commençait à lui procurer des plaisirs nouveaux et troubles.

Ses beaux pieds roses et touchants déclenchaient en lui des vagues de désir brûlant. Il se pencha et les couvrit de baisers fiévreux reniflant l’odeur fine de sa peau.

  • C’est beau… un fétichiste du pied en action, ricana-t-elle. Arrête et masse moi maintenant ! gros cochon!

Confus, il s’agenouilla à ses pieds et commença un long massage. Jasmine soupirait d’aise. Jamais elle n’avait reçu autant de massages en aussi peu de temps. Et surtout des massages gratuits, car ils n’étaient assortis d’aucune contrepartie sexuelle ! « Vive la cage » se félicita-t-elle intérieurement.

Au bout d’une heure, elle décida qu’il était temps d’aller faire les courses. Son mari qui avait mal dans les mains à force de caresser ses pieds s’en réjouit. Une fois arrivé dans le grand magasin, il déchanta rapidement.

Totalement sous l’emprise de sa Reine!

Sa charmante épouse avait modifié la liste de courses et barré une partie des articles. Elle avait rajouté ses propres produits.

  • Tu as barré le vin rosé de Provence ? Les chips ? Les biscuits apéritifs ? Mais pourquoi ? Osa-t-il courageusement.

 

  • Oui, il est temps que tu maigrisses, tu sais… tu as atteint les 100 kilos ! Donc maintenant c’est moi qui décide de ce qu’on achète ou non ! Fin du débat. A moins que tu ne veuilles garder la cage pour un mois complet ?, sourit-elle triomphalement.

L’homme regarda gêné autour d’eux. Elle avait parlé bien fort exprès. Il était rouge de honte au milieu de l’allée centrale. Il baissa la tête. Vaincu.

 

  • Tu as raison mon amour, excuse-moi… souffla-t-il humblement.

 

  • Je sais que j’ai raison. Donne-moi donc la carte de crédit et ton chéquier, à partir de maintenant, c’est moi qui vais m’occuper de ça, conclut-elle.

Le sexe du retraité se mit à fourmiller de mille sensations lorsqu’il lui remit ses moyens de paiement. Il se sentait de plus en plus encadré et excité de l’être. Sa belle épouse femme dominante s’enhardissait décidément trop vite pour lui. Or maintenant qu’il se sentait frustré sexuellement en permanence, il lui semblait perdre toute volonté de résister.

Jasmine était ravie et se sentait de plus en plus sûre d’elle. Du coup elle décida de prendre le volant pour le retour. L’esprit d’Enzo était en ébullition… Comment parvenir à faire marche arrière ?

Cette question commençait à le tarauder. Et plus il se la posait, moins il voyait d’issue.  D’ailleurs, très curieusement, plus son cerveau s’inquiétait et plus son sexe s’enflammait.

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1 réflexion au sujet de « La Reine Jasmine, femme dominante et Slave enzo (2) »

  1. Enfin un texte crédible! J’aime bien cette domination douce. J’espère qu’elle va aller crescendo vers des situations encore plus bandantes.

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