Sissy Aline soumise à Maîtresse Anne-Marie (15) Le réveillon

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Sissy Aline soumise à Maîtresse Anne-Marie (14)  

 

Durant cette séance, nous avons été à la fois punies mais aussi amenées à ressentir des sensations inconnues jusque maintenant. Toutes les trois nous nous regardons et comprenons que nous venons de découvrir une autre facette de notre vie de Sissy.

A savoir que nous pouvons avoir un orgasme violent en étant une Sissy et prise comme telle sous poppers cela décuple notre plaisir et abandon envers nos Maîtresses. J’espère que je pourrai être dans ces conditions si j’ai le droit à une visite d’un mâle.

Un soumis à notre disposition pour le service!

Ainsi, nous nous retrouvons toutes les cinq ou plutôt toutes les quatre Sissies et la soumise.
Des regards de connivence entre nous quatre nous permettent de nous comprendre sans échanger de paroles, contrairement à la soumise qui n’arrête pas de causer.

Une Maîtresse entre et se dirige vers la soumise qui reçoit un coup de cravache sur les fesses puis le ventre.

  • Je t’avais interdit de parler suis moi pour ta punition!

Nous pensions devoir être nous quatre pour tout faire. Un soumis arrive tenu en laisse. Il a une chaine reliant les menottes et une plus courte au chevillères. Son sexe est en cage de chasteté mais une cage avec des électrodes.

Il est à notre disposition pour le service si il ne nous obéit pas, nous avons le droit d’utiliser la télécommande. Nous voulons voir comment il réagit en envoyant une décharge. Il gémit au travers de son bâillon en portant ses mains vers son sexe et son anus.

Nous découvrons qu’il a aussi un plug électrique cadenassé dans son fondement. Les décharges sont pour les deux ou séparément selon les boutons utilisés.

Les plats sont préparés avec attention car la moindre erreur donnera lieu à une punition. Punition qui sera choisi par une des Maîtresses ou un des deux Maîtres présents.

Punies pour ne pas avoir respecter les consignes pour le service!

sissy

Pour ce qui est du service, nous devons amener les plats.
Cependant ce que nous ne savions pas, c’est qu’il y avait un ordre bien précis à respecter et des places prévues pour chacun des mets sur le buffet.

Bien évidemment, nous nous trompons sous l’œil narquois de nos Maîtresses qui n’attendaient que cela.

De suite, un ordre claque :

  •  A genoux! mains dans le dos toutes les quatre!

Nous sommes rapidement à genoux.

Dans notre dos, nous entendons un bruit de chaîne quand soudain des menottes viennent emprisonnées mes poignets. Il en va de même pour les trois autres.

Le soumis nous met aussi des chevillères. Le tout est cadenassé. Il est, donc, impossible de les ôter sans autorisation. De plus, ce sont Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette qui en détiennent les clefs.

Sissy Hortense, sissy Michèle et moi sissy Aline nous nous regardons, la crainte de la suite envahit notre regard.

Nos Maîtresses ne bougent pas, c’est la Maîtresse qui reçoit qui s’avance vers nous quatre en compagnie d’un Maître. La peur de ce qui va suivre nous étreint.

 

A la merci de nos bourreaux pour la punition!

Pour nous humilier devant les invités, elles nous demandent, ironiquement, si nous savons lire. En effet, le plan de dressage des mets était bien marqué, avec leur emplacement prévu.
Pour cette erreur, nous devons subir une série de vingt coups de règle plate comme à l’école, mais sur les cuisses.

Le soumis doit nous attacher au pilori à tour de rôle. J’ai le malheur d’être le premier.
La tête et les poignets passés dans les trous, la planche se rabat me bloquant. Je suis courbée. Mes chevillières sont attachées aux angles du support.
Ainsi, je suis exposée à la merci de mes bourreaux. Je ne peux pas dire autrement vu les sourires qu’ils affichent en s’approchant de moi.

Chacun tient une grande règle plate, longue d’un mètre dans la main. Je me raidis, dans l’attente du premier coup. Cela commence par la caresse de la règle sur les cuisses.

Je stresse un maximum car cette attente est la pire des choses.
Une parole du Maître me fait frémir. En effet, il annonce que je vais recevoir 20 coups mais il précise, de la part de chacun d’eux! .
Je dois compter à haute et intelligible voix chaque coup reçu sinon retour case départ.

Le premier coup tombe et me surprend. Aussi, j’oublie de compter celui de la Maîtresse, retour case départ.

Cette fois, je n’omets aucun coup dans mon décompte.

Ensuite, reprise du service du dîner

Mes tortionnaires voyant que je reste stoïque, assènent les dix derniers,  chacun, avec une force accrue, malgré des cris et pleurs qui arrivent à partir du dixième.
En effet, je voulais faire honneur à Maîtresse Anne-Marie. Aussi, je me refusais de pleurer ou crier à chaque coup.

Mes cuisses me brûlent à la fin de la punition. Je ne tiens debout que par ma volonté de ne pas leur faire le plaisir de m’écrouler.
Malgré tout lorsque je suis libérée du pilori, je titube et suis heureuse de me remettre à genoux près des trois autres, aux regards terrorisés par ce qui les attend.

Chacune subit la punition des quarante coups de règles avec pour sissy Hortense cinq en plus car elle a omis de compter le cinquième coup du Maître. Une fois chacune ayant subi ce tourment, nous somme autorisées à nous relever et à terminer le service avec les fromages puis les dessert.

Le sourire en coin de certaines Maîtresses ne nous tranquillise pas pour la suite de la soirée.

En guise de spectacle, les soumises sont fouettées par les soumis!

C’est toutes les quatre, en marchant avec précaution, que nous retournons à l’office pour continuer le service. Cette fois-ci nous lisons attentivement les indications et positionnement des plats.

Soudain un rideau s’ouvre sur une scène. Il y a là quatre soumises entravées par des liens en cuir portant un collier de posture d’au moins dix centimètres de haut les obligeant à avoir la tête relevée.

Derrière chacune, un soumis avec un fouet en main, reçoit l’ordre d’asséner quinze coups à chaque soumise dont les bras sont étirés en haut leurs menottes en cuir étant attachés à une chaîne pendant du plafond

Malgré leur bâillon, nous les entendons gémir sous les coups de fouet, attendant le prochain coup à venir. Elles sont fouettées à tour de rôle l’une près l’autre. Les soumis ont reçu l’ordre de frapper en cadence mais chacun à son tour.

Les quatre Sissies que nous sommes, ne bougeons pas, de peur d’avoir à subir les foudres de nos Maîtresses. Nos cuisses sont toujours très sensibles.

Nous repartons en cuisine pour le service du café. Encore une fois, nous relisons les ordres pour éviter tout impair lors de notre retour dans la pièce.

Nouvelle punition pour une erreur lors du service du café!

Pendant ce temps, un brouhaha nous parvient de la pièce. Brutalement, un cri émerge! Des gémissements se font entendre. Nous n’osons pas aller voir.

Nous en avons très envie. Cependant, nous sommes surs que notre venue amènerait, avec certitude, une punition pour notre curiosité mal placée. Surtout, Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette n’attendent qu’une chose: que nous fautions.

Nous attendons l’ordre de venir servir. Un ordre fuse de la part de la Maîtresse

  • Et ce café il arrive?

Toutes les quatre nous arrivons avec les plateaux les tasses d’un côté, la cafetière en argent de l’autre. Nous avons mis également le sucre. En effet, en cas d’oubli, l’arrivée d’une punition ne fait aucun doute.

Nous pensons rien avoir oublié. Les plateaux dressés nous attendaient dans l’arrière-cuisine. Cependant, c’est la peur au ventre que nous entrons.

Nous commençons le service, et,  horreur, je m’aperçois qu’il me manque des petites cuillères, deux exactement. Je regarde à ma droite Sissy Hortense qui me regarde également puis nous nous regardons toutes les quatre. Il manque à chacune une ou deux cuillères.

Ne pouvant servir tous les invités correctement, l’ordre nous est donné:

  • Sur l’estrade et vite!!!

 

Sur l’estrade, à la place des soumises, et à la merci de toutes les Maîtresses et de tous les Maîtres présents à la soirée!

La peur nous étreint. Cependant, nous obéissons à l’ordre d’aller sur l’estrade, près des soumise encore attachées.

Nous devons détacher « nos consœurs ». Ainsi, nous exécutons l’ordre avec diligence, afin qu’elles puissent retrouver l’usage de leur bras et avoir moins mal aux épaules. Il leur faut bien cinq minutes pour récupérer l’usage de leurs bras et jambes.

Brutalement, nos Maîtresses, Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette nous regardent avec un sourire qui ne promet rien de bon pour la suite.

Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette ordonnent aux soumises de nous attacher à leur place. Elles  doivent tendre nos bras vers le haut et bien écarter nos jambes avec la barre en attachant également les chevillères aux anneaux de l’estrade .

Nous, voilà, ainsi, exposées à la merci des Maîtres et Maîtresses présentes en plus de Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette toutes contentes de ce faux pas dans le service. Ainsi, elles vont pouvoir nous punir de nouveau. Connaissant leur imagination débordante, nous redoutons le pire. Aussi, nous nous regardons pleine de crainte et d’anxiété ce qui n’échappe pas à notre compagne d’infortune.

 

Pose d’un godemichet relié à une machine!

Les soumises doivent ôter leur collier de posture pour que nous en soyons équipées avec. C’est la première fois et c’est étrange.
Au début, on a l’impression de pouvoir supporter d’avoir le cou en extension. Cependant, on réalise très vite que de ne pas pouvoir bouger la tête, relève de la torture. C’est très angoissant d’être littéralement engoncée dans cette chose en cuir qui ressemble à un carcan pour le cou.

De plus, nous ne pouvons plus tourner la tête et se soutenir du regard, entre nous.

Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette annoncent que si jamais elles entendent une plainte, un gémissement ou le moindre cri, ce sera le bâillon pour toutes les quatre.

Elles viennent près de nous, pour nous faire respirer une grande inhalation de poppers, pendant que des soumis nous introduisent un godemichet dans notre chatte.

Ce godemichet est froid et glacé. Il est relié à une machine. Je pense que ce sera seulement « une sexe machine ». Je ne peut pas voir mes partenaires d’infortune, Sissy Hortense et Sissy Michèle. Tout comme elles, je ne sais pas, ce que nos Maitresses ont prévu pour la suite de la soirée.

La peur me saisit.

 

Grâce aux « poppers », des orgasmes à répétition malgré la douleur!

Les machines se mettent en fonction. Au début, le godemichet fait des allers retours comme d’habitude. Soudain, bien pénétrée à fond par lui, une décharge électrique me fait hurler de surprise.

Ma chatte se contracte sous les décharges successives, de plus en plus forte. Pendant, tout ce temps, je gémis, pleure et implore la clémence. J’ai dû mal à supporter ce nouveau tourment que m’inflige Maîtresse Anne-Marie.

Il en va de même pour Sissy Hortense et Sissy Michèle.

Je peux entendre de grands éclats de rires provenant des Maîtresses et Maîtres présents. Je comprends enfin ce qui va nous arriver. Six Maîtresses arrivent avec des bâillons plug, enfin plutôt des godemichets, étant donné la taille. Nous avons encore plus de mal à les prendre en bouche avec le collier de posture.

Nous sommes obligées de respirer une nouvelle dose de poppers. Cette fois, j’inspire profondément une fois puis une deuxième. Je décolle et ne ressens plus vraiment mon environnement. Ainsi, je plane et me mets à avoir des orgasmes malgré tout.

Maîtresse Anne-Marie se rend compte et m’assène des coups de martinet qui ne font qu’amplifier mon état de transe suite au poppers. Mes gémissements passent au travers du bâillon.

Je ne peux plus me contrôler et m’écroule sur le godemichet en transe, les spasmes de jouissance me parcourant tout le corps.

 

A la disposition des Maîtres et des esclaves pour le reste de la soirée!

Bien plus tard après être libérée des entraves, , Sissy Hortense, Sissy Michèle, et moi-même, reprenons nos esprits puis nous parlons de la punition que nous venons de recevoir.
Mais surtout de ce qu’elle nous a fait découvrir avec le poppers.
Il parait que je suis partie pendant plus d’un quart d’heure dans les limbes par le plaisir que j’ai ressenti et pris lors de cette punition.
Il en fut de même pour elles.

Nous sommes toutes les trois mises à disposition des Maîtres et soumis présent ce soir. Ainsi, nous sommes utilisées par les Maîtres présents ainsi que les soumis.

Pour les soumis, le Nouvel An, rime avec autorisation d’éjaculer, mais, uniquement, après le passage, des Maîtres qui sont très en forme et veulent profiter de nous un maximum.

Il nous font respirer les flacons et nous prennent deux ensembles alternant les orifices et inondent nos orifices de sperme.

Fin de la soirée de réveillon!

La soirée continue mais nous sommes dispensées de servir de divertissements aux Maîtresses et Maîtres présents. Il faut dire que depuis notre arrivée nous subissons leur punitions et autres  devoirs, suivant leur bon gré et plaisirs.

Pour le retour, c’estMaîtresse Odette qui conduit. Nous sommes encore sous influence des inhalations de poppers.

C’est donc des Sissys fatiguées mais comblées qui sont ramenées par Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette. Elles nous promettent de nouvelle soirée aussi joyeuse……pour elles.

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