Maîtresses dominatrices, nuit des démons (2)

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Maîtresses dominatrices

Nouvelle chasse à courre

Apparemment, j’étais l’objet de leur prochaine chasse à courre. Tout semblait se préparer à ma chasse. Ainsi, je devais faire de l’activité physique intensément chaque jour, avoir un repos correct la nuit et pas de travail particulier. En fait, j’étais le centre de l’attention des Amazones guerrières. Une règle prévaut, quand vous êtes la proie, vous avez la possibilité de fuir. Si vous réussissez, vous êtes libres mais cela n’est jamais arrivé au risque de mourir. Vous avez la possibilité de regagner un des refuges dans l’immense parc et vous gagnez, avec à la clé, la possibilité d’être un soumis plus proche de celle qui vous choisira. Il peut y avoir lutte entre les Maîtresses dominatrices. Ou bien si vous êtes très fort et vous tenez la nuit entière et la journée qui suit, votre liberté, vous regagnez le centre de la place au pied du drapeau et faîtes allégeance totale à Maîtresse Diamant, la reine qui décidera de votre place, place de choix. Cependant, un seul a réussi cet exploit.

Début de la course de ma vie !

Un soir, au coucher de soleil d’été, une chance car ainsi, il faisait bon, j’étais nu devant toute la cour de Maîtresse Diamant. Princesse Marianne, Maîtresses Séverine et Felina se tenaient prêtes sur leur chevaux, de magnifiques destriers. Des rabatteuses avaient été placées en forêt pour le jeu et d’autres soumis en guise de chasses subalternes. J’étais donc prêt à courir. Le top fut donné et, là ce fut le début de la course de ma vie. Je courus à travers la place puis les bâtiments et les champs avant de gagner le couvert de la forêt. À peine étais-je à l’abri que j’entendis les chevaux galoper à mes trousses.

Que faire, je distinguai des ombres de l’autre côté de la forêt, les rabbateuses. Je me glissai dans un fourré plein d’épines et d’odeurs animales, pisses et excréments, puis je me dirigeai vers ce qui ressemblait à un marais. La boue couvrant mon corps, le camouflage de ma nudité était presque parfait. Deux amazones à pieds passèrent près de moi sans me voir, mon cœur battait la chamade. J’avais peur qu’elles puissent l’entendre. Je poursuivis ma route au creux de la forêt et je trouvai une cabane après une heure de marche. Me réfugier ici me semblait une mauvaise idée. Aussi, je me cachai pour observer les alentours. Rien ne bougeait. Mais au moment de me dire qu’il était temps de dormir un peu, je crus voir une ombre. Je me glissai au sol. Mon corps était douloureux. Je rampai pour m’éloigner quand j’entendis les chevaux se séparer.

L’accident pendant la chasse à courre

Près d’une clairière, alors que l’orage commençait à zébrer le ciel, je voulus traverser le chemin mais je tombai nez à nez avec la monture de Felina qui se cabra. A ce moment, la foudre frappa le hêtre près de nous, ce dernier s’abattit. Felina hurla de terreur et ce fut le néant comme si un géant nous avait piétiné. Je me relevai sans trop de peine et je découvris la jeune dominatrice blessée au bras et à la jambe, bloquée sous l’arbre, son cheval grièvement blessé.

Ensuite, je réussis tant bien que mal à la dégager et lui prodiguai les premiers soins, bandage de fortune avec un tissu trouvé dans son sac et des attelles avec des branches droites. Enfin, je la portai tout contre moi et je réussis à rebrousser chemin en évitant la horde lancée à ma recherche. Puis au bout d’une heure de marche, je m’arrêtai près d’une source pour lui donner à boire mais elle était à demi-consciente. Je pris quelques minutes avant de la reprendre tout contre moi, son corps était chaud et délicieux, mais mon esprit me disait de la sauver. Je vis au loin plusieurs cavalières partir puis le chemin libre, j’arrivai sur la place devant la reine et je criai à l’aide.

Le difficile choix

Plusieurs amazones me prirent Felina pour la soigner. La reine Diamant fit un signe et je pris un coup dur sur la nuque avant de m’effondrer inconscient. J’entendis le rappel des troupes avant de sombrer. Le réveil fut difficile mais j’étais à l’infirmerie, poignets attachés mais propre et soigné. Je vis Maîtresse Séverine près de moi puis sur le lit d’à côté, Maîtresse Felina endormie et soignée, opérée et bandée. Combien de temps s’était-il écoulé depuis que j’avais perdu connaissance? Et qu’allait il advenir de moi ? Maîtresse Diamant arriva avec Maîtresse Marianne et sa cour. Je voulus me lever et me prosterner, ce que je fis avec peine. Ensuite, je baisai ses bottines mais Séverine me mit à genoux et MD parla :

-je te remercie d’avoir sauvé Félina. De plus, tu as réussi l’épreuve finale car tu es revenu, carrément sans être attrapé, au château. Tu as donc le choix.

Elles attendaient toutes, ma réponse à ce dilemme.

– Ma Reine, je m’en remets à votre jugement. Je désire être à votre service comme esclave. Votre choix sera le mien.

-Il en revient donc à Felina de choisir puisque tu l’as sauvée mais elle est déjà engagée avec Maîtresse Séverine comme apprentie.

Felina regarda sa Maîtresse. Séverine s’exprima en leur nom à toutes les deux.

– Il sera à notre service dorénavant exclusivement à nos ordres, si cela est jugé recevable par vous notre Reine.

– Qu’il en soit ainsi, le cérémonial d’appartenance aura lieu quand notre belle Felina sera sur pied.

Ma nouvelle vie au service de mes deux Maîtresses dominatrices

Je rejoignis donc les appartements de mes deux Maîtresses dominatrices et ma nouvelle vie commença. Serviteur, objet, esclave sexuel, et tout ce qui pouvait leur passer comme idée tant que mon rôle d’esclave domestique était impeccablement effectué. J’étais heureux de les servir et de voir ma belle et jeune Maîtresse Felina devenir une maîtresse accomplie.

Ce premier soir, je m’occupai donc du repas après avoir installé Felina sur le canapé. Elle désira se doucher puis elle apprécia un bon bain parfumé pour se détendre. Je la préparai selon un cérémonial précis. Ainsi, je l’effeuillai doucement découvrant sa peau douce et ses courbes magnifiques. Les cicatrices des blessures étaient presque invisibles. J’étais nu, encagé à genoux devant elle sous le regard de Séverine. Felina se glissa sous la douche et je commençai à la mouiller puis je la savonnai. Mon sexe palpitait d’envie mais douloureusement bloquée.

Arrivé à ses fesses et son sexe épilé, j’hésitai mais Felina, écarta ses cuisses et m’incita vite à réagir. Elle était pleine de mousse et quand je la frôlai, elle gémit, puis elle implora Maîtresse Séverine de la rejoindre, ce qu’elle fit en se déshabillant. J’étais entre deux femmes amazones nues qui s’embrassaient pendant que moi, je lavais les parties intimes de ma jeune dominatrice.

Tout pour le plaisir de mes deux Maîtresses dominatrices !

Ma tête était au milieu de deux superbes chattes en furie. Sur ordre, après avoir lavé et rincé mes princesses, je léchai chacune d’entre elles à tour de rôle. Je les voyais se caresser, gémir. Leurs seins étaient dressés, à l’appel du désir, furieux d’exploser au plaisir sans retenue et profiter d’une langue servile. J’écartais grandes et petites lèvres puis je découvrais leurs perles de rubis en feu, leurs cons brillants de plaisir, où je glissais mes doigts et ma langue avant de sentir leurs cuisses trembler et les voir se reposer sur mes épaules, le regard embrumé.

Quand elles sortirent de la douche, elles m’obligèrent à un lavage anal et une douche rapide avant d’arriver à genoux devant elles deux. Elles avaient mis chacune, un gode ceinture. Je me mis à quatre pattes face à Maîtresse Felina qui me présenta son godemiché à sucer immédiatement. Ensuite, je commençai à le lécher puis je le mis en bouche avant que Felina ne me l’introduise de plus en plus profond et rapidement. Je bavais et parfois avais des hauts le cœur car Maîtresse aimait me prendre la bouche. Son gode étant double, elle sentait ce dernier la pénétrer aussi et son désir montait.

Maîtresse Séverine se caressait à voir Felina y prendre plaisir puis se glissa derrière moi, écartant mes cuisses me fouilla l’anus, me le lubrifia et sans vergogne m’enfila son gode cm par cm. Sa largeur me surprit et bien que j’essayai de me détendre pour l’accueillir pleinement, je sentis mon cul se dilater et la douleur me surprit. Le va et vient dans mon cul accentuait la fellation du gode de Felina.

Supplices et jeux !

Puis, elles décidèrent de changer de place et ce fut de nouveau un jeu pour mes deux Maîtresses dominatrices. Elles continuèrent à me faire subir ce supplice mais Felina se mit à jouir et Séverine ne tarda point à trembler. Felina se retira et fut contente de voir mon fils tout ouvert et palpiter, mon sexe tendu et mes couilles pleines. Elle me les saisit d’une main pour les faire gonfler et de l’autre me branler à grands coups.

Elle me cria :

-interdit de jouir ma salope !

– oui ma Maîtresse.

Et elle m’enfila de nouveau d’un coup violent et sur toute la longueur du gode.

Je gémis puis je voulus crier mais Maîtresse Séverine m’enfila son gode ceinture dans ma bouche grande ouverte. Felina me branlait en même temps et me donnait de grands coups avant de se retirer et me laisser pantelant, tremblant et Séverine se retirant. Je m’effondrai au sol, le cul en l’air, l’anus totalement ouvert, sexe et couilles douloureuses sans avoir joui. Mes Maîtresses dominatrices étaient heureuses de m’avoir ainsi à leurs bottes. Elles se murmurèrent un mot à l’oreille et appelèrent au téléphone.

Une soumise comme récompense !

Une dominatrice arriva avec une soumise cagoulée nue, mains attachées devant. Elle avait un joli corps mais marqué par des coups et des privations diverses et variées, des bleus plus ou moins récents, les tétons percées, son sexe annelé.
Séverine m’allongea sur le dos après m’avoir remis un plug dans mon cul.
Voilà ton cadeau et on t’autorise à jouir et profiter d’elle devant nous deux, tu as droit d’être mâle pour une fois.

Et je vis ce corps venir, se pencher sur moi, me caresser et mon sexe se dressa par réflexe. Elle me suça la queue, me lécha et continua ce jeu de longues minutes avant de se mettre à califourchon sur moi et s’empaler, aller et venir, voyant Felina jouer avec les bijoux des tétons percés faisant de plus en plus gémir cette soumise dont je ne voyais le visage.

Puis Séverine me banda les yeux et cette chevauchée sexuelle s’accentua. Mon sexe était prêt à exploser en elle, ma privation de jouissance datant de plusieurs semaines. Felina me murmura dans l’oreille et m’ordonna de jouir à l’instant ce que je fis en grognant quasiment mon plaisir alors que la soumise se mit à trembler à son tour sentant ma semence l’envahir et couler le long de ma verge palpitante.

Fin des réjouissances !

Séverine la retira et la mit sur moi en 69 pour que chacun lèche et boive la jouissance de l’autre. Je sentais mon sperme mêlé à son plaisir et je donnai de grands coups de langue, ma queue encore dressée et prête à une autre partie réclamait encore et encore du sexe et qui envahissait la bouche de cette délicieuse soumise.
Mais ce fut la fin et sans ménagement, la gardienne vint récupérer cette esclave pour la remettre dans sa cellule.
Séverine prit ma queue, le branla et m’ordonna de jouir à nouveau ce que je fis en sentant mon sperme gicler avant de retomber enfin apaisée

Je fus remis à genoux aux pieds de mes belles Maîtresses dominatrices en les remerciant de ce moment intense. Je baisais leurs pieds longuement avant de retourner sur ordre aux pieds de leur lit et elles dans les draps en train de se caresser et de jouir à tour de rôle avant que tout le monde ne glisse enfin dans un long sommeil.

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2 réflexions au sujet de “Maîtresses dominatrices, nuit des démons (2)”

  1. Sébastien, je reviens sur Annecy et tu vas être de nouveau à mes pieds, mon chien. J’ai enfin le poste de directrice de région de la banque et je vais te trouver un poste à mes pieds et près de moi. Tu vas payer le prix de ne pas avoir voulu me suivre donc je reviens mais tu vas être enchaîné à moi, à mon esprit et je sais que tu le seras.

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