Homme soumis à sa voisine de palier (5)

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homme soumis

Homme soumis transformé en bon chien !

 

Comme je le disais donc, tout était progressif. A chaque ouverture d’ascenseur, j’avais le droit à sa satisfaction de trouver son chien à sa place. Maintenant, j’avais toujours droit à un compliment, une petite claque sur la fesse, une caresse sur la tête, une griffure sur le flanc. Elle m’encourageait.

-Tu es un bon chien, me soufflait-elle alors qu’elle me donnait un gâteau dans le creux de sa main.

Elle ressortait souvent avec un petit arrosoir jaune pour abreuver ses fleurs. Et bien sûr, à chaque fois, de l’eau bien froide ruisselait entre mes fesses, le long des couilles, des jambes. Elle m’ordonna alors de poser mes genoux sur une serpillière pour ne plus inonder le parquet à l’avenir.

Les jours passaient, et chaque soir, Maîtresse Charlotte me rendait une petite visite. Un petit quart d’heure, pas davantage.

-Maintenant que tu sais être sage comme une table, me dit-elle, il faut passer à l’étape suivante. Il faut que mon chien devienne une chienne. Et je crois que tu en as une envie folle, n’est-ce-pas ?

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Nouvelle étape, devenir une chienne !

 

Je ne pouvais pas répondre, occupé à sucer son majeur qui me pistonnait la bouche. Son autre main recouverte d’un gant plastique pour la vaisselle me fouillait l’anus, tendrement d’abord, puis vigoureusement. De temps à autre, elle me claquait la fesse, m’ordonnant de gémir, de bouger les hanches, de m’abandonner à elle, de ressentir le plaisir à être pénétrer.

– Que ce soit mes doigts ou une grosse queue, c’est pareil. Une bonne petite pute doit s’offrir à celui qui la prend. Imagine ton amant derrière toi, une queue pleine de sang, gonflée à bloc qui te pistonne l’arrière train, il doit voir sa pute se dandiner dans tout les sens, preuve qu’il te fait du bien. Si un homme baise une femme tout molle, crois-moi, il débande… Pourquoi crois-tu que nous simulons autant ?

Tous les mots rebondissaient dans ma tête. Dans un autre temps, j’aurais trouvé cela d’une grande vulgarité, déplacé, immorale, et presque condamnable pour peu que l’on soit d’une éducation stricte, ou pieuse. En tout cas, très loin de mon monde ! Et pourtant… Là encore, Maîtresse mettait dans le mille. En tant qu’homme, je ne connaissais qu’un seul côté, celui qui prend, qui attrape les hanches pour mieux s’enfoncer, et il est vrai que notre plaisir de mâle dominateur est proportionnel à la vision d’un corps féminin qui crie gare, implorant la sentence finale, ce qui flatte invariablement notre ego. Je n’avais jamais vu la chose comme cela avant.

 

…Puis une vraie petite lopette !

 

Mais aujourd’hui, les rôles semblaient vouloir s’inverser. Je n’avais jamais réellement fantasmé sur une sexualité entre homme. Cela ne me paraissait pas être pour moi, voire même cela me dégoûtait. Mais là sur ce palier, embroché par ma Maîtresse qui m’apprenait à dandiner du cul pour mieux m’offrir, à sucer avec avidité, je ne me faisais aucune illusion. Bientôt, Maîtresse me livrerait en pâture si ce n’est aux hommes, au moins à l’un d’entre eux. Et ce qui était aussi des plus évident, c’est que je devrais être à la hauteur, pour ne pas gâcher le plaisir de ma Maîtresse à me livrer. Du reste, elle ne s’en cachait pas, et je crois qu’au fond de moi, je savais déjà que j’allais aimer ça. Sinon, je ne serais plus sur ce pallier. Maîtresse avait raison, comme toujours.

– C’est bien mon chien. Visiblement, tu aimes ça, et tu apprends vite. Bientôt, tu seras une vraie petite lopette, je te promets. Néanmoins, je crois que mes doigts ne te suffisent plus ! Il faut changer de braquet.

Elle me caressait la tête. C’était la première fois qu’elle montrait autant d’attention à mon égard. Ses yeux brillaient. Je crois qu’elle était fière de moi. Je lui rendais son sourire. J’avais envie de lui donner mon âme, et tout cas, d’être à elle, pour de vrai.

– Allez file chez toi, et branle-toi vite, sur ton parquet, comme tu dois le faire chaque soir. Mais aujourd’hui, tu te branles deux fois de suite, tu restes bien à quatre pattes, comme une bonne chienne. Et la deuxième fois, tu t’astiques la queue et tu te sodomises en même temps avec ton doigt. Je veux que tu apprennes à jouir de ce coté là, comme une femelle !

 

Deuxième test !

 

Et elle me claqua la croupe. Je n’ai pas attendu davantage, ma queue étant au bord de décharger toute seule. Je suis rentré et j’ai obéis. Sans doute, une de mes plus belles jouissances.

Le deuxième test arriva un peu plus tard. Je me sentais bien. Heureux. Même si je rêvais secrètement de pouvoir entrer chez elle, j’aimais être sur mon palier, lieu que ma Maîtresse avait choisi pour moi. Cela me suffisait. En tout cas, en tant qu’homme soumis, j’apprenais à me contenter du désir de Maîtresse Charlotte. Et pour l’instant c’était ici. Après tout, beaucoup de chiens ont leur niche dans le jardin, et ne rentre jamais à la maison. Ma place, était bien devant sa porte.

Elle m’avait remis à genoux, les mains dans le dos, la tête baissée. J’attendais qu’elle rentre, et quand l’ascenseur a ouvert ses portes, la surprise fût au rendez-vous.

Mon regard en croisa immédiatement un autre. Un homme. Je vis qu’il était nu, assis les fesses sur ses talons, prêt à bondir. Il avait un large collier de cuir noir, et une laisse que tenait serré ma Maîtresse. Il portait au visage une sorte de casque, des lanières qui enserraient la tête au crâne rasé, et un mord lui traversait la bouche. Maîtresse Charlotte ne bougeait pas. Cette scène semblait l’amuser. Il était difficile de lire quelque chose dans nos regards. De la gène, de la surprise, de la jalousie, de la défiance. Sans doute un peu de tout ça. En tout cas, une chose sûre, nous ne savions pas vraiment quelle attitude prendre, même si pour moi, tout était simple. Je n’avais pas à bouger.

 

Rencontre avec Pipo, un autre « chien » !

 

– Allez Pipo, tu fais le timide ? questionna-t-elle… c’est un chien comme toi, sauf qu’en ce moment il est en phase d’apprentissage et il apprend à être sage comme une image. Tu vois, il reste à sa place, même si sa queue est un peu agressive, je te l’accorde… mais au moins, elle approuve cette situation.

Pipo sortit de l’ascenseur, à quatre pattes, s’avança vers moi tandis que Maîtresse Charlotte donnait un peu de mou à la laisse. Pipo avait l’air bien dressé. Après le moment de stupeur, il semblait reprendre à la perfection son rôle de chien. Sa truffe s’approcha de ma queue, pourtant fièrement dressée malgré la situation. D’ailleurs, c’était à ne rien comprendre. Je me demandais souvent pendant mes heures d’attente, ce qui pourrait bien me faire débander ? En tout cas, visiblement, et à ma grande stupeur, même pas un homme entrain de renifler ma queue. Il exagérait son reniflement, et s’il n’avait pas eu son mors, sans doute qu’il l’aurait pris en bouche. Maîtresse Charlotte tira juste un petit coup sur la laisse.

– Fini, Pipo…

Il me contourna alors pour tenter l’arrière train. Son nez essayait alors de se frayer un chemin vers mes fesses. Je ne bougeais pas d’un millimètre. Je ne savais pas bien si j’espérais un ordre, et surtout quel genre d’ordre !

 

Pipo, chien esclave très obéissant !

 

Ma Maîtresse semblait là aussi s’en amuser, en tout cas, ne rien faire pour le stopper… voire l’encourager…

– C’est bien Pipo, les chiens se reniflent le cul… mais tu ne vas pas pouvoir lui grimper dessus… Ce n’est pas encore une Lopette. Cela ne va pas tarder je l’espère, mais son petit cul n’est pas pour toi.

Et elle tira sur la laisse.

– Allez Pipo, met toi à genoux comme lui, face à lui… on va lui montrer ce qu’est un chien bien dressé!

Pipo s’exécuta immédiatement. Un mètre cinquante nous séparait, et nos regards baissés tombaient sur nos queues. La mienne comme d’habitude était droite et n’attendait qu’une chose, qu’on la prenne en main. Celle de Pipo était au repos. Je ne savais pas bien si je devais être fier ou non.

– Alors, mon chien qui n’a pas encore de nom, je te présente Pipo, et Pipo a la particularité d’être un chien esclave obéissant au doigt et à l’oeil, ayant reçu une éducation très stricte. Après avoir été déshumanisé, il a été animalisé pour le plus grand bonheur de sa Maîtresse. Et contrairement à toi dont on va plutôt développé le coté femelle, lui est formé pour donner du plaisir à la femme. Quand nous en avons besoin, nous avons juste à dire le mot clé, comme ceci : Sextoy !

 

Pipo formé pour être un sextoy !

 

A ma grande stupéfaction, son sexe s’est alors mis à se rigidifier, puis à grossir, à se lever et bientôt à prendre un volume incroyable. J’étais fasciné d’un coup, presque abasourdi par ce spectacle. C’est la première fois que je voyais un sexe d’homme autre que le mien. Mais à force que Maîtresse me prépare mentalement à devenir sa pute, je finissais pas imaginer des queues me forcer tous les orifices, sans compter le fait que je ne doutais plus maintenant que j’allais devenir une femelle pour homme.

Alors je n’arrivais plus à détacher mon regard. Elle me subjuguait. Je la trouvais belle, fascinante, attirante. Sans m’en rendre compte vraiment, je me suis léché les lèvres, ce qui fit sourire Ma Maîtresse.

– Mais le plus beau, c’est maintenant, fit-elle, car elle n’est pas pour toi cette queue. Regarde bien : Couché sextoy !

Et le sexe s’est dégonflé comme un ballon perdant son air. Quelques secondes plus tard, il était redevenu insignifiant, flasque, sans intérêt, rangé dans son placard comme un gode dans son tiroir.

– C’est ça un chien bien dressé ! me lança ensuite Maîtresse Charlotte.

 

Congédié dans mon appartement !

 

Je n’en revenais pas. Je n’avais jamais vu ça, et du reste, je ne savais même pas qu’une telle obéissance était possible. Maîtresse Charlotte s’approcha, me pris le menton avec sa main pour m’obliger à la regarder dans les yeux… puis de sa plus douce voix :

– Je t’ai vu, tu t’es léché les babines !! Tu en baves d’envie ! Remarque je te comprends, il a une très belle queue, un joli gland qu’on a tout de suite envie de faire fondre sur sa langue… Mais soit patient mon chien, tu vas bientôt être une bonne petite lopette. J’ai toujours su que tu ne faisais pas parti de la famille des baiseurs, de ceux qui pistonnent, mais plutôt du coté vide couille, de ceux qui reçoive… Je me trompe ?

Je ne savais quoi répondre. Mon visage devait être cramoisi, rouge de honte. Mais à la fois, ma queue restait droite. Je ne pouvais pas lutter. Il fallait que j’assume. De toute façon Maîtresse m’avait convaincu, en quelque sorte, révélée à moi même. Elle avait encore une fois raison.

– Allez, rentre chez toi, et branles-toi trois ou quatre fois de suite. Tu jouis dans un verre, et ensuite tu bois et garde en bouche, et tu reviens ici à ta place, et tout à l’heure, je viendrais vérifier et je veux voir ta bouche pleine de sperme… tu dois aussi t’habituer à ça…

Maîtresse Charlotte m’a déposé un baiser sur les lèvres, puis est rentrée chez elle avec Pipo. Je n’ai pas attendu pour lui obéir. Bien conscient que l’enfer s’ouvrait devant moi, que je perdais tout contrôle, je n’ai pas mis longtemps à remplir le verre, puis ma bouche de mon sperme. Il restait une heure à attendre ainsi. Ce fut difficile, la bouche pleine, mais quand elle est revenue, en tenue légère, dans un petit déshabillé à faire pâlir n’importe quel homme, je crois que j’étais le plus heureux et le plus fier de lui montrer que peut être, je pouvais être aussi obéissant de Pipo.

– C’est bien mon chien, me dit-elle avec un sourire, j’en attendais pas moins de toi. Avale maintenant, et va te coucher sans te laver les dents. Tu dois t’habituer au goût et à la texture… File …

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2 réflexions au sujet de “Homme soumis à sa voisine de palier (5)”

  1. Réponse tardive … Mais quelle sublime saga!!! La place de « pipo » me semble plus agréable… Quel traitement a permis une tel dressage? Mais je ne doute pas que la suite sera tout autant intéressante (et excitante). Bonne chance dans cette « éducation ».

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