En bon petit homme soumis, je partis à la cuisine puis je revins les bras chargés de la bouteille et de 4 flûtes. Enfin, je pus découvrir la physionomie de Madame Sylvie et Monsieur Bernard. Il avait environ une bonne cinquantaine d’années, cheveux plus sel que poivre avec juste sa chemise entrouverte qui laissait apparaître un torse velu, des jambes bien musclées. Madame Sylvie était blonde, cheveux lisses et très longs, jusqu’à ses fesses. Elle portait un rouge à lèvres rouge vif, qui lui donnait des lèvres pulpeuses, une robe de cuir avec un décolleté qui faisait apparaître un début de poitrine imposante mais bien ferme. La robe lui arrivait juste en dessous de son entrejambe.
De pouvoir l’admirer ainsi, me donnait l’envie de bander mais je ne pouvais pas bander à cause de cette foutue cage de chasteté. Je servis le champagne puis j’offris une flûte à chacune des personnes présentes. Ensuite, je repris ma position initiale, c’est à dire à genoux.
– Au fait, on a oublié mais il faut que tu préviennes tes parents que l’on te garde tout le week-end, ma petite chienne : dit Madame Catherine.
– Non ce n’est pas la peine!
– Si si, je ne voudrais pas que tes parents s’inquiètent de ne pas avoir de nouvelles de toi.
Madame Catherine s’accroupit à mes côtés et me tendit mon téléphone.
– Tu lui dis bien que tu as rencontré 4 nouveaux amis dont 3 femmes merveilleuses et que tu prends beaucoup de plaisirs en notre compagnie et que l’on prend soin de toi.
Appel téléphonique pour rassurer ma maman!
Je téléphonai donc à ma maman. Madame Catherine mit le haut parleur.
– Bonjour maman je t’appelle pour te prévenir que je ne rentrerai que dimanche soir. J’ai rencontrer de merveilleuses personnes, dont 3 superbes femmes qui veulent me garder avec eux pour le week-end. Non ne t’inquiète pas! J’ai beaucoup de plaisirs à être en leur compagnie
– J’espère que tu ne fais pas de bêtises mon petit, fait attention.
– Non maman ne t’inquiète pas, je m’amuse bien et comme un petit fou.
Pendant ce temps Madame Catherine me disait à l’oreille que je devais lui dire que j’avais eu comme cadeau une cage de chasteté, que j’avais fait ma première fellation à un homme, que je voulais être une petite pute et que je voulais me faire sodomiser.. J’avais peur que ma maman entende ces paroles.
Aussi, je raccrochai. J’étais humilié devant des inconnus, dont Monsieur Bernard que j’avais été obligé de sucer et de boire son sperme beurkk.
– Mon verre est vide : dit Bernard, allez petite chienne dépêche toi de nous resservir!
Ensuite, Madame Sylvie que j’avais guère entendu jusque là, me demanda si j’avais soif aussi. Je répondis que oui effectivement j’avais la gorge sèche. Et Monsieur Bernard me demanda si son jus ne m’avait pas assez désaltéré ? Et tous les 4 partirent dans un fou rire interminable. Madame Sylvie, ma « sauveuse » allait donc me faire boire un peu dans sa flûte qui laissait apparaître un peu de son rouge à lèvres, sur les bords.
– Si tu souhaites savourer du champagne, il va falloir m’écouter et m’obéir surtout : dit Madame Sylvie
– Et tu n’as pas le choix que de lui obéir, petit homme soumis, comme avec toutes les personnes que tu rencontreras ici, dit Madame Catherine
Homme soumis forcé à boire le « champagne divin »!
Je fis oui de la tête à Madame Sylvie.
– Alors allonges toi sur le dos. (ce que je fis) Ouvre la bouche et garde la grande ouverte, tant que je ne t’aurai pas dit de la refermer.
Madame Sylvie vint au dessus de mon visage avec un pieds de chaque côté de ma tête. Elle releva sa courte robe, et je pris conscience qu’elle ne portait pas de culotte ni string. Et là, j’ai eu comme un doute de pouvoir boire du champagne dans la coupe de Madame Sylvie, celle que je pensais être ma « sauveuse ». J’allais boire son champagne à la source. Madame Sylvie s’accroupit au dessus de ma bouche et commença à lâcher par petits jets son champagne doré.
Elle a été rapide à trouver la force de son débit et la direction pour trouver ma bouche. Cependant, au premier jet, je l’ai refermé comme par réflexe. Ainsi, son champagne coula sur mon visage dans mon cou et le début de mon torse. Madame Catherine qui se tenait à mes côtés me mit plusieurs claques sur le visage, et me cria que je n’étais qu’un bon à rien d’homme soumis. Elle ajouta que si je continuai, elle allait vraiment me maltraiter et que je devrais la supplier longtemps pour qu’elle s’arrête. Elle s’en alla dans le couloir et revint avec un objet qu’elle me mit dans la bouche pour me la laisser ouverte, et cet objet avait un grand trou au milieu.
– Allez Sylvie tu peux y aller maintenant! Il en prendra plein la bouche et tout ce qui est tombé et tombera sur le carrelage, il devra le lécher. Ce n’est qu’une sale chienne et avant de lécher le sol il devra se rouler dedans.
Humilié devant les invités
Je me mis donc à m’appliquer à boire tout le divin champagne de Madame Sylvie, que je trouvais vraiment acide tout de même. Quelques gouttes coulèrent sur mon cou et arrivèrent sur le carrelage en plus du premier jet lorsque j’ai fermé la bouche. Madame Catherine ne voulant rien me laisser passer m’a ordonné de me rouler dessus, puis de lécher toutes les traces. C’était vraiment infecte, car en plus de l’acidité du champagne de Madame Sylvie, il y avait la poussière. Mais pour ne pas accentuer la colère de Madame Catherine, je m’activai pour ne laisser aucune trace sur le sol. Mais quel dégoût et humiliation d’avoir du faire cela devant et pour les invités de Mesdames Catherine et Isabelle.
– Allez file te laver maintenant sale petite chienne! Je voudrai te mettre à faire la pute sur le trottoir. Je suis certaine que tu feras choux blanc tellement tu pues la pisse, : me dit Madame Isabelle.
Et elle se pencha vers moi, me tira le sexe par la cage, me souleva les fesses du sol ainsi puis me relâcha brutalement les fesses qui s’écrasèrent donc sur le sol avec le bruit que vous pouvez imaginer. Ensuite, elle m’infligea une bonne dizaine de claques sur le visage en m’insultant, et en me disant que j’avais intérêt à y mettre du mien. Sinon, j’allais souffrir le martyre. Elle me donna un coup de pieds dans les côtes et me dit :
– Allez à 4 pattes et sous la douche et bien entendu froide pour refroidir tes envies de bander sale petite chienne !! Et tu reviens à 4 pattes au milieu du salon. On a loin d’en avoir fini avec toi sale petit homme soumis.
Une douche froide et un moment de répit pour réfléchir
Sous la douche, j’eus un peu de répit, et je me mis à réfléchir. Je me demandai pourquoi j’étais là et pourquoi j’avais accepté tout cela. Cependant, en même temps, mon envie de bander était de plus en plus grande, mais toujours réfrénée par ma nouvelle cage. Le fait que mon sexe voulait se déployer, et cette envie de jouir qui ne me quittait pas me faisait mal. Cela ne faisait pourtant que quelques heures que j’étais encagé.
Tout se mélangeait dans ma tête ; répugnance de porter la cage de chasteté et l’envie de faire plaisir à mes deux Maîtresses dominatrices. Enfin bon, je devais me dépêcher, et l’eau était glaciale. Je sortis, donc, rapidement de la douche puis je me séchai et enfin, je retournai, donc dans le salon à 4 pattes. Ensuite, je m’installai face à mes hôtes. Madame, Catherine, caressait le sexe tendu de Monsieur Bernard, en lui disant :
-Mais dis donc Bernard tu reprends de la vigueur, on dirait ?
Pendant ce temps, Mesdames Isabelle et Sylvie étaient enlacées, et leurs bouches collées l’une à l’autre. Je pouvais apercevoir leurs langues respectives aller dans la bouche de l’autre dans une orgie de langues amoureuses. Le spectacle était merveilleux, mais mes yeux se détournèrent pour admirer le sexe de Monsieur Bernard que la main de Madame Catherine masturbait lentement.
Comme au moment où j’ai du la prendre en bouche tout à l’heure, j’étais effrayé par cette verge imposante érigée devant moi. Cependant, en même temps, elle me faisait envie.
J’étais subjugué devant ce qui me semblait être la splendeur d’un Homme avec un grand H. Tout ce que je n’étais pas.
Subjugué par la splendeur d’un Homme avec un grand H!
Puis d’un seul coup Madame Catherine me cria :
– Mais qui t’a autorisé à te rincer l’oeil sale petit homme soumis ?? Pourquoi quoi n’as tu pas le dos tourné pour nous montrer ton cul puisque c’est toute ton intelligence qui s’y trouve. Va donc nous chercher à boire et on va voir pour la punition que tu mérites pour avoir eu l’insolence de nous espionner.
J’allai donc dans la cuisine à 4 pattes et je revins debout pour préserver la bouteille de champagne. C’était la 4ème que je servais et je sentais bien que l’ambiance était plus chaude ce qui ne semblait rien augurer de bon pour moi. Je resservis les 4 flûtes de champagne et me remis à 4 pattes, cul tourné vers les hôtes. Puis Madame Isabelle demanda :
– Avez vous vu le cadeau que l’on a fait à notre jouet ? Remets toi face à nous, à genoux, pour exhiber ton sexe encagé sale petite chienne. Et je vous apprends en même temps que cet après midi, cette petite chienne nous a fair l’amour. C’était le deal qui avait été fait entre Catherine et elle. Elle a vraiment pris du plaisir comme une chienne en chaleur. Raconte leur dit-elle en me regardant.
Je baissai donc le tête, rouge de honte et rempli d’humiliation dans mon amour propre. Et je me commençai donc à raconter en bafouillant et toujours la tête baissée.
Récit d’un après-midi très hot!
– Madame Isabelle, m’ayant mis ma cage en place, elles me firent mettre plusieurs préservatifs dessus. Ensuite, Madame Catherine s’est mise nue puis elle est venue me chevaucher, alors que j’étais allongé par terre. Je dus soulever mon bassin pour commencer des va et vient de mon sexe encagé. Au bout d’un moment, Madame Catherine s’est activée et c’est elle qui a joui sur moi.
– Et oui on ne peut pas faire confiance a ses petites chiennes avec leur nouille dit Catherine, on est obligée de prendre les choses en main pour prendre du plaisir
Toute l’assemblée se mit à rire aux éclats.
– puis ce fut au tour de Madame Isabelle, mais madame Catherine me fit remettre des préservatifs, pour gagner en grosseur. Et Madame Isabelle qui s’était, aussi, mise nue me chevaucha fougueusement sur mon sexe toujours encagé. Et Madame Catherine vint s’assoir sur mon visage pour lui nettoyer son sexe, et par la même occasion la refaire jouir. Madame Isabelle et Catherine se mirent a jouir pratiquement en même temps.
Pendant que je racontais cela, ma tête se baissait de plus en plus, et elle était maintenant posée sur mes genoux.
Nouvelle petite soirée coquine prévue!
– Tu as vraiment de la chance petit homme soumis, que tes Maitresses prennent soin de te faire autant plaisir, dit Madame Sylvie. Mais dommage que tu sois à présent encagé, j’aurai bien joué avec ta petite nouille ahaaaa !!!
– On a pris cette décision car cette petite chienne nous a avoué se masturber tous les jours, et même parfois plusieurs fois. Et comme on a pensé que c’était plus souvent plusieurs fois par jour, on a remédié a cela pour son plus grand bien, afin que cet homme soumis devienne plus docile et plus obéissant : dit Madame Catherine. Mais tu en auras l’occasion bientôt ma belle Sylvie, pour le moment il va la garder une semaine entière.
– oh j’aimerais être de la partie quand vous lui enlèverez. Venez donc à la maison la semaine prochaine pour une bonne petite soirée. Tu es d’accord Bernard ?
– Bien entendu, on va vous organiser une belle fête. Mais moi j’aimerais bien savoir ce qu’il a entre les fesses, pour engloutir ma queue.
– Cela sera pour ton dessert alors Bernard! : répondit Madame Isabelle.
Et les rires fusèrent. Madame Catherine s’absenta, et revint avec une bouteille à la main et dans l’autre un plug.
– Faut donc le préparer à cela! As-tu déjà été sodomiser petit homme soumis ?
– Non Madame Catherine : répondis-je timidement.
– Met toi à 4 pattes!
Début du repas
Madame Catherine vint à ma tête et me dit à l’oreille :
-ne t’inquiète pas! On va y aller doucement pour que tu prennes du plaisir. Mais as-tu envie d’être notre petite salope ce soir ?
Et je m’entendis dire oui Madame Catherine.
– notre petite chienne a une annonce à nous faire mes chers amis, à toi ma petite chienne : dit Madame Catherine.
– Je suis et serai votre petite salope, et je serai à votre disposition pour que vous puissiez prendre le plus grand plaisir que vous attendez de moi, durant votre soirée.
Ensuite, Madame Catherine retourna derrière moi et enduisit mes fesses d’un lubrifiant froid, glacial. Enfin elle me pénétra avec ses doigts, un puis 2 doigts. Après, elle introduisit le plug bien profondément autant qu’elle le pouvait.
-Allez va nous préparer notre repas, et nous servir avant de revenir à ta place.
Au menu, il y avait une raclette. Je mis tout sur la table, pour que tout le monde puisse se restaurer tranquillement. Ensuite, Madame Catherine me fit remettre à 4 pattes devant la table. Elle revint à ma tête, pour mettre mon visage de côté, et que cela puisse relever encore plus mes fesses. Elle écarta aussi mes jambes pour que mon petit trou soit bien ouvert et à leur vue.
– Vivement le dessert! : dit Monsieur Bernard.