Révélation de mon âme d’homme soumis (7)

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J’allais donc à 4 pattes chercher les plats puis je revins sur 2 pattes, les plats chargés. Ensuite, je mis en route l’appareil à raclette avant de retourner chercher du champagne pour le repas. En revenant avec la bouteille, j’eus l’heureuse surprise de découvrir que tous les invités étaient nus. Je pus admirer les corps superbes de Mesdames Isabelle et Catherine, mes divines Déesses. Madame Sylvie, qui était un peu plus trapu, avait aussi un merveilleux corps  avec des seins opulents, et des tétons bien érigés que j’aurai aimé sucer longuement. Son minois était vierge de tout poil tout comme Mesdames Isabelle et Catherine.

Mes yeux n’avaient d’autres envie que d’admirer la verge de Monsieur Bernard, toute droite érigée, et qui semblait être dirigée vers moi. Madame Catherine me fit mettre à 4 pattes, mes fesses tournées vers la table. Ensuite, elle s’accroupit à ma tête, pour me mettre une cagoule, pour ne pas que je soit tenté de les regarder. Puis à l’oreille elle me dit tout bas :

  • Je suis contente de toi, tu plais à nos amis, tu te comportes bien, et ils ont plein d’envie avec toi. Tu vas être notre belle petite salope pour cette soirée. Tu es content de cela ?

Je répondis d’un signe de tête, tout en étant effrayé, par l’affirmative.

  • Tu vas donc l’annoncer à tout le monde.

Puis elle se releva

  • La petite chienne a une annonce a nous faire!

Et elle me mit un coup de pied dans les cotes.

J’annonçai donc :

  • je veux et je vais être votre belle petite salope pour cette soirée que Madame Catherine et Isabelle ont organisée ce soir.

Une salve d’applaudissements retentit dans mes oreilles, accompagnée de bravoooo. Madame Isabelle dit qu’elle était fière de sa petite chienne et de ma décision.

L’homme soumis accepte de devenir un jouet pour la soirée!

 

Je pouvais donc entendre leur conversation qui était basée principalement sur moi, leur jouet que j’allais être. Madame Isabelle expliqua à Sylvie qu’elle avait une autre solution pour qu’elle s’amuse avec moi plutôt que de m’enlever la cage.

  • On te fais confiance Isabelle pour tes toujours bonnes idées, dans la perversité toute naturelle qui t’habite, et  on loue toute ton inventivité sur ce point. Ta perversité semble sans limite pour notre plus grand bonheur, dit Monsieur Bernard.

 

  • Désolée, dit Madame Isabelle, mais une envie pressante me tient. Aller retourne toi et allonge toi sur le dos la petite chienne.

Elle m’enleva la cagoule, pour ne pas la salir.

Une fois en position car je ne devais rien refuser à mes divines Maitresses, je sentis la chaleur de l’entrecuisse de Madame Isabelle se rapprocher de mon visage.

  • Ouvre ta sale gueule petite chienne pour boire mon champagne

Et je sentis un liquide chaud couler doucement, d’abord sur mon visage puis dans ma bouche. Le temps qu’elle trouve la bonne direction et puissance pour son jet. Je bus tout son nectar.

  • Aller à qui le tour, c’est la pause pipi profitez-en mes amis, notre petite chienne raffole de cela, et s’impatiente.

Des rires fusèrent encore et encore.

  • Moi comme tout homme qui se respecte je fais debout alors ne bouge pas petite salope de chienne et n’en laisse pas tomber surtout sinon gare à toi.

Je bus tout également, son urine était un peu plus acide et difficile à ingurgiter, et quelques éclaboussures, vinrent s’écraser sur mon visage.

  • A mon tour maintenant, dit Madame Sylvie

 

Champagne « doré » pour l’homme soumis!

 

Elle s’accroupit donc au dessus de ma bouche et laissa déverser un gros jet de son champagne, il était tout chaud, mais je n’arrivais pas à en déterminer le goût dominant, autre que de l’urine. Son jet était puissant, et semblait ne pas s’arrêter.

  • Allez nettoie moi maintenant, et si tu t’y prends bien tu auras la chance de me faire jouir sale petit homme soumis.

Même si je venais de boire son champagne doré, j’avais comme une petite répugnance à lécher son minois qui venait de m’uriner dans la bouche.

  • Dépêche-toi sinon cela sera le fouet!

J’entrepris donc de lécher ses lèvres toutes humides. Ma langue se glissa à l’intérieur de son sexe tout chaud, puis j’aspirai son bouton d’or dans ma bouche et le suçai avidement avec passion. Elle se trémoussait au dessus de moi, et je sentis son bassin faire de petits va et vient sur mon nez, ce qui eut pour effet de la faire partir dans un grand orgasme. Son sexe laissait partir un flot de sa cyprine, que j’essayai de boire, mais vu la quantité qu’elle laissait s’échapper, je ne pouvais pas tout boire.

Madame Sylvie partit en arrière tout en criant que c’était très bon, qu’elle prenait son pied et qu’elle avait encore envie de jouir. Alors je m’activai à lui faire des va et vient de ma langue dans son sexe. Elle ne mit pas longtemps à laisser éclater à nouveau sa jouissance en pinçant mes tétons.  Je me mis à crier tellement cela me fit mal. Ensuite, je fermai ma bouche et toute sa cyprine se déversa sur mon visage.

En se relevant, Madame Sylvie lança,:

  • Attends tu n’as rien vu, tout à l’heure je vais te baiser comme tu ne l’as jamais été !!

 

…puis de nombreuses humiliations pendant le repas!

 

Je ne reconnaissais pas Madame Sylvie, avec ses mots. Elle qui semblait très réservée au début et qui maintenant se lâchait totalement , telle une lionne sur sa proie. Cela m’effrayait quelque peu.

  • A toi Catherine, tu as bien une envie pressante aussi non ? : Dit Madame Isabelle.

 

  • Oui tout à fait, mais notre petit homme soumis va devoir boire à la gamelle comme une vraie chienne qu’elle est.

 

Elle alla donc à la cuisine et revint 5 minutes après, me déposa une gamelle et me dit :

  • Dépêche toi de boire, ça va refroidir, et n’en laisse pas une goutte!

Je penchai mon visage et me retrouvai donc face à la gamelle, et je commençai à laper le champagne de Madame Catherine. J’en attrapai que très peu à chaque coup de langue. Cela me donnait encore plus de dégoût que de boire à la source, car cela durait plus longtemps.

Ils se remirent à table, et Madame Catherine annonça que la télécommande était à leur disposition pour un peu plus d’amusement. Et je sentis presque aussitôt des vibrations dans mon fondement. Ce fut désagréable au début, mais cela devenait jouissif pour moi. Une envie d’érection se fit vite sentir, mais cette satanée cage toujours, me la réfreina.

Le repas  de mes amis se prolongeait, avec leurs éclats  de rire, et  leurs humiliations vis à vis de moi.

Puis la fin du repas arriva, je sentis Monsieur Bernard s’agenouiller a1 ma tête, et je me dis que l’heure de leur dessert était enfin arrivé. Et qu’ils allaient le partager avec moi.

 

homme soumis

Place au dessert…

 

Son sexe érigé était face à moi, comme si il voulait me faire ressentir que lui était un vrai homme, contrairement à moi qui n’était qu’un homme soumis, une lopette. Sa verge était magnifiquement dressée, elle semblait bien dure, et bizarrement j’avais envie de la prendre en bouche. Moi, qui 3 heures auparavent, n’avait jamais eu l’envie d’un tel acte, n’avait jamais eu de telles pensées. Il me passa son gland sur mes lèvres, et ma langue s’aventura à le lécher doucement.

D’une poussée, Monsieur Bernard, me pénétra la bouche lentement, puis je commençai à faire de petits va et vient. Ma langue s’activa doucement pour lui lécher le gland.

  • Tu sembles aimer cela on dirait petit homme soumis ? Dit Madame Sylvie.

Mesdames Catherine et Isabelle, revinrent dans la salle les brase chargés, et avec une très grande planche de bois. Et avec plusieurs godes et godes ceintures, de tailles et formes différentes. Madame Sylvie les débarassa des godes pour les poser sur le canapé, puis  elle demanda à quoi servait cette planche.

  • C’est notre invention à Isabelle et moi. C’est notre planche des plaisirs évolutive. Le seul souci est qu’elle est difficilement transportable ailleurs que chez nous. Mais vous pourriez nous aider à la faire évoluer, pour toutes les pratiques que vous souhaitez.

 

  • Allez lève-toi petit homme soumis!

 

Installations pour les réjouissances!

 

Ce que je fis. Je pus apercevoir 4 anneaux fixés à chacun des coins de la planche. Elles posèrent la planche à l’endroit même ou j’étais allongé juste avant.

  • Rallonge-toi dessus, tu vas avoir la chance d’inaugurer notre invention. Met toi bien au milieu et la tête en bout de planche pour pas que tes pieds dépassent de l’autre côté.

Mesdames Catherine et Isabelle s’accroupirent chacune au coin opposé près de ma tête et me passèrent des bracelets aux poignets, et les attachèrent aux anneaux de la planche.

– On a eu cette idée de cette planche avec Isabelle, pour voir notre petite chienne dans les yeux, lorsqu’on le fourrera. Bien voir son visage et ses réactions.

Elles se relevèrent, et se mirent de chaque côté de moi, au niveau de mes fesses.

  • Mets tes jambes à la verticale,

Ce que je fis. Elles me passèrent des bracelets aux chevilles.

  • Laisse toi aller et laisse toi faire, dit Madame Isabelle

Elles me ramenèrent donc chacune, une de mes jambes à la tête, tout en rapprochant mes chevilles près de mes poignets. Ensuite, elles accrochèrent les bracelets aux même anneaux que mes poignets. Cela eut pour effet de me soulever les fesses et de bien  les offrir à la vue de tous les convives. De par mes jambes bien écartées, je suppose que mon petit trou était bien visible de tous. Je me sentais comme humilié de par ma position qui n’était pas vraiment confortable, et de me sentir offert ainsi.

  • Alors ma petite chienne, dit Madame Catherine, tu es content de nous être offert ainsi ?

 

  • Oui Madame Catherine

 

  • Oui quoi?

 

Préparatifs pour la première sodomie de l’homme soumis!

 

Et je pris une paire de claques sur le visage.

  • Oui je suis heureux de m’offrir à vous Mesdames, et à Monsieur Bernard aussi.

 

  • Bien ton anus est vierge m’as-tu dis l’autre jour, j’espère qu’il l’est encore.

 

  • Oui Madame Catherine, il est toujours neuf et n’a jamais servi.

J’étais tout honteux de devoir m’exprimer ainsi devant cette assistance, mais cela me donnait bizarrement aussi envie de bander très fort, mais cette cage était toujours en place. J’espérai vivement que Madame Catherine ou Isabelle me libérerait plus tard dans la soirée.

  • Ne t’inquiète donc plus il ne le sera bientôt plus. Tu vas enfin apprendre les plaisirs de la sodomie et c’est maintenant par là que tu jouiras le plus souvent. C’est ce que tu nous as dit tout à l’heure, de vouloir être notre petite salope ?

 

  • Oui Madame Catherine, je veux être votre parfaite petite chienne salope.
  • Non on va faire de toi une grosse chienne salope, hahaaa

Et tout le monde éclata de rire. Madame Catherine s’équipa d’un gode ceinture, s’approcha de mes fesses et s’accroupit. Elle avait pris soin de prendre la bouteille de lubrifiant. Madame vint à ma tête, et me caressait les cheveux puis les joues.

  • Sylvie prend son téléphone pour faire des photos et même le filmer, pour sa première sodomie, hahaaa il a surement envie de montrer cela à ses parents hahaaa!

 

Suite des réjouissances!

 

Madame Catherine versa du lubrifiant entre mes fesses, et commença à me masser l’anus. Elle en remit encore, c’était glacé, puis je sentis un doigt me pénétrer lentement. Puis des va et vient se firent ressentir en moi, je sentais à présent un deuxième doigt, puis Monsieur Bernard, versa encore du lubrifiant

  • Merci Bernard, dit Madame Catherine, je crois qu’il est prêt. Savoure bien ce magnifique moment de ta pauvre vie de merde sale petit homme soumis.

Madame Catherine s’installa maintenant pour présenter le gode face à mon petit trou. Elle mit ses mains sur mes jambes pour se tenir, et je sentis d’une lente poussée, le gode venir doucement appuyer sur mon trou. Il commença à m’élargir doucement et je le sentis me pénétrer lentement. La poussée de Madame Catherine était continue. Cela me faisait mal, je grimaçai de douleur et je fis un effort pour ne pas crier. J’aperçus Madame Isabelle avec mon téléphone qui filmait toute la pénétration. Isabelle colla sa bouche à mon oreille et me dit :

– ça y est tu es pris, comme une petite lope.

Madame Catherine avait ses yeux fixés aux miens. Je la sentais continuer à s’enfoncer en moi.

  • Ça y est sale chienne je suis bien au fond. Je vais te baiser comme une sale chienne que tu es.

 

Et elle entreprit de lents va et vient. Elle grimaçait, et son visage était resplendissant, ses regards fixés sur moi. Au fur et à mesure de ses mouvements, je commençai à ressentir du plaisir. Mon sexe voulait se dresser, et cela me faisait mal avec cette maudite cage.

Madame Isabelle me demanda si c’était bon ? Je fis oui de la tête.

  • Alors dis le nous, Catherine veut t’entendre.

 

  • C’est très bon Madame Catherine, j’aime que vous me sodomisiez.

 

Je commençais à haleter. Madame Catherine accéléra le rythme, son souffle se faisait bien entendre, et au même rythme que ses va et vient

  • Oui encoore Madame Catherine, c’est trop bon, encoore

Madame Catherine se mit à gémir, de plus en plus fort.

 

  • Tu es notre salope, et on va te fourrer toute la nuit dit Madame Sylvie.

 

Madame Catherine ne pouvait rien dire tellement elle gémissait, et en même temps que je sentis une petite coulée sur ma nouille, je la sentis jouir très fort en criant des ouuuiii que c’est bon d’avoir une belle petite salope. Sa cyprine me coula sur les fesses. Elle devait avoir mis un gode double certainement , et ce que je pus vérifier par la suite. Ensuite, elle continua encore quelques va et vient, puis resta immobile bien plantée au fond de moi. Elle regarda ma cage et aperçut la coulure sur mes testicules.

  • Tu as donc joui aussi, sale petite chienne, pour ta première sodomie, ça promet de belles soirées. En fait, tu es en train de devenir notre salope. Tu vas me nettoyer maintenant.

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