Rencontre troublante avec Vanessa, magnifique jeune femme!

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Il était presque dix-sept heures ce vendredi, et S… marchait vite alors qu’elle s’engouffrait dans la rue Surcouf. Elle avait rendez-vous à l’heure pile, et elle détestait être en retard. Elle pressa encore le pas quand elle entendit le premier coup résonner depuis le clocher de l’église voisine, sonore et puissant comme un reproche. L’air encore chaud de cet après-midi de fin d’été vibrait encore de la brève volée du lourd bourdon de bronze lorsqu’elle se trouva, enfin, devant la vitrine du petit salon de beauté où elle avait l’habitude de se rendre.

 

Brève mais intense rencontre…

Au moment même où, essoufflée, elle posait la main sur la poignée de la porte d’entrée, celle-là s’ouvrit comme par magie, dévoilant dans l’embrasure la silhouette parfaite d’une jeune femme brune qui prenait congé de l’esthéticienne.

  • Au revoir Florence, et merci.

 

  • A bientôt Vanessa, passez un bon week-end.

Sans y prêter attention, chacune emportée par son élan, les deux femmes se croisèrent un peu maladroitement sur le seuil de la porte, se faisant face afin de pouvoir se frayer un chemin l’une vers l’intérieur de la boutique, l’autre vers l’extérieur.

Le passage était étroit, et S… dut plaquer son dos contre le mur pour laisser passer la jeune femme, un peu plus grande qu’elle, qui eut le même réflexe. Ce mouvement simultané eut pour effet de faire saillir la poitrine déjà avantageuse des deux clientes, si bien qu’elles ne purent empêcher que leurs seins se touchent dans un frottement quelque peu appuyé au moment précis où elles se croisèrent.

Cet attouchement involontaire ne dura qu’une fraction de seconde, qui sembla pourtant être une éternité à S… Une éternité durant laquelle elle eut tout le temps d’avoir la conviction que la poitrine ferme et opulente que pressaient ses seins était libre sous le décolleté provocant de la robe légère de la jeune femme qui laissait deviner des aréoles larges
et sombres.

jeune femme

 

Une éternité qui permit aussi à S… de constater que cette femme n’était pas tout à fait aussi jeune qu’elle l’avait pensé à première vue, trompée par la perfection de sa ligne : 35, 40 ans, peut-être ? Une éternité, enfin, au terme de laquelle

Vanessa plongea le noir de ses yeux dans ceux de S… et, au moment où leurs bustes se décollèrent, lui dit avec un sourire mutin avant de disparaître hors du salon de beauté :

  • Bon après-midi!

 

…avec Vanessa, jeune femme brune très séduisante!

Pendant de longues secondes, S… fut comme envoûtée par l’instant qu’elle venait de vivre, troublée par la sensualité aussi intense qu’inattendue qui avait fait frissonner tout son corps en un éclair. La voix toujours enjouée de l’esthéticienne la fit revenir à elle :

  • Bonjour S…, comment allez-vous aujourd’hui ? Vous semblez un peu ailleurs, tout va bien ?

 

  • Très bien Florence, je vais très bien, merci. J’ai juste été un peu surprise par cette jeune femme qui sortait au moment précis où j’arrivais. Très séduisante, je dois dire.

 

  • Qui, Vanessa ? Ah oui, je vous le confirme, moi qui la vois sous toutes les coutures, elle est plus que séduisante ! Elle a une vie amoureuse un peu compliquée, mais bon, avec un corps pareil…

 

  • Une vie amoureuse compliquée, vous en savez des choses !

 

  • Oh vous savez S…, dans mon métier, on en voit de toutes les couleurs, et certaines clientes se confient volontiers. Vanessa est une très bonne cliente qui vient au salon très régulièrement depuis trois ou quatre ans, un peu comme vous. Elle m’a raconté beaucoup de choses sur sa vie, son enfance, sa vie professionnelle, amoureuse, sexuelle. Je ne trahirai jamais ce qu’elle a pu me dire sous le sceau du secret, mais elle est très libre et il y a bien des choses dont je sais qu’elle m’autoriserait à parler.

 

  • Mmmh… vous m’intéressez…

 

  • Bon vous passez à côté et on parle de ça pendant votre épilation ?

 

  • Volontiers.

S., très intriguée par Vanessa!

S… pénétra dans la petite salle où elle avait l’habitude que Florence s’occupe d’elle, qu’il s’agisse d’épilation ou des soins du visage que la jeune femme dispensait avec un réel talent. Mais si Florence était plutôt très douée dans sa partie, S… trouvait en revanche que l’intérêt de sa conversation laissait en général largement à désirer, comme elle s’en amusait souvent avec son mari.

Elle était donc ravie d’avoir trouvé un sujet de discussion pour une fois digne d’intérêt pour cette séance ! Une fois entrée, elle se déshabilla rapidement et s’installa sur le dos sur la table qui trônait au centre de la petite pièce, nue, les jambes légèrement écartées, offerte à la pratique de Florence.

Une fois sortie du salon de beauté, sur le chemin du retour vers l’appartement qu’elle habitait avec O…, S… se remémora les propos que Florence avait tenus au sujet de la jeune et belle femme brune. En effet, tout au long de l’épilation intégrale entreprise par la jeune esthéticienne sur son entrejambe que S… souhaitait toujours totalement
lisse, tant pour plaire à son mari que parce qu’elle y avait elle-même pris goût, après quelques considérations anecdotiques usuelles, la conversation avait essentiellement porté sur Vanessa.

 

Vanessa, jeune femme célibataire, à la vie sentimentale très libre!

 

Florence n’avait pas eu de mots assez élogieux pour décrire le physique de cette femme qu’elle jugeait exceptionnel. Le plus impressionnant selon elle était sa poitrine : lourde et volumineuse, parfaitement formée, incroyablement
ferme pour une femme dont S… apprit au passage qu’elle avait 39 ans – mais dont Florence, comme pour en relativiser « l’exploit », s’était empressée de préciser qu’elle n’avait pas eu d’enfants.

Le plus spectaculaire, aux dires de l’esthéticienne, était la façon dont ses seins, totalement naturels affirmait-elle avec une certitude née du fait qu’elle les massait régulièrement pour leur prodiguer un traitement « repulpant » dont
elle avait le secret, restaient dressés en toute circonstance malgré leur volume, phénomène que Flore avait pu constater à loisir car Vanessa, visiblement, les gardait libres de toute entrave la plupart du temps, comme S… avait d’ailleurs pu
l’expérimenter quelques minutes auparavant.

Mais le reste de son corps, apparemment, était à l’avenant de ce buste remarquable : taille mince, croupe callipyge, ventre plat, … une sorte d’ode à la féminité aux dires de l’esthéticienne dont on aurait pu croire qu’elle était tombée amoureuse de sa cliente tant elle en parlait avec une ferveur que S… ne lui avait jamais connue !

Vers la fin de la séance, Florence avait évoqué de façon quelque peu cryptique la vie amoureuse selon elle assez agitée de Vanessa, sans pour autant être ni très précise ni très claire, soit qu’elle n’en savait en fait pas grand-chose, soit qu’elle préférait rester discrète sur ce sujet.

Le lendemain matin, S. encore troublée par sa rencontre avec Vanessa!

Tout ce que S… en retint fut que la jeune femme n’était pas mariée, n’avait pas d’enfants et avait une vie sentimentale très libre.
Cette narration pour le moins suggestive avait profondément troublé S…, mais elle l’oublia bien vite à peine rentrée chez elle, alors qu’elle avait quelques emails à lire et à écrire, puis qu’elle dut se préparer avant de se rendre avec O… à un diner chez des amis.

Le lendemain matin, cependant, alors que son mari s’était levé fort tôt pour un samedi matin car il devait donner des cours toute la journée à l’université, c’est à Vanessa et à ses seins lourds et fermes qu’elle pensa en se masturbant, et c’est sous ses caresses fantasmées qu’elle jouit en pensée lorsqu’une vague puissante envahit son bas-ventre en la faisant gémir de plaisir.

Il faisait grand soleil mais la température était encore douce lorsqu’elle sortit de la maison en fin de matinée pour aller faire quelques courses. Elle adorait son quartier et ses commerçants, et elle se réjouissait à l’avance de ce petit moment privilégié ou elle choisirait avec soin les victuailles que son mari cuisinerait avec art pour eux deux durant le week-end.

D’ailleurs, elle préférait  faire ce type de courses avec lui, mais aujourd’hui le devoir l’appelait toute la journée et il ne pouvait l’accompagner. Elle avait décidé de commander un plateau de fruits de mer à la poissonnerie pour lui faire une
surprise, car elle savait que, tout comme elle, il adorait ça, et il serait sans doute heureux de ne pas avoir à préparer de repas après un samedi quelque peu éreintant.

 

Samedi matin, courses sans son mari, dans son quartier!

Tirant son caddie encore vide, elle marchait donc d’un bon pas, le cœur léger, tout autant que la tenue qu’elle avait enfilée pour sortir par ce qui promettait d’être encore une belle journée d’été. Après être sortie de sa douche et s’être maquillée, elle avait choisi une robe noire courte qu’O… lui avait achetée peu de temps auparavant et qui mettait en valeur sa poitrine généreuse dont elle avait encore accentué les formes en l’enserrant dans un soutien-gorge pigeonnant.

Comme souvent par ces températures estivales elle n’avait pas mis de culotte. Elle aimait l’impression de liberté absolue que cela lui procurait. Ainsi, elle sentait l’air d’engouffrant entre ses cuisses lorsqu’elle marchait ainsi dans la rue, et l’idée d’être ainsi secrètement dénudée lorsqu’elle croisait les passants l’excitait un peu tout comme, elle le savait, elle faisait aussi beaucoup d’effet à son mari qui adorait qu’elle plaise.

S… se rendit ainsi successivement chez le poissonnier pour passer sa commande, puis chez le maraîcher et le boucher, et enfin chez le fromager, échangeant à chaque fois sur un ton enjoué avec ses commerçants qui lui demandèrent tous,
immanquablement, où était O…, habitués qu’ils étaient de les voir faire ensemble leurs courses du week-end.

Après environ trois quarts d’heure, son caddie au trois quarts pleins, elle décida qu’elle avait bien mérité une petite bière qui serait la bienvenue alors que la température montait à mesure qu’un soleil de plomb s’élevait dans le ciel.

Quel incroyable coïncidence !

Elle s’approcha de la terrasse du Central tout en tachant de repérer une table à l’ombre où elle pourrait s’installer. Elle en trouva une vers laquelle elle se dirigea aussitôt quand, au moment même où elle s’asseyait, elle entendit une voix féminine l’interpeller depuis la table voisine :

  • Bonjour !

Il ne fallut qu’une fraction de seconde à S… pour reconnaitre, attablée juste à côté d’elle devant un verre de vin blanc, la jeune femme qu’elle avait croisée chez son esthéticienne et dont Florence lui avait parlé avec tant de détails. Quel incroyable coïncidence ! S…, qui se remémora en un instant tout ce que Florence lui avait raconté, mais aussi le trouble qu’elle avait éprouvé – et de quelle façon ! – jusqu’à ce matin, parvint à grand peine à balbutier un :

  • Euh, bonjour…

Son bonjour fit sourire Vanessa, qui souhaita alors préciser :

  • Nous nous sommes croisées hier après-midi chez Florence, vous vous souvenez ?

 

  • Oui, je me souviens très bien, fit S… ayant désormais repris ses esprits, c’est incroyable de se retrouver là au même moment !

 

  • Oui, le hasard fait bien les choses, semble-t-il. Vous buvez quelque chose ?

S… hésita une fraction de seconde, puis répondit :

  • J’avais l’intention de prendre une bière, mais votre verre de vin blanc me tente bien, à vrai dire…

 

Rencontre de nouveau avec Vanessa, dans le café préféré de S.

Sans attendre une seconde, Vanessa héla le garçon qui, presque à son grand étonnement, sembla la voir immédiatement, et elle lui demanda de servir à son invitée la même chose qu’à elle. Dans le même temps, elle fit signe à S… de la rejoindre à sa table.

Ensuite, elle déplaça sa chaise de façon à lui faire un peu de place. S… s’approcha pour prendre place à côté de la jeune femme qui en profita pour la déshabiller du regard comme elle l’avait rarement été, sans la moindre vergogne, avec un sourire clairement approbateur.

S… rougit mais ne fut pas en reste, mettant à son tour à profit ces quelques secondes pour admirer la plastique parfaite de Vanessa que mettait en valeur sa mini robe blanche au décolleté plongeant et à la taille très marquée. Presque
sans surprise, ses seins volumineux et lourds étaient libres, et on pouvait deviner les pointes fermes s’agiter sous le tissu léger de la robe alors qu’elle invitait S… à prendre place à côté d’elle.

Sous la table, ses jambes fuselées et impeccablement lisses étaient bronzées, signe que l’été avait été ensoleillé. Elle portait de jolis escarpins rouges à talons hauts dans lesquels S… cru reconnaitre des Sergio Rossi. Florence avait raison,
cette fille était vraiment ravissante !

Le verre de S… arriva très vite, et les deux femmes trinquèrent immédiatement :

  • Cheers, et au fait, je me présente, je m’appelle Vanessa.

 

  • Cheers, merci pour ce verre, je m’appelle S…

 

A suivre

 

 

 

 

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