Les copines de mon épouse, dominatrice intraitable (3)

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ma femme dominatrice

Ma femme veut m’exhiber devant ses copines !

 

Je m’y attendais un peu, mais c’est arrivé encore plus vite que je le redoutais. Mon épouse dominatrice voulait faire part de notre nouvelle vie à ses copines.

-Au fait ! Demain, Brigitte et Sandra viendront prendre le thé vers quatre heures, j’aimerais que tu sois là pour nous faire le service !

-Mais j’avais prévu tout autre chose.

-Annule tes projets,  elles sont très impatientes de voir notre nouvelle vie.

-Tu ne veux pas dire que tu vas me dominer devant elles ?

-Non, ne t’inquiète pas, ou alors seulement de manière ultra soft, tu verras, n’aie aucune crainte !

J’étais très inquiet au contraire. Jusqu’à présent, notre relation sado maso ne concernait que nous deux. Mathilde se transformait en maîtresse dominatrice, sévère et imprévisible, uniquement lorsque la porte était refermée. Il y avait une frontière bien nette entre notre vie privée et nos relations sociales.

 

Arrivée des amies de ma femme dominatrice

 

Brigitte et Sandra étaient des filles charmantes, mais quand même un brin pipelettes. Sandra m’avait toujours considéré comme un macho, alors que rien ne le justifiait. Notre relation, amicale virait souvent au rapport chat et chien. Je redoutais qu’elle abuse de ma situation de soumis pour en rajouter un peu.

Elles arrivèrent à l’heure prévue. Brigitte élancée portait des bottes et un pantalon de cuir très moulant et Sandra une mini jupe et des talons hauts qui valorisaient ses formes généreuses. Elles avaient l’air très gai et riaient tout le temps. Mathilde avait passé une petite robe de cuir noire qui lui donnait un air de dominatrice très séduisante. Le vertige me prit. J’avais peur d’être exhibé devant ces trois jolies femmes, mais Mathilde ne me laissa pas le temps de réfléchir.

-Alain, mon amour, tu veux bien aller nous faire un thé ?

Mathilde y mettait les formes, mais il était explicite pour tout le monde que c’était un ordre.

Je les servis avec soin puis je retournai rapidement dans la cuisine.

-Chéri, viens avec nous, c’est toi l’attraction !

-Assieds-toi par terre à mes pieds, c’est ta nouvelle place maintenant !

 

Ma femme dominatrice commence sa démonstration!

 

Brigitte me regardait avec bienveillance, mais Sandra avait l’air très excitée. Elle se tortillait sur le canapé en croisant et décroisant les jambes et en faisant tout pour me montrer sa petite culotte blanche.

-Allez raconte nous Mathilde ! Il doit t’obéir complètement ? Subir tous tes caprices ?

En réponse, ma tendre épouse dominatrice me dit de lui lécher les pieds. Je m’exécutai aussitôt.

-Quelle chance tu as !

-Jusqu’où vas-tu dans la soumission ?

-Assez loin, vous n’avez encore rien vu !

Mathilde m’ordonna de me déshabiller complètement. Une fois nu, je me tournai vers la fenêtre en un dernier réflexe de pudeur naïf.

-Tourne-toi, montre à Brigitte et Sandra, comme tu es beau !

Son ton autoritaire laissait peu de place à la discussion.

Je m’exécutai mort de honte.

-Mon Dieu, le pauvre !

-Comme c’est mignon cette petite cage de chasteté. Son sexe est tout petit la dedans !

 

Promené en laisse et en cage de chasteté

 

Sandra s’agenouilla devant moi, elle demanda à ma femme si elle pouvait toucher. Brigitte se rapprocha pour voir aussi. Elles n’arrêtaient pas de poser mille questions à Mathilde qui y répondait avec force détails. Le contrôle total de l’orgasme masculin est quelque chose qui fascine les femmes au plus haut point. Brigitte et Sandra semblaient ravies de me voir contraint d’avoir perdu mon plus grand pouvoir de mâle.

Ma tendre épouse prit un collier de chien et une laisse qu’elle me mit autour du cou.

-Qui veut promener mon petit toutou ?

Sandra prit la laisse, en me donnant très peu de longe, et commença à faire le tour du séjour. Je suivais ses jambes bronzée à petite distance en rampant à quatre pattes. Mathilde me donna un coup de pied aux fesses, ce qui fit rire Brigitte aux éclats. Son rire me crucifia, car autant Sandra et Mathilde étaient des femmes dominatrices par nature. Brigitte évoquait pour moi la femme douce, tendre et raisonnable. Qu’elle puisse rire de moi, alors que j’étais promené en laisse comme un animal, totalement nu et castré sexuellement par une petite cage en inox, m’humiliait terriblement.

 

Le « toutou » au service de ces dames !

 

De temps en temps, Sandra s’arrêtait :

-Assis !, couché !, debout !

Elle prit un petit morceau de sucre et me dit de faire le beau. Après plusieurs tours de manège autour de la table de salon, Mathilde demanda si quelqu’un voulait se faire sucer par son mari, parce que je faisais cela très bien maintenant.

Brigitte accepta, elle retira son pantalon de cuir et ses bottes. Elle garda sa minuscule culotte et remis ses bottes avant de se caler dans le fauteuil, les jambes écartées. Mon épouse me lia les mains derrière le dos et tendit la laisse à Brigitte. Celle-ci écarta son string sur le coté et m’attira à elle en tirant sur la laisse.

Je me mis à genou devant elle. Ensuite. je lui léchai tout le sexe avec passion, je voulais mettre un point d’honneur à bien faire pour montrer à ces trois femmes que je n’étais pas qu’un chien qu’on promène en laisse. Je lui suçais le clitoris parfois avec douceur, parfois plus intensément. Brigitte gémissait et rentrait ses ongles dans mes cheveux.

 

Plus d’explications sur mon dressage

 

Le temps me parut assez long, puis Brigitte eut un violent orgasme. Sandra qui lui avait caressé la poitrine le temps du cunnilingus, l’embrassa à pleine bouche. De mon coté, je posai ma bouche avec douceur sur sa vulve et lui donnai de petits baisers tendres. Brigitte me montra sa reconnaissance en me caressant les cheveux avec passion.

-C’est la première fois que je me fais sucer par un homme en laisse. C’est divin ! Quelle chance tu as, Mathilde !

Sandra posa la question qu’elle mourait d’envie de poser depuis un bon moment :

-Est-ce qu’il est puni de temps en temps ?

-Bien sûr, ce sont les bases de son dressage, le contrôle de ses orgasmes et des punitions adaptées pour le faire progresser dans sa soumission. Vous allez voir.

Mon épouse me poussa dans la chambre où un gros crochet inox était fixé dans le plafond.

-C’est un très bon investissement que nous avons fait chez Leroy Merlin, dit-elle en riant, il nous sert très souvent…

 

Fouetté par la copine de ma femme dominatrice

 

Elle m’accrocha les poignets au crochet, en tirant fort, puis elle me lia les deux pieds avec une corde.

-Sandra veux tu essayer avec ce petit fouet ? Je te dirai quand la douleur sera trop forte pour lui. Les corrections très sévères sont réservées exclusivement lorsque, il a fait une faute grave. Frappe de préférence sur les fesses, il y a déjà quelques petites marques.

Sandra prit le fouet avec enthousiasme et commença à me cingler les fesses. Chaque coup était très sec et administré avec rythme. Mathilde ne m’avait pas mis de bâillon. Je faisais tous pour me retenir, mais je gémissais doucement sous les coups. J’avais mal, je ne voulais pas trop le montrer à Sandra pour ne pas lui donner ce plaisir, et vis-à-vis de Mathilde et Brigitte.

Je préférais souffrir discrètement, par orgueil, pour montrer mon courage une des dernières choses que ma femme ne pouvait pas prendre. Pendant la punition, Brigitte et Mathilde se tenaient en face de moi. Brigitte me regardait toujours avec douceur, mais Mathilde ne se gênait pas de se caresser l’entrejambe tout en me regardant avec lubricité.

Après dix minutes de ce traitement, Mathilde intervint pour abréger mes souffrances.

-Voila, c’est bien, pas plus Sandra maintenant, il ne peut pas endurer un tel traitement plus d’une fois par semaine. Tu es très douée Sandra, c’était une très belle correction.

 

A disposition des copines pour parfaire mon éducation

 

Sandra en fut toute flattée et les trois femmes retournèrent au salon en me laissant suspendu au crochet. Je ressentais encore les coups de fouet sur mes fesses et l’excitation que j’avais eue à lécher la petite chatte de Brigitte.

-Quelle chance tu as !  Je donnerais tout pour avoir un mari qui prend plaisir à être soumis comme ça.

-Jamais un homme ne m’avait sucé comme ça, ajouta Brigitte. C’était extraordinaire. Mon mari n’aimait  pas faire ça…

-Et si je vous confiais Erick de temps à autre ? Je pense qu’il est bon pour son éducation qu’il soit dominé par plusieurs femmes, et je dois vous l’avouer cela me fera quelques soirées tranquilles : c’est épuisant parfois de dresser son mari

Sandra accepta tout de suite, mais Brigitte accepta avec moins d’enthousiasme, elle semblait un peu gênée par cette proposition.

Finalement, elles se mirent d’accord, Brigitte venait de divorcer récemment et le mari de Sandra voyageait beaucoup. Elles étaient donc libres de me recevoir chez elles pour parfaire à mon éducation.

 

Enfin récompensé par ma femme dominatrice

 

Après avoir raccompagné ses deux amies, Mathilde revint dans la chambre où j’étais toujours attaché au beau milieu de la pièce. Elle était très séduisante dans sa mini robe en cuir noir, avec ses longs cheveux blonds qui tombaient sur ses épaules dénudées. Ma femme se mit face à moi et me prit par la taille tendrement.

-Je suis fier de toi, tu t’es très bien comporté avec mes amies. Tu as été un parfait petit mari dominé, complètement soumis. Tu as été très courageux sous les coups de fouet de Sandra et tu as divinement sucé Brigitte, qui a eu un bel orgasme.

Les paroles de Mathilde me firent un bien fou. C’était comme du miel chaud qui m’enveloppait tout le corps. Qu’est ce qui peut rendre plus heureux un soumis qui reçoit l’estime et l’amour de sa maîtresse dominatrice ?

-Sandra ne t’a pas fait de cadeau, c’est une vraie dominatrice tu ne trouves pas ?  Tu as les fesses toutes zébrées de sang. Je suis vraiment très fier de toi, tu as résisté courageusement.

Mathilde s’accroupit devant moi. Tout en me caressant les jambes, elle commença à déverrouiller le cadenas de ma cage de chasteté. Elle me prit le sexe à pleine main.

-Ce soir tu dormiras avec moi dans le lit, et pour te récompenser, je te laisserais me faire l’amour de la manière qui te plaira toute la nuit si tu le veux.

Puis Mathilde sortit de la chambre d’une démarche très suggestive et en faisant claquer ses talons. Elle me laissa encore une petite heure, tout nu au milieu de la pièce, suspendu au crochet, et complètement stupéfait par cette nouvelle. Je restai seul dans la pénombre de la chambre avec une violente érection qui me dévorait le bas ventre.

 

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