Longue journée pour Léo avec sa sublime Maîtresse domina!

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Achevant cette nuit de fin mai, je me réveille encore brûlant du rêve de Mia, ma sublime Maîtresse domina.  Cela fait maintenant plus d’une semaine que je n’ai pas vu celle qui, désormais, occupe mes pensées et mon cœur.

Nous sommes samedi. Maîtresse et moi avons décidé de passer la journée ensemble avant de rentrer à l’hôtel, le soir venu. Pratiquement un mois s’est écoulé depuis qu’elle m’a imposé de porter une cage de chasteté et que je n’ai pas été autorisé à jouir.

Elle connaît mes faiblesses et sait pertinemment qu’à ce stade d’abstinence, ma prostate est très sensible et mon plaisir anal décuplé… Ce moment, je l’ai tant attendu et pourtant, aujourd’hui j’en suis arrivé à le subir. Ce moment où mon jeu, mes fantasmes et mon esprit pervers se retournent contre moi. Ce moment où c’est elle qui a pris le contrôle. Ce moment où je me sens démuni et totalement dépendant de ses humeurs, de ses volontés, de son emprise. Ce moment où elle a réussi à faire de moi ce qu’elle voulait, et non pas ce que je fantasmais de devenir.

Plug anal vibrant contrôlé par ma Maîtresse domina!

sublime Maîtresse domina

Avant d’entamer notre journée, elle m’impose de porter un plug anal vibrant. Elle ajoute qu’elle contrôlera son intensité toute la journée grâce à son smartphone. Elle a de la suite dans les idées, et entendre sa voix au téléphone déclenche des palpitations soudaines dans ma poitrine.

L’idée que ma Maîtresse domina contrôle ainsi mon plaisir anal m’excite beaucoup. Cependant, j’ai peur de jouir dans ma cage et publiquement, après cette longue période d’abstinence.

Le collier fermement serré autour du cou, je suis nu sur le lit d’hôtel. Contre toute attente, la sensation de l’air caressant ma peau me donne l’impression d’être libre et léger. Maîtresse Mia s’avance vers moi et me dévisage. Elle se tient debout à quelques centimètres de moi, habillée et me jette froidement :

  • Tu te mets à quatre pattes sur le lit, dépêche-toi!

Je m’exécute. Lorsqu’elle glisse le plug en moi, je sens instantanément ma prostate se contracter, mon sexe se gainer contre les parois de ma cage, et une goutte de liquide séminal remonter le long de ma verge.

Je me sens comme une petite salope, totalement à la merci de ma puissante Maîtresse Mia. Je sais que la journée va être longue et intense…mais j’adore ça.

Totalement envouté et brûlant d’excitation!

Lorsque nous marchons dans la rue, je sens le plug frotter contre mon anus et mon caleçon trempé d’excitation. Ma Maîtresse est habillée de manière élégante et sexy. Elle a 9 ans de plus que moi. Sa jupe moule son corps et ses fesses parfaites. Ses talons noirs élancent sa belle silhouette et accentuent sa supériorité. Elle me tient par le bras comme si nous étions un vieux couple. Nous sommes beaux et les passants nous regardent.

Je tente néanmoins de cacher à quel point je suis envoûté et brûlant d’excitation. En effet, je dois me contenir et être sa bonne salope tant qu’elle ne m’autorise pas à jouir, comme elle aime tant me le répéter…

Pendant son shopping, ma Maîtresse domina me demande mon avis sur ce qu’elle essaye. Elle sait me faire bouillonner de désir. Entre chaque tenue, elle prend son temps en cabine et je sens l’intensité du plug varier. Elle fait semblant de m’ignorer. Je fais tout ce que je peux pour ne pas gémir devant les autres femmes qui occupent le couloir des cabines d’essayage.

Durant la soirée, alors que nous sommes assis face à face devant un délicieux repas au restaurant, elle joue avec son téléphone et fait varier les vibrations de mon plug. Elle alterne en me parlant du programme de son week-end prochain avec son conjoint.

J’ai du mal à manger sereinement et à rester concentré pour suivre la conversation. Elle me rappelle à l’ordre car je semble dissipé, scrutant avec attention et avec un malin plaisir, le moindre gémissement s’échappant de ma bouche.

Je suis au bord de l’orgasme en public mais jamais elle ne pousse l’intensité à fond.

 

Réduit à être un objet de plaisir pour ma Maîtresse domina!

De retour dans la chambre d’hôtel, je suis nu à quatre pattes devant elle, collier et menottes bien serrés contre ma peau. Elle m’ordonne de baiser ses pieds. Je suis brûlant de désir pour elle mais je n’ai le droit qu’à ses pieds, c’est la règle.

Assise sur le canapé, elle me dit de remonter doucement le long de sa jambe. Je la couvre de baisers tendres et appliqués, qui trahissent ce désir intense que je peine à refouler et que j’exprime par le moindre contact physique qu’elle m’autorise à avoir avec elle.

Durant notre dernière entrevue, ma Maîtresse domina m’avait fait jouir mais je n’avais pas pu lui donner de plaisir, en retour. J’adorerais que ma bouche chaude se pose contre ses lèvres.

  • Va plus haut, et applique-toi !

Une vague de frissons traverse alors mon corps et je m’exécute. Ainsi, je commence à lécher tendrement ma délicieuse Maîtresse.

À ce moment là, je ne suis rien de plus qu’un objet de plaisir. Je pourrais rester chaste toute ma vie, seul le plaisir de ma Maîtresse compte. Ensuite, je sens le plug vibrer très fort en moi. Je comprends que Maîtresse Mia s’amuse à me mettre à bout en poussant l’intensité maximale.

Langue sortie, lèvres mouillées et tremblant d’excitation, je jouis dans ma cage sans pouvoir me retenir. Ma jouissance dure une éternité, mais je passe à côté de ce plaisir car je dévie de mon la tâche qui m’a été assignée.

Un mois d’abstinence et de fantasme pour ma Maîtresse est alors déversé sur le sol. Je me sens honteux.

 

Puni pour avoir joui sans son autorisation!

Maîtresse Mia me jette un regard noir, m’insulte et me m’ordonne de nettoyer, sans quoi elle ajoute d’une voix sèche :

  • Je ne t’ai jamais autorisé à jouir !

Ensuite,  je reçois pendant vingt minutes des coups comme punition. Je suis bâillonné et j’ai un goût de sperme persistant dans la bouche. Je regrette amèrement de ne pas avoir su me retenir.

Ma Maîtresse est plus belle que jamais. Elle m’ordonne de baiser une dernière fois ses chaussures pour la remercier. La sensation des talons froids contre ma langue contraste avec la chaleur de sa peau. Ma soumission est à son paroxysme, je ne suis qu’un vulgaire soumis asservi à ses pieds.

Sans que j’aie eu le temps de la contempler à nouveau ou de regarder l’heure, elle me bande les yeux…

Sans que j’aie eu le temps de la questionner sur la suite de la soirée, elle me bâillonne à nouveau. Elle attache mes poignets et chevilles fermement au lit avant de sortir de l’appartement.

Mes sens sont en alerte, combien de temps va-t-elle me laisser là ?

 

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