Homme soumis à sa voisine de palier (4)

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homme soumis

Test réussi pour l’homme soumis !

 

Le lendemain, dans ma boite aux lettres, sur un papier bleuté, était noté « Test réussi ». J’ai dû relire ce petit mot des dizaines de fois pendant la journée, me masturbant aux toilettes du bureau. Le soir en rentrant, je l’épinglais sur un tableau d’honneur où tous les mots de Maîtresse figuraient. Puis, à 21h, je repris ma place d’homme soumis.

Ce qui changeait depuis ce test réussi, c’est qu’elle passait me voir presque tous les soirs, et qu’elle me parlait directement pour me donner ses ordres, corriger mes positions ou en essayer d’autres. Elle changea, également, mes horaires afin que je sois à ma place quand elle rentre du travail. 18h / 21h. J’adaptais mes habitudes.

Il y avait plus de trafic dans l’immeuble, et j’entendais tous les voisins rentrer chez eux. Et pour ma plus grand joie, Maîtresse aussi.

https://www.youtube.com/watch?v=euIsAXxQ3lA

Début du dressage !

 

Un soir, elle rentra avec une coupe fleurie. Elle était magnifique, pleine de couleur et d’effluves sentant bon le printemps. Elle me fit mettre à quatre pattes, puis posa la coupe sur le bord de mes fesses. Elle retourna plusieurs fois la présentation, se leva puis revint la modifier. Une fois satisfaite, elle me tira légèrement les cheveux pour relever la tête, puis elle me mit son majeur dans la bouche. Je suçai immédiatement.

– Apprend maintenant à être une table, un guéridon qui supporte ces belles fleurs qui égayent mon palier… C’est à cela que tu sers ! Chaque chose a sa place, et chaque chose a son rôle !

Tandis que je suçais avidement, en montrant beaucoup de passion, je sentis son autre main caresser mes fesses, puis s’aventurer sur mon sexe tendu à l’extrême. Puis ses doigts se refermèrent sur mes couilles pendantes. Elle se mit alors à les malaxer tendrement, m’obligeant à gémir en même temps que la succion.

– C’est bien, me confia-t-elle. Tu es sur la bonne voie. Je vois que tu possèdes de bonnes dispositions. et ta queue semble heureuse.

 

Suite du dressage

 

Elle me mit trois doigts dans la bouche, que je me mis à sucer sans discontinuer, sans modération, comme un fou, comme une chienne en chaleur. Elle se mit à lécher mon oreille tandis que son autre majeur se planta dans mon anus. A ma grande surprise, il ne rencontra aucune résistance. J’étais comme étourdi par autant de plaisir, autant d’émotion d’un coup. Sa dernière phrase dans le creux de l’oreille sonna le glas.

– J’ai tellement envie de te baiser….

Puis elle stoppa net. Une fois debout elle me lança froidement :

– Mais pour l’instant, apprend à être une table. Donne du plaisir à mes fleurs, et égaye mon palier. Sois patient, sois un bon chien et tu seras récompensé au delà de tes espérances !

Elle ferma la lumière et rentra chez elle.

J’ai passé la semaine suivante à être une table. J’aurais préféré lui servir de repose pied, sentir son poids sur moi, la chaleur de sa peau, ses ongles m’écorcher les flancs, mais c’est bien à ses fleurs que je servais de support.

 

Méthode de dressage implacable !

 

Maîtresse avait raison dans sa méthode. Au départ je pensais qu’elle se fichait bien d’un pauvre mâle comme moi. Mais je me trompais. Elle misait sur moi, et sa stratégie était rodée, précise. Elle ne précipitait rien. Elle avait tout son temps, et le mien devait être le sien. J’apprenais la patience, à ne rien attendre d’autre que son ordre suivant, en même temps qu’elle prenait possession de mon corps. Je le sentais se détacher de moi. Je lui offrais pour qu’elle en dispose à sa convenance. Alors elle le prenait. Et si c’était en table, je le devenais, sans autre forme de résistance, sans réflexion particulière.

Ma queue, elle, avait choisit son camp il y a déjà bien longtemps. A tel point que pointait à mon esprit l’idée que je ne devais peut être plus m’en servir sans son autorisation. Si ma queue était destinée à appartenir à ma Maîtresse, que dire de ma jouissance ? La culpabilité pointait le bout de son nez quand ma main se refermait sur elle, bien chaude et bien gonflée. J’hésitais un instant. Mais j’obéissais sans réfléchir. N’ayant pas d’ordre précis sur le sujet, je continuais donc de me branler frénétiquement à chaque occasion. Chez moi. Au boulot. Dans ma voiture. Dans la rue si j’avais pu. Mon palier m’obsédait. Et je savais qu’un jour prochain, elle prendrait le contrôle total de ma queue, et je ne jouirais plus que selon son désir. Alors j’en abusais tant que c’était possible.

 

Totale soumission à ma voisine

 

Quelques années plus tard, elle m’en donna l’explication. Logique. Implacable.

 » Pourquoi donc frustrer un homme soumis en cours de dressage, puisqu’il jouit très fort chaque jour de pouvoir être une table, une pute, un chien ? Il s’astique le manche comme un drogué pour avoir sa dose. Il ne rêve ensuite que de recommencer, alors ainsi, on le mène par le bout du nez, ou par le bout de sa queue serait-il plus juste de dire… Et quand l’homme a compris qu’en rampant au sol, en léchant les semelles de sa Maîtresse, il parviendra à une jouissance jamais inégalée avant, crois-moi, il est prêt à faire des kilomètres, le cul en l’air, prêt à se faire enculer au moindre signe de sa Maîtresse.

Tous les hommes font bien des manières et dépensent beaucoup d’énergie pour protéger leurs petites fesses vierges, alors que pour les femmes, c’est parait-il une chose normale que de vous les donner ! Mais la réalité, c’est qu’une fois que vous y avez goûté, que vous avez abandonné votre fierté masculine, vous feriez n’importe quoi pour offrir votre croupe à une belle queue bien rigide… Crois-moi Olga, les meilleurs putes au monde sont les soumis mâles qui jouissent du bonheur qu’ils donnent à leur Maîtresse simplement en obéissant ! Tu voudrais redevenir un homme libre ? »

Croyez moi ou non, mais comme seule réponse, je me suis prosterné, et ma langue a amoureusement léché ses chaussures.

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