Mon soumis sex-toy : LA MÉTAMORPHOSE DE MON NOUVEAU SLAVE (5)

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dominatrice

J’ai montré à Bernadette, mon soumis sex-toy, sa chambre. J’avais été généreuse en lui accordant un réduit de 10 m2, sans fenêtre bien sûr, avec un matelas sur le sol, un lavabo avec de l’eau froide, un seau hygiénique et une petite armoire pour ses vêtements. Le confort moderne dirais-je. J’ai, évidemment, rappelé à Bernadette quelques évidences : elle devait être d’une propreté parfaite et se laver matin et soir. Elle était aussi responsable de la propreté de sa chambre.

Nous étions dimanche soir, je lui ai dit de me préparer et de m’apporter mon petit déjeuner avant de partir à son bureau. Bernadette allait être un soumis sex-toy mais aussi une esclave, attentive au bien être de sa Maîtresse.

Nous ne nous vîmes qu’un instant le lundi matin, et puis Bernadette est partie travailler, habillée en homme, avec sa cage qui m’assurait de sa chasteté pendant son absence de mon appartement.

Le soir, elle est rentrée avant moi et m’attendait en tenue, porte jarretelle, bas, soutien rouge, son sexe toujours encagé. J’ai ouvert la cage en lui rappelant son interdiction d’avoir une érection si je ne le lui demandais pas. Evidemment, cela n’a pas raté, son sexe s’est dressé, bien dur, dès qu’il a été libéré. Bernadette avait l’air penaude, incapable de se contrôler. J’étais fâchée et j’ai frappé violemment sa bite puis ses couilles avec ma cravache. Après cinq coups bien sentis, son sexe s’est calmé mais j’ai continué une demi-douzaine de fois, furieuse qu’elle ne se domine toujours pas.

 

Nouvelle correction pour mon soumis sex-toy!

 

Le même scénario s’est répété le lendemain soir. Là j’étais hors de moi. Je comptais récompenser Bernadette en la laissant sucer mon clitoris. Il n’était évidemment pas question de relâcher la pression. Il fallait la punir. Je l’ai donc à nouveau corrigée, plus sérieusement que la veille, après le sexe et les testicules, je lui ai fouetté les fesses. Cela m’a excitée de voir qu’elle mordait sur ses lèvres pour ne pas montrer sa souffrance et d’admirer ses fesses qui devenaient rouges et zébrées. Il fallait qu’elle me satisfasse. Je ne voulais pas attendre.

-Tu n’es qu’une sale vicieuse. J’espère que tu commences à réaliser ce que j’exige de toi. Je ne veux te voir bander que quand je te le demande ! Tu m’as déçue hier et aujourd’hui, que cela ne reproduise plus ! Maintenant, lèche-moi le cul pour me montrer combien tu aimes tous mes orifices.

Sans attendre, je me suis assise sur son visage, cul sur sa bouche ouverte, donnant à sa langue un accès facile  à mon anus. Je l’ai sentie d’abord me lécher l’entre fesses, le mouillant bien, puis l’orifice de mon cul, consciencieusement, continuant en me pénétrant l’anus, remuant la langue pour m’atteindre de plus en plus profondément. J’ai fini par être troublée. Je jouais avec son sexe qui ne bandait plus en le frappant légèrement avec ma cravache mais j’ai arrêté pour me consacrer à mon clitoris. Je l’ai caressé d’un seul doigt et j’ai commencé à sentir une délicieuse chaleur m’envahir.

 

Mon soumis s’occupe du ménage!

 

Je savais que j’étais partie vers une jouissance que j’allais retenir longuement pour en profiter au maximum. Je ralentissais par instant le massage de mon clitoris pour mieux sentir la langue de Bernadette qui maintenant me pénétrait profondément le cul. J’avoue, je me pâmais, et j’ai commencé à être humide au point qu’un peu de ma mouille retombait sur le menton de Bernadette. J’ai fini par jouir délicieusement, avec un tremblement de jouissance que Bernadette a dû remarquer. Mais j’étais contente, son sexe est resté au repos…

Je me suis levée, j’ai dit à Bernadette de s’occuper du ménage et je suis allée prendre une douche. J’ai enfilé ensuite une chemise de nuit blanche, proche du corps et qui me mettait bien en valeur. Je voulais circuler dans l’appartement devant mon sex-toy, sans faire d’effort de pudeur et tester sa capacité à se contrôler. Cela marchait bien, Bernadette n’a pas bandé bien que j’ai senti qu’elle me regardait en douce et admirait mon corps. Mais cela ne me déplaisait pas du tout…

J’ai regardé la télévision pendant une heure, Bernadette à mes pieds, me les massant longuement. La leçon semblait commencer à être comprise et assimilée par Bernadette, plus de sexe en érection. J’ai bien dormi, j’allais sans doute rapidement pouvoir passer aux étapes suivantes avec mon soumis sex-toy. Il y en avait plus d’une encore…

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Soumis asexuel au service d’une dominatrice

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1 réflexion au sujet de « Mon soumis sex-toy : LA MÉTAMORPHOSE DE MON NOUVEAU SLAVE (5) »

  1. Bonjour esclave soumis !!!

    J’ai pris le temps de visité ton profil car je suis ici dans l’espoir de trouvé un vrai homme soumis pour faire de lui mon esclave totalement soumis sous mes ordres ton profil m’intéresse beaucoup j’aimerai bien fait ta connaissance si possible !!! je suis une femme dominatrice sérieuse , sincère , honnête ,vicieuse , perverse j’ai 35 ans je suis célibataire sans enfants j’aimerai trouvé un esclave misérable pour faire de lui une vrai crapule de merde totalement soumis a mes pieds sous contrat d’appartenance j’ai un donjon et plusieurs soumis mais je suis actuellement a la recherche d’un homme soumis que sa soit novice ou un soumis expérimenté quelque soit le type de soumis je veux soumettre un homme soumis totalement libre a mes pieds pour faire de lui mon serviteur totalement soumis a mes pieds sans limites ni tabous je garantie que a mes pieds le soumis ne risque rien je lui donnerai tous l’amour qu’il a besoins pour devenir un vrai esclave ….. a mes pieds je promet une vrai vie de soumission SM dans mon monde remplie de joie et de bonheur celui qui S’engagera sincèrement et honnêtement pour m’appartenir a vie ne sera jamais déçu de sa décision car je vais bien prendre soins de lui comme une vrai misérable mauviette de merde soumis a mes ordres pour la vie !!!

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