LA MÉTAMORPHOSE DE MON NOUVEAU SLAVE (PART IV) EN MON VRAI SEX-TOY HUMAIN

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Le dressage du serpent pour devenir mon vrai sex-toy humain!

Après ces préliminaires, le dressage classique était sur des rails. Lui apprendre à faire le ménage, les courses, à obéir sans réfléchir ni se poser de questions n’est qu’une question de doigté, un mélange de bâton et de carotte. Surtout beaucoup de bâtons…

SEX-TOY HUMAIN

Tous les prétextes sont bons pour punir Bernadette, pour lui faire sentir que je suis exigeante et n’accepte aucun écart. Une ombre sur un verre pas parfaitement essuyé, un pli sur un chemisier mal repassé se traduisent en vingt à trente coups de fouets sur ses fesses, son ventre, son sexe, ses cuisses… Normalement, c’est tous les deux ou trois jours que Bernadette se retrouve nue, les fesses en l’air, face contre terre, à attendre que j’arrive que je la corrige. Comme je suis à chaque fois vraiment fâchée, les coups sont vigoureux et au bout de quelques minutes, la région du bas ventre de Bernadette devient rouge et zébrée. Cela m’excite de la voir comme cela, d’entendre ce mec grand et fort  me supplier d’arrêter, de voir qu’il retient ses larmes. J’ai senti aussi qu’il aimait que je le maltraite, enfin, plutôt vu à son sexe, qui commençait à se dresser et son plaisir à être corrigé.

Sa punition la plus dure, celle que clairement, il n’aime vraiment pas est de le priver de ma présence. Un soir, il m’a quittée, pas content, parce qu’il avait compris que j’allais sortir avec un ami-amant et qu’il avait espéré pouvoir m’inviter au restaurant. Il a reçu le soir même un SMS lui demandant pour qui il se prenait d’oser avoir des humeurs et qu’il allait être puni sévèrement. Je lui ai aussi envoyé une longue liste de produits à acheter, qu’il m’a amenés le lendemain matin, se répandant en excuses et me suppliant de lui pardonner. Je l’ai fait ranger les courses, faire la vaisselle qui trainait avant de lui donner l’ordre de déguerpir. Je le reverrais quand je me serais calmée mais j’étais très fâchée de son impertinence  sûrement pour plusieurs jours, peut-être à jamais. Je l’ai senti paniquer et se retirer la queue entre les jambes, désemparé.  Il m’a envoyé plusieurs mails dans lesquels il s’excusait, me demandait pardon, et se rabaissait de mieux en mieux. Au cinquième, je lui ai répondu d’arrêter de m’écrire sinon j’allais répondre à une des multiples propositions que je reçois sur slave selection. Cela l’a calmé…

Je l’ai laissé mariné trois jours, avant de lui envoyer un courrier lui disant sèchement  de se présenter chez moi le matin suivant. La phase suivante de son éducation, celle que j’attendais avec impatience allait commencer : en faire véritablement mon vrai sex-toy humain.

Quand il est arrivé, comme d’habitude, il s’est déshabillé, et est redevenu Bernadette, en porte jarretelle, bas et soutien rouge. Toujours avec sa cage qui ne l’avait pas quitté depuis ma colère. Je l’ai laissé mariner une bonne demi-heure au moins, à genoux, yeux baissés. Il pouvait m’entendre circuler dans la maison mais ne me voyait pas.

La partie la plus difficile de ton éducation va commencer maintenant lui dis-je d’un ton sec. Je te conseille de t’appliquer et de tout faire pour réussir. A partir d’aujourd’hui, tu vas vivre chez moi 24h sur 24, tu ne sortiras que pour aller travailler et faire des courses, exceptionnellement pour d’autres raisons. Tu ne porteras ta cage que quand tu sors et la nuit pour dormir, pour éviter que tu te touches. Sinon, ta queue flottera librement. Il t’est interdit de bander si je ne te le demande pas. Je vais donc t’éduquer pour que tu te contrôles.

Je lui ai retiré sa cage et évidemment, comme je l’avais prévu, il a commencé à bander ferme.  Tu bandes, sale putain ? Mets-toi dos contre le mur, bras bien écartés! Je vais t’apprendre à te contrôler. J’ai pris ma cravache et j’ai commencé à frapper son sexe, de plus en plus fort, jusqu’à ce que sa douleur soit suffisante pour le faire débander. Encore quelques coups sur les cuisses, pour bien les zébrer de rouge et Bernadette a pu repartir vaquer à mon ménage.

Le premier jour, j’ai dû le corriger trois fois pour le faire débander. Cela m’a suffi, j’étais lasse de le frapper. J’ai changé de méthode. Je lui ai intimé l’ordre de se mettre à genoux devant moi et de se branler, les yeux bien fixés sur son sexe. Et ne traîne pas, espèce de sale pute ai-je ajouté. Trop contente Bernadette, elle s’est donnée du plaisir en un temps record. Une belle et abondante éjaculation est apparue, Bernadette poussant un gloussement en jouissant. Puis elle s’est arrêtée me regardant avec un air idiotement satisfait. C’était parfait, une quadruple claque sur ses jolies joues lui ont donné une jolie couleur rouge. Je ne t’ai pas dit d’arrêter, minable larve, recommence ! Bernadette s’est exécutée,  le résultat est arrivé plus lentement et nettement moins fourni mais cela n’a pas trop traîné. Elle a levé les yeux sans oser lâcher son sexe, elle ne semble pas avoir été surprise quand je lui ai dit Recommence ! Mais là, cela a été pénible, le cœur n’y était plus, Bernadette se limait péniblement le sexe, bandant à peine. Je lui ai dit de se dépêcher, si elle mettait moins de cinq minutes, elle aurait une récompense. J’ai enlevé ma culotte et remonté ma robe, lui permettant d’apercevoir mon sexe, mon doigt commençant à titiller mon clitoris. Cela a donné à Bernadette la force de bander encore une fois et d’avoir une (petite) éjaculation. Elle ne bandait plus mais était tout heureuse de me sucer le clitoris puis de pénétrer l’entrée de ma chatte avec sa langue jusqu’à me faire jouir merveilleusement bien. La suite du dressage s’annonce bien !

Bernadette a bien sûr encore dû nettoyer avec sa langue le sol souillé de son sperme et tout avaler. Elle n’a plus bandé de la soirée et est allée dormir tôt manifestement bien fatiguée…

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