A quatre pattes, immobilisé par ma Maîtresse dominatrice
L’ordre était tendre mais ferme. De toute façon, je n’avais pas d’autre choix que de m’exécuter. Je me retournais donc, puis, à quatre pattes sur la table, je plongeais ma tête afin de cambrer au mieux. Mais ce n’était certainement pas suffisant, car mes poignets furent tirés en avant. Mon visage se retrouva ainsi collé sur la table.
Je sentis les menottes se refermer sur mes poignets. Pensant, enfin, avoir un moment de répit, je tentai de ramener mes poignets en arrière, mais la résistance se fit sentir. J’en conclus que les menottes avaient été fixées à la table, m’empêchant de me redresser.
Ceci avait pour but de libérer ma Maîtresse dominatrice de la contrainte de me tenir.
Toujours privé de la vue, j’entendais chuchoter derrière moi.
Je sentis des mains positionner mes pieds en les écartant, mais également de façon à me cambrer au maximum. Mes pieds maintenus, je sentis les menottes se refermer cette fois sur mes chevilles.
Mes pieds furent libérés mais je ne pouvais pas les bouger.
Les menottes sur mes poignets et sur mes chevilles m’avaient immobilisé sur la table.
Finition et vérification
Je sentis d’abord des mains, écarter mes fesses, puis le contact de la cire chaude dans mon sillon fessier. La cire fut arrachée d’un geste ferme. Puis l’opération fut renouvelée jusqu’à ce que j’entende :
- Voila, il est tout propre !
C’était l’esthéticienne qui avait parlé.
Ma Maîtresse dominatrice répondit :
- Il n’y a plus qu’à vérifier et tester… Hihihi !
Je sentis sur mon petit trou ce que je compris être un lubrifiant couler, puis le contact froid et métallique de ce que j’identifiai comme un plug.
Dans un doux mouvement de rotation, le plug fut enfoncé. Une fois qu’il fut en place, j’entendis :
- Voila un joli bijou qui embellit une salle de jeux toute propre!
- Mais qui dit salle de jeux, dit qu’il faut y jouer !, répondit l’esthéticienne.
- C’est ton travail, à toi l’honneur !, répondit ma Maîtresse dominatrice, Il faut bien qu’il paye pour ton travail !… Hihi !
S’approchant de mon oreille, elle me murmura :
- Cette table est formidable !
Sur le ventre, livré à ces deux femmes dominatrices!
J’entendis des clics à l’avant de la table. Ensuite, mes bras furent, doucement, entraînés vers le bas. Enfin, j’entendis, de nouveau, les mêmes bruits à l’arrière. Ce furent au tour de mes jambes de descendre, également.
La table s’était transformée en chevalet sur lequel j’étais posé et attaché.
Puis s’adressant à l’esthéticienne :
- Tu as ce qu’il faut ?
- Oui !, répondit elle. Je l’avais pris dans l’espoir de l’utiliser !
- Équipons nous !, dit ma dominatrice en riant.
Je ne pouvais qu’entendre quelques mouvement mais je compris qu’elles venaient de se positionner devant moi.
- Tu vas voir ce que nous avons pour toi!, me dit ma dominatrice.
Elle retira le bandeau de mes yeux et je découvris, encore un peu ébloui par la lumière revenue, qu’elles avaient toutes les deux enfilées une ceinture équipée d’un gode.
Elle retira mon bâillon en me donnant l’ordre de ne rien dire, puis elle fit un signe à l’esthéticienne que je distinguais enfin. Je réalisai qu’il s’agissait de mon esthéticienne habituelle sur laquelle il m’arrivait de fantasmer qu’elle me prenne. J’allais être comblé, dans tous les sens du terme.
Ce qu’on appelle être comblé par sa Maîtresse dominatrice!
Elle vint se positionner derrière moi, retira le plug et sans attendre, commença à me pénétrer, doucement, mais j’eus le réflexe d’ouvrir la bouche.
Ma dominatrice saisit l’occasion et y mit son gode-ceinture. Elle prit ma tête avec ses mains, me tenant fermement.
Ensuite, elle entreprit un mouvement, me forçant à l’engloutir de plus en plus, doucement, mais sûrement.
J’en avais oublié l’esthéticienne qui en avait profité pour me pénétrer complètement, et qui maintenant, me tenait par les hanches.
Elle commença les va et vient dans mon petit trou alors que ma gorge engloutissait ma dominatrice…
j’adore j’aura aime etre a sa place