Fanny, jolie dominatrice, et activiste écolo

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jolie dominatrice

 

Véritable admiration pour Fanny

 

Fanny et moi nous connaissons depuis un peu moins d’un an : nous fréquentons la même association d’activistes écolos, specialiste des actions coup de poing et autres happenings médiatiques. Fanny a des vraies convictions, féministe jusqu’au bout des ongles, elle abhorre tout le système libéral contemporain et l’action écologiste est l’un des moyens de contestation qui lui permet d’exprimer sa colère.
Pour ma part, je suis plutôt suiveur, et je me suis retrouvé dans cet assoc’ un peu par hasard, il faut bien l’avouer. Mais j’éprouvais une véritable admiration pour Fanny, ses connaissances sur l’environnement, sa rage et sa conviction non feintes qui lui donnaient un charisme évident. Même si nous nous entendions bien, elle ne se leurrait pas sur la force de mon engagement et me méprisait sans doute un peu. Elle me reprochait souvent de ne pas avoir assez de couilles pour renverser le système . De mon côté, j’avais un faible pour elle, même si les rumeurs couraient sur son homosexualité.
Un samedi, après une opération de tractage, nous buvions quelques verres comme à notre habitude avec le groupe, sans doute même un peu trop, puisque le pot se prolongea dans la soirée. Je proposais finalement à Fanny de faire un bout de chemin avec elle, nous n’habitions pas très loin l’un de l’autre.

 

Sans aucune pudeur …

 

L’alcool aidant, notre discussion prit un tour révolutionnaire et philosophique presque exalté , qui aboutit à cette réflexion chez Fanny:
-tu vois, mon rêve, ce serait qu’on retourne à l’état d’animaux, nus, en communion avec la nature… revenir à des relations humaines sans faux-semblants et sans artifices, abolir les règles factices de la société.
Je la regardais en riant bruyamment et, alors que nous marchions le long d’une zone boisée, je lui répondis :
-s’il n’y a que ça, suis moi, je crois que je suis en mesure de réaliser ton rêve.
Je m’enfonçai dans la forêt en commençant à me déshabiller. Fanny me suivit, amusée, et quelques secondes plus tard, hors de vue de la route, je me retrouvai complètement nu devant elle, à 4 pattes. Je me mis à courir en aboyant. Elle éclata de rire :
-t’es con… tu fais super bien le chien dis moi ! mais il te manque un peu de souplesse pour te lécher les couilles !
Nouveaux éclats de rire !
-Tu paries ?
Je fis mine d’essayer. L’alcool m’avait enlevé toute pudeur et je ne me rendis pas compte du spectacle lamentable que j’offrais: jambes écartées, plié sur moi même et langue pendante en lâchant quelques jappements.

 

Fanny, véritable dominatrice?

 

Le sourire de Fanny s’effaça progressivement, au profit d’une lueur brillante qui s’alluma dans ses yeux mais dont je ne me rendis pas compte.
-pfff… c’est minable… tu as encore du taf avant de retourner à la nature. Tiens, si tu étais un vrai clébard, tu pisserais devant moi tout en te laissant caresser la tête ! Je suis certaine que t’en es incapable, trop conditionné par les bonnes manières et les préjugés de la société!
Toujours désinhibé par l’alcool, je ne pris pas conscience de la tournure de nos échanges. Ainsi,  je me mis à genoux, saisit mon sexe mou.
-à 4 pattes ! Comme un vrai chien ! : lança Fanny.
Hilare, je me concentrai pour uriner, les quelques pintes de bière facilitèrent grandement la tâche. Je pissais de longues secondes durant lesquelles, Fanny s’approcha de moi et me caressa la tête. Le temps devint interminable. Elle me fixait des yeux pendant que je me vidais devant elle. L’urine s’accumulait entre mes genoux.  Mon rire puis mon sourire s’effaça, la gêne s’empara de moi. Je baissai les yeux de honte, alors qu’un air de profonde satisfaction illumina son visage!
-tu vois, c’est exactement ce dont je te parlais… retour à l’ordre naturel des choses ! Elle éclata de rire.  Je ris jaune et réalisai enfin pleinement la situation. J’étais nu comme un ver, à genoux et à hauteur du bassin de Fanny, pataugeant dans mon urine, et elle, debout, me toisant avec un large sourire aux lèvres et sa main sur ma tête en position de force. Je ne peux réprimer une violente érection.
-Mais c’est que ça l’excite le toutou en plus! Décidément, je ne pensais pas que tu saurais revenir à l’état animal si vite! Tu sais ce que font les chiens-chiens quand ils sont excités ? Non ? Je suis sûre que tu sais, fais un effort, allez, frotte toi sur ma jambe !

 

Proposition de soumission !

 

Je la regardais, incrédule, sans savoir que faire, mais ma queue secouée par des soubresauts en disait long sur ce que m’inspirait son ordre!
-ne réfléchis pas trop, réponds à ton instinct… c’est ça ou le seau d’eau froide !
Je m’agrippai à sa jambe et commençai à frotter mon gland ultra gonflé sur son jean.
-sans les pattes, le chien!
Je mis les mains derrière mon dos et accélérai le va et vient contre le tissu râpeux. Ensuite, je sentis l’irritation arriver mais également le bien fou que cela me faisait. Je grognai de plaisir et haletant car la position n’était pas aisée pour atteindre l’orgasme.  Enfin, je libérai ma semence dans un râle animal, sous les caresses affectueuses de Fanny.
-c’est bien mon chien!
Encore dans les vagues vaporeuses du plaisir, je vins solliciter ses caresses avec mon visage.
-Bien, rhabille-toi maintenant et écoute moi bien! Je vais essayer d’être claire : ce qui vient de se passer est exactement ce à quoi j’aspire. Tu as 2 possibilités : soit chacun de nous rentre chez soi, on met cette histoire sur le compte de l’alcool et ça reste entre nous …. soit on va plus loin, et on construit ensemble un vrai mode de vie utopiste, fondé sur nos instincts. Il est clair que j’ai une position dominante sur toi, ça ne sera pas toujours facile pour toi, mais je suis certaine que c’est un moyen d’épanouissement pour toi.
Dans ma conception de la hiérarchie animale, il n’y a pas d’actions malveillantes juste des actes nécessaires pour le bien de la meute. Bref, je t’expliquerai ça plus en détail si tu choisis de me suivre. Je te laisse la nuit pour réfléchir. Si tu acceptes de tenter l’expérience, je te retrouverai demain matin à mon réveil dans mon jardin, nu, propre et assis devant la porte de derrière, bien sage… sois là assez tôt. Si j’ouvre ma porte et que tu n’es pas là, je considérerai que tu as refusé et il n’y aura pas de deuxième chance…
Bonne nuit.
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