Elle, ma Maîtresse Dominatrice et son amie (2)

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Elle, ma Maîtresse Dominatrice et son amie (1)

 

Enfin l’amie de ma Maîtresse dominatrice entra dans la salle de bains. Je vis qu’Elle quittait ses chaussures puis ses vêtements tombèrent un à un sur le sol.

 

Au service de l’amie de ma Maîtresse

Elle me donna alors l’ordre de lever les yeux et à quelques centimètres de ceux-ci je vis ses magnifiques fesses. Penchée en avant, Elle me tournait le dos. Elle avait posé un pied sur le rebord de la baignoire dévoilant ainsi sa fente.

  • Regarde dans quel état tu m’as mis ! Nettoie avec ta langue !, dit-Elle.

Effectivement, je ne pouvais ignorer l’excitation qui était la sienne en découvrant son sexe trempé. Je léchai avec application son entrejambe, ses lèvres, en nichant mon nez au niveau de son anus odorant tandis que de Ses mains Elle écartait les globes de Ses fesses pour me permettre d’accéder au plus profond de Son intimité. Je sursautai quand j’entendis derrière moi Maîtresse dire à Son amie

  • Tu vois je t’avais dit que tu aimerais…

Celle-ci ne répondit que par de longs gémissements qui valaient mieux que des mots. De mon côté, mon sexe butait douloureusement dans sa cage. Je n’étais pas encore dressé à ne bander que sur ordre et la situation avait fait monter mon propre désir.

Ma Maîtresse Dominatrice referma la porte en quittant la salle de bain. Son amie me repoussa. Je repris ma position à genoux en attendant Ses ordres. Elle ouvrit le robinet de la douche et y entra sans plus se soucier de moi. Ensuite, elle passa un long moment sous le jet tonique. Enfin, elle utilisa les différents modes de diffusion de l’eau de la plus douce à la plus concentrée si j’en jugeais par les sons différents. Elle me demanda juste de lui tendre Son peignoir et je ne pus pas la toucher plus tandis qu’Elle se préparait.

Juste un meuble pour les deux amies

Maîtresse Dominatrice

Après avoir revêtu un peignoir en soie jaune à larges motifs floraux Elle se saisit de la laisse et m’entraîna toujours à quatre pattes vers le salon où nous retrouvâmes Ma Maîtresse Dominatrice.

Elles parlèrent de moi comme si je n’étais pas là, où comme si j’étais une chose, un meuble incapable de comprendre leurs mots. Je ne sais pas laquelle des deux eut envie de m’imposer une contrainte de plus mais je sentis une main flatter ma croupe dans de larges caresses puis infliger quatre claques retentissantes sur celle-ci.

Je reconnus la poigne ferme et décidée de ma Maîtresse Dominatrice. J’évitai de bouger et ne laissai pas échapper un bruit pour Lui plaire. Sa main enduisit rapidement mon anus d’une substance froide puis je sentis la pointe d’ un plug assez gros se faire un passage, le travail régulier imposé par ma Propriétaire paya car je pus m’ouvrir suffisamment pour que la partie la plus large trouve enfin son chemin et l’objet prit sa place en envahissant mon cul.

J’avais appris à apprécier cette sensation de possession très intime. Ma Maîtresse Dominatrice souhaitait pouvoir librement et à tout moment disposer d’un accès facile si Elle le désirait. En aucun cas, je ne pouvais réclamer une forme de plaisir sexuel ou anal. Cela je lui en avais donné la responsabilité et le pouvoir et j’avais profondément intégré que cela ne m’appartenait plus du tout et qu’Elle seule en disposait.

Utilisé comme un cendrier!

C’est donc ainsi paré que je commençai à Leur servir les délicieuses choses à boire et à manger spécialement préparées. Elles ajoutèrent à leur plaisir le port d’escarpins qu’Elles m’imposèrent en riant de me voir me déplacer ainsi perché le cul rempli et se balançant au rythme de mes pas. Tout était prétexte à me faire passer devant Elle, un accessoire à aller chercher, un aliment, etc. Ensuite lassées de ce jeu, je dus me mettre à quatre pattes devant Elles.

Ainsi, je servis de table improvisée où Elles déposèrent nourriture, verres, etc. Je goutais aussi la saveur particulière de la cendre quand l’amie de ma Maîtresse Dominatrice me fit ouvrir la bouche et servir de cendrier pour Elle. Le plus dur était de garder cette position sans bouger, sans trembler. Le repas terminé je débarrassai ce qui restait ne Leur laissant que Leurs verres et je dus m’allonger sur le dos devant le canapé et je servis ainsi un long moment de coussin sur lequel Elles vinrent reposer Leurs pieds divins.

Elles discutèrent de tout, une conversation entre Femmes. Enfin, elles abordèrent le sujet de la Domination Féminine, la gynarchie. Ma Maîtresse Dominatrice expliqua « comment dominer son homme » à son amie. Pour Elle bien sûr, cela reposait sur une relation d’exception, le fruit d’une rencontre particulière où deux démarches complémentaires trouvaient la possibilité de vivre ce qu’elles avaient de plus authentique, au plus près de leur « moi » profond.

Explications de ma Maîtresse sur « Comment dominer son homme? »

Une telle relation se construisait selon Elle avec patience, détermination et amour. Elle nécessitait d’établir une grande confiance, un respect réciproque, et une admiration naturelle évidente. Cela permettait de donner tout son sens à un lien qui, au-delà d’un simple jeu, était un véritable mode de vie et d’accomplissement de soi. Cette relation consensuelle, assumée, devait, aussi reposer sur une grande qualité de communication entre les deux pour pouvoir évoluer.

Il fallait tenir compte des freins, des besoins et poser un cadre clair, des règles et une perspective à laquelle adhérer. L’image d’un tel lien dans la société n’était souvent pas comprise. En effet, cette relation était, souvent, assimilée à de l’abus, à de la faiblesse, à une déviance perverse. Cet aspect devait aussi être connu pour ne pas en souffrir.

Elle pensait que le contrôle devait s’étendre le plus largement sur son esclave en apprenant à le connaître, gérer ses jouissances par des vidanges contrôlées, ainsi qu’Elle les appelait, permettait d’accroître l’obéissance de son homme, son attention vis-à-vis d’Elle et son désir de La servir. Cela matérialisait aussi au quotidien Son emprise sur mon corps mais aussi sur mon esprit et mon cœur en lui apportant le plaisir de me voir et me savoir à Ses pieds et à Ses ordres, réellement. Son esclave devait apprendre à s’en remettre à Elle de plus en plus largement pour tout, son plaisir, ses choix de vie amicaux ou professionnels, la gestion de son argent en lui laissant tout de même des temps à lui pour son équilibre.

Attaché au pied du lit pour la nuit!

J’étais fasciné par la cohérence de la démarche qu’Elle décrivait à son amie. Je savais déjà tout cela. Cependant, l’entendre aussi bien formulée, synthétisée, fit encore une fois écho profondément en moi. Je ressentis vraiment toute la logique d’être là à Ses pieds. C’était comme un aboutissement heureux de tout un parcours. J’étais fier et heureux d’avoir été choisi par Elle pour devenir ce qu’Elle voulait que je sois pour Elle. Elles prirent de temps en temps plaisir à me faire sentir leur talon, et à en imprimer la marque dans ma chair.

La nuit était déjà bien avancée quand Elles décidèrent d’aller dormir. Ma Maîtresse m’entraina en laisse jusqu’à la chambre. Elle tira une couette de l’armoire pour la placer au pied du grand lit. Elle m’y fit prendre place et fixa à mon collier une chaîne à l’aide d’un cadenas. Cette chaîne passait, aussi, autour du pied de lit m’attachant de manière à contraindre suffisamment mes mouvements sans pour autant m’empêcher de bouger un peu. Les deux amies prirent place dans le lit, chuchotèrent un peu, soupirèrent beaucoup. Je ne pouvais qu’imaginer leurs gestes, leur plaisir que je savais seulement décuplé de me savoir ainsi possédé, offert à Leurs pieds. Le sommeil et les rêves pouvaient ils être plus agréables que ce que je venais de vivre ?

 

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