Dominé par ma belle tante, dominatrice perverse (7)

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Les « léchouilles » avaient duré une bonne demi-heure et ma belle tante, dominatrice perverse, avait fini par avoir un orgasme. Elle m’envoya toute sa cyprine dans ma bouche. Je me mis, donc, à avaler, n’attendant que la fin de son orgasme. Je ne réussis, malheureusement, pas à tout ingurgiter mais le visage souriant et heureux de Madame Sophie me fit comprendre qu’elle avait remarqué mes efforts.

  • Il y a du progrès esclave. Un jour, t’arriveras peut être à ne pas en mettre partout, me dit-elle.

 

Départ pour une soirée d’anniversaire!

Ma journée se terminait mais la soirée ne faisait que commencer. Je devais aller me préparer pour sortir car nous étions inviter à une soirée chez une amie de ma belle tante. Aussi, j’avais reçus l’ordre de bien m’habiller, avec une chemise, un costume et des chaussures de ville.
Une fois préparé, j’attendis madame Sophie devant la porte d’entrée qu’elle descende de l’étage supérieur.
Quand elle descendit les marches, je vis une femme tout à fait sublime. Je tombai, presque, amoureux pour la deuxième fois. En fait, je ressentais presque de la honte au fond de moi car je tombais amoureux d’une femme de plus de 45 ans alors que j’en ai que 23…
Elle portait une longue robe de soirée rouge avec de jolis escarpins et elle s’était bouclée les cheveux. Ainsi, elle était magnifique.
  • Aller on va y aller. Tu seras mon chauffeur et lors de la soirée, tu seras mon petit ami d’un soir. Je pourrais faire de toi ce que je veux!
Nous allions chez une de ses amies qui était très riche. Elle avait invité beaucoup de monde. Lors du trajet, madame Sophie m’énumérait rapidement les invités.
Nous étions arrivés. J’ouvris la porte de Sophie puis je l’aidai à sortir de la voiture. Enfin, je l’accompagnai en lui tenant le bras jusqu’à la maison de son amie qui nous ouvrit de suite. Je découvris cette jolie femme prénommée Marjorie, qui fêtait ses 50 ans, et qui était, encore, très jolie pour son âge !
  • Bonjour Sophie je suis heureuse de te voir ! Et toi du toi être son petit ami, je suis ravi de te rencontrer. Venez venez !

Début de soirée très normal! puis…

C’était une femme à première vue, vraiment très gentille, serviable, pleine de vie et de bonne humeur. Cette soirée avait vraiment l’effet d’une vraie pause sur ma semaine qui n’était et ne sera pas de tout repos. Je passais vraiment une soirée tout ce qu’il y avait de plus normal. Ainsi, je buvais un verre, rencontrais des gens. Sophie venait, même me voir de temps en temps, m’enlaçant tendrement. Après tout, je jouais le rôle de son petit copain.
Marjorie avait fais les choses en grand pour ses 50 ans. Il devait y avoir une bonne quarantaine d’invités. l’alcool coulait à flot. Il y avait quand même beaucoup de femmes parmi les invités et très peu d’hommes. De plus, j’étais le plus jeune de tous, donc tout le monde me regardait! On aurait dit que j’étais le petit phénomène de foire et/ou le trophée de madame Sophie pour une soirée.
La soirée passait petit à petit. Ma belle tante était pleine de joie et de bonne humeur. Moi aussi, j’étais quelqu’un de tout à fait normal et non pas un sous homme. Plus tard dans la nuit, la plupart des invités partirent. Seul un noyau solide d’amis resta.
  • Aller Marjorie ! Je vais t’offrir ton petit cadeau maintenant !, s’écria Maîtresse Sophie.

…Offert comme cadeau à l’amie de ma belle tante, pour le reste de la soirée!

Sauf que je n’avais vu aucun cadeau dans la main de ma belle tante jusqu’à présent.
  • Écoute, on est entre nous, et tu m’avais dis que tu rêvais d’avoir un jeune homme jouet. Je vais t’en offrir un pour la soirée et toute la nuit pour que tu puisses voir tout ce qu’un petit jouet peut faire ! Toi ! Viens là !
Forcément, elle s’adressait à moi, et forcément cette soirée était trop bien pour que ça continue…
dominatrice perverse
Devant ses proches amies et Marjorie, je me dirigeai donc vers ma belle tante, femme dominatrice perverse et je me mis à genoux devant elle et embrassai ses jolis talons.
  • Tu vois Marjorie ? Je n’ai rien dit, il sait ce qu’il est: rien du tout à nos yeux. Alors fais ce que tu veux de lui, il t’obéira.
  •  il m’obéira pour tout ?? S’exclama Marjorie.
  • Absolument pour tout!
Le visage de Marjorie n’a jamais eu autant un grand sourire de la soirée que celui-ci. Pleine de timidité, car pour elle c’était une première, elle se dressa vers moi, ne sachant pas trop faire quoi, et me demanda de baiser ses chaussures jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter, ce que je dis donc. Me voilà maintenant à genoux à baiser les pieds d’une quinquagénaire…
« Regardez les filles ! J’ai un joli jeune homme qui est en train de me baiser les pieds à genoux ! Promis je vous le passerai dans la soirée ! »
Les invitées ricanèrent et étaient toutes émoustillées alors que mon calvaire venait de commencer.

Seul, attaché avec l’amie de ma belle tante, dominatrice perverse…

Elle me prit par le cou sans trop de poigne de peur de me faire mal et m’ordonna de la suivre dans sa chambre, pendant que ses amies et ma belle tante Sophie continuèrent leur soirée. Avant de partir, Sophie dit à Marjorie
  • Tu ne peux même pas imaginer ce qu’il a enduré jusque là! Tu peux absolument faire ce que tu veux de lui et plus encore, ne te retiens surtout pas!
Je réussissais à voir Marjorie trembler de bonheur alors que j’allais passer à la casserole.
Nous arrivâmes dans sa chambre, très grande. J’étais debout à côté d’elle. Elle sortit de sa commode une paire de collants et m’attacha les chevilles et les poignets derrière le dos. J’arrivais, à peine, à tenir debout. En effet, je n’avais pas d’équilibre, tellement mes jambes étaient collées. Je ne pouvais pas bouger sous peine de tomber par terre.
Avec un grand sourire, Marjorie leva la jambe et posa son talon sur mon ventre et me poussa en arrière d’un coup. Allongé sur le dos, je ne pouvais même pas me relever. Elle se dirigea vers moi, toujours timidement car elle cherchait ses repères. Ensuite, elle posa sa chaussure sur ma gorge en appuyant faiblement de temps en temps puis elle ouvrit ma bouche avec son talon, que je suçais.
Cette situation faisait déjà monter l’excitation de Marjorie. Elle enleva donc sa culotte et me l’a mit dans ma bouche. Elle déballa mon paquet et commença à me sucer langoureusement à travers ma cage. Malheureusement pour moi c’était très désagréable…

…la deuxième partie de soirée ne fait que commencer!

Elle se redressa, me regarda et me dit:
  • J’ai peur de te faire mal…
  •  il ne faut pas Madame, ne vous retenez surtout pas car sinon Sophie me le fera regretter amèrement, lui dis-je.
Un grand sourire sortit de sa bouche. Elle commença par m’embrasser puis dirigea sa vulve vers ma tête. J’étais à quelques centimètres en dessous de son sexe, j’arrivais à sentir son odeur très alléchante. Mais au dernier moment, elle se retourna pour m’offrir en échange son anus qu’elle ne mit pas longtemps à abaisser sur ma bouche pour que je commence à lui lécher.
  • Ah mon petit Kevin, j’ai le sentiment d’être à mon apogée ! Il n’y a rien de mieux que de se faire lécher son arrière train par un petit jeunot !
A l’inverse pour moi, il n’y avait rien d’autre de plus humiliant que de lécher le cul d’une quinquagénaire. En revanche, cette femme dégageait tout de même quelque chose que les filles de mon âge n’avait pas pas. Certainement l’assurance, l’expérience. Je n’avais en aucun cas un sentiment de dégoût, bien au contraire. En revanche celui de l’humiliation était bien là.
Elle prit beaucoup de plaisir au point où elle m’étouffa avec ses fesses. Au moment de se relever, Marjorie venait de comprendre tout la puissance qu’elle avait sur moi, me voyant en train de reprendre mon souffle, j’étais encore tout barbouillé de son jus. J’ai compris à ce moment là que la soirée ne faisait que de commencer…
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