Alors que Marjorie prenait beaucoup de plaisir au point où elle m’étouffa avec ses fesses, elle se releva. Cette dominatrice SM venait de comprendre tout la puissance qu’elle avait sur moi, en me voyant en train de reprendre mon souffle. J’étais encore tout barbouillé de son jus. Je compris à ce moment là que la soirée ne faisait que de commencer…
- J’adore te voir gigoter sous moi. Tu es à ma merci, petit esclave ! Je ne remercierai jamais assez Sophie pour m’avoir prêté ce mâle. Ainsi, je vais pouvoir y aller de toutes mes forces comme dans mes plus gros fantasmes !
Qui n’aurait pas eu peur à ma place en entendant de telles paroles… ?
Elle me prit par le cou, me releva face à elle et me mît un coup tellement fort dans mes bijoux de familles que je tombai à genoux, d’un seul coup ! Alors que je tremblais de douleur, j’entendis Marjorie rire de sa victoire.
« Oh non, j’ai a faire à une dominatrice SM… » répétais-je en boucle dans ma tête. Il était si loin le temps où j’ai connu Marjorie toute timide et réservée. En fait non, elle était réservée il y a encore même pas une heure ! Comment fait-elle pour changer aussi vite de personnalité. Cela fait froid dans le dos.
Une dominatrice SM en furie!
Alors que j’étais à genoux, elle colla mon visage à son sexe et me le frotta fortement, puis elle me repoussa et me mît un coup de pied qui me fit tomber par terre ! Jamais, je n’aurai pensé que cette femme venait d’avoir 50 ans.
- J’ai envie de te détruire et de prendre mon pied sur ton corps sans vie mon petit esclave chéri !
Alors bien sûr, je me doutais qu’elle n’allait pas me tuer pour des problèmes juridiques etc… Cependant, vous auriez dû voir sa tête, alors que j’étais allongé sur le dos. Elle me fixait de haut comme un bout de viande, mais pour autant je ne pouvais pas imaginer qu’une si belle femme pouvait me faire aussi peur !
Elle commença à m’étrangler en posant son talon aiguille sur ma gorge. Je pensai qu’elle allait transpercer ma peau avec ! Elle le retira enfin, mais enchaîna tout de suite avec une prise en ciseaux qui me laissait à peine le temps de respirer. Je me retrouvai la tête entre ses cuisses qu’elle serrait et desserrait en se jouant de moi. Ma langue commença à sortir de ma bouche naturellement du fait que je commençai à suffoquer. Elle eut donc l’idée de l’utiliser pour son plaisir personnel. Son envie commençait à monter, je l’entendais gémir de plus en plus fort et mes yeux se fermaient de plus en plus aussi jusqu’à ce que je « m’endormis ».
A genoux aux pieds de Marjorie
Bien sûr, je ne suis pas mort, mais je me suis évanoui. Enfin, je me réveillai au bout d’une bonne heure. Il n’y avait plus personne dans la pièce. J’en profitai, donc, pour partir très vite de la chambre. Comme j’arrivai, en courant dans le salon, je constatai avec stupéfaction que Sophie, Marjorie et ses amies étaient assises autour d’une table, entrain de discuter entre elles.
- Ahhh mon petit escort boy s’est réveillé, vient donc te joindre à nous !, s’exclama Marjorie
Je les rejoignis, donc, autour de la table encore un peu apeuré de ce qui venait de se passer.
- Non ! Ta place est à genoux à mes pieds maintenant!, me dit Marjorie
- Vous voyez les filles, ce jeune homme d’une vingtaine d’années n’a pas pu suivre la cadence et s’est retrouvé épuisé avant même que mon petit jeu ne démarre! Mais ne t’en fais pas mon petit, quand tu t’es assoupi, j’ai quand même continué à prendre mon pied jusqu’à l’orgasme si tu veux tout savoir. Quand je me suis relevé, le fait de te voir à l’agonie m’a fait jouir comme une femme fontaine, c’est donc pour ça que tu es trempé d’ailleurs ! Après cela j’ai tourné les talons et t’ai laissé dans la chambre récupérer pendant que je buvais un verre avec mes copines.
La cage de chasteté, meilleure amie de la femme
Tout le monde riait y compris Sophie. Je restai, ensuite, pas mal de temps aux genoux de chaque femme autour de la table pour leur montrer à quoi servait un homme soumis, pour peut être les convaincre de « changer de bord » comme dirait Sophie. Je dûs nettoyer leurs chaussures avec ma langue, ou faire un massage des pieds à certaines ou les lécher.
Tout dépendait de leur envie. L’une d’elle, un peu plus jeune, Ines, adora ce que je lui fis. Aussi, elle demanda conseil à Sophie pour que son conjoint devienne un gentil homme soumis. Sophie lui répondît qu’il fallait garder son homme en constante envie d’elle pour qu’il fasse absolument ce qu’elle voulait. L’ideal était donc de le frustrer et pour cela, la cage de chasteté était la meilleure amie de la femme. Il fallait faire passer cela pour un jeu et au bout de quelques jours, les résultats étaient prometteurs. Ensuite, le but était d’espacer chaque rapport sexuel au maximum. En revanche, si Inès avait envie d’une petite gâterie, elle en aurait bien sûr le droit.
Après ces explications, Inès se leva de table, toute excitée, et partit de la soirée pour commencer ce nouveau mode de vie (et aussi parce qu’il commençait à faire tard).
Et comme dans toutes les soirées, une fois qu’une personne part, le reste suit. Nous sommes donc partis avec Maitresse Sophie en plein milieu de la nuit. Une fois rentrés chez elle, je dus déshabiller, cette dominatrice SM, avec beaucoup de délicatesse, dans la salle de bain. Celle-ci me félicita pour la soirée passée.
- Tu t’es vraiment dépassé aujourd’hui, c’est bien mon esclave. Demain sera la dernière journée de ton stage. Une grande épreuve t’attendra, en attendant lèche moi mon entre jambe, rafraîchis le moi, il en a besoin.
Retour à la maison de Sophie, dominatrice SM
Je m’apprêtai à lui lécher son clitoris quand elle me stoppa avec son pied.
- Non, non. Je veux de l’autre côté!, me dit-elle d’une voix sensuelle.
Je pris alors de mes deux mains ses deux fesses et les écartai au maximum pour lui lécher son joli trou en faisant des petits ronds tout autour ce qui la fit frémir de plaisir.
Elle prit alors la première chose qu’elle trouva sous la main pour se frotter le clitoris avec et bien sûr, cela devait être ma brosse à dent. Après ce petit jeu très sympa, je dûs vêtir, Maitresse Sophie, avec sa petite nuisette.
Elle me regarda droit dans les yeux et m’ordonna de dormir avec elle dans le lit ce soit pour la dernière nuit.
- Je veux que tu me baises fortement, je veux que tu le fasses mal. Ainsi, je veux jouir sous tes coups de bites. Je te veux en moi !
Ces paroles m’auraient sans doute donné une trique d’enfer mais la cage de chasteté que je portais m’en empêcher et me faisait d’ailleurs terriblement mal.
J’étais excité comme une puce. J’attendais que Sophie termine de se préparer pour aller dormir pour m’occuper de moi aussi: me changer, me laver les dents avec la brosse à dent qui a servi à Maitresse Sophie pour son plaisir etc…
Je me préparais aussi psychologiquement à l’épreuve à laquelle je devais faire face dans quelques minutes. En effet, cela faisait des semaines que je n’avais pas fait l’amour. J’avais été formé ces derniers jours à ne plus en avoir le droit.
Après m’être préparé à aller au lit, je retrouvai ma formatrice allongée prête à tout encaisser.
Gode-ceinture, plutôt que mon « petit moineau encagé »
Puis douche froide, elle me tendit un gode-ceinture.
- Tiens mon petit esclave, met le autour de ta taille! Cela me fera certainement plus jouir que ton petit moineau encagé!
Cette épreuve était vraiment dure à encaisser. Mais je devais faire honneur à ma Maitresse et je devais lui donner le plaisir qu’elle me réclamait. Je la pris donc dans tous les sens et surtout en levrette pour qu’elle sente au mieux les coups de bassin que je lui mettais. Cette partie de jambes en l’air dura une bonne demi heure. C’était long, très long, mais comme je ne pouvais pas lâcher, ça aurait pu encore durer longtemps.
Elle détacha ensuite le gode-ceinture pour me l’attacher à mon visage. Elle me regarda tendrement et commença à sucer le gode qui se situait entre mes deux yeux langoureusement. C’était tellement excitant. Elle termina la soirée en chevauchant mon visage d’une énergie remarquable. La sueur de son plaisir et de son cul dégoulinait sur mon visage proche de ma bouche. Sophie le sentit et elle m’ordonna d’avaler ce jus entre deux râles de plaisir. C’était exquis.
À la fin de nos ébats, elle me retira le gode et m’embrassa tendrement pour finir dans mes bras et dormir…
Dormir ? Oui j’en aurais bien besoin pour demain !
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