Premiers tests avec une Maîtresse Dominatrice (3)

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Suite de Premiers tests avec une Maîtresse Dominatrice (2)

La soirée où j’ai appris ce que « service » voulait dire…

La soirée était déjà bien avancée lorsque Madame Eva s’intéressa à nouveau à moi. J’avais passé à peu près deux heures les bras complètement entravés dans mon dos. Certainement un peu plus, j’avais passé mon temps à me lever et m’asseoir dans cette arrière-cuisine. En fait, j’étais incapable de quoi que ce soit, de plus en plus envahi par la certitude qu’autonomie et liberté de choix feraient désormais partie d’un passé définitivement révolu pour moi. Je me sentais à la veille d’une expérience aussi exceptionnelle qu’intense, et m’en sentais complètement électrisé.

Alors que j’étais complètement pris dans cet enthousiasme impuissant, je sentis trois coups brefs dans mon fondement. Madame Eva avait besoin de moi !

Elle me fit face et murmura que Maîtresse Julie voulait présenter sa nouvelle acquisition aux convives. Elle m’affubla d’un masque opaque, car je n’étais pas encore digne de voir qui étaient les être supérieurs qui allaient me découvrir. Ensuite, elle saisit la laisse qui pendait à mon collier de manière à ce que je doive avancer légèrement incliné. Je n’eus aucune peine à la suivre. Maintenant, j’étais, suffisamment, habitué aux talons hauts pour marcher sans hésitation. Nous fumes, en quelques pas ,dans un salon où avaient pris place les convives, après leur repas.

 

Mis à la disposition des convives de ma Maîtresse Dominatrice!

Maîtresse Dominatrice

J’entendis des commentaires plutôt flatteurs sur l’apparence que madame Eva m’avait donnée, émis par quelques voix. Maîtresse Julie expliqua brièvement les premiers tests que j’avais subi pendant l’après-midi, et je fus heureux d’entendre que cela lui avait donné l’espoir de pouvoir faire quelque chose de moi. Elle voulait permettre à ses invités de se faire une opinion et de proposer quelques pistes pour une utilisation optimale de son acquisition. Ce que je lui avais confié sur mes désirs de soumission, sur ma nature fétichiste et mon attrait pour la souffrance la laissait penser que je pourrais devenir un accessoire performant pour son propre usage, mais aussi pour l’amusement de ses amies et amis.

Je ne pus m’empêcher de rougir, ce qui amusa les convives. Ma Maîtresse Dominatrice leur donna l’autorisation de toucher, de manipuler son jouet! Une femme dont la voix assez grave me fit penser qu’elle devait être plutôt expérimentée prit la parole pour remercier ma Maîtresse. Ensuite, elle complimenta Madame Eva sur le goût avec lequel elle m’avait préparé. Cependant, elle ajouta que même si les vêtements étaient séduisants et les contraintes des bras plutôt seyantes, il était difficile de se faire une idée du potentiel d’un esclave s’il était habillé.

J’entendis Maîtresse Julie donner l’autorisation à ses invités de m’apprêter comme ils le désiraient. Je me sentis sombrer dans un espace dans lequel seul l’abandon le plus total avait place. Ensuite, j’entendis des bruits de pas puis je sentis des mains me toucher, me faire me tourner, me pencher. Les liens qui immobilisaient mes bras furent relâchés, mon corset de contention ôté, ainsi que mes habits, jusqu’à me retrouver entièrement nu… à l’exception du masque, du collier et de la laisse !

Touché, pincé et frappé par les convives!

Jusqu’à, à peine quelques heures plus tôt, je n’aurais jamais imaginé ce qui allait se passer, ensuite, et que j’allais vivre la chose la plus humiliante qu’un homme puisse vivre. Je fus touché, pincé et frappé. Mes parties génitales furent soupesées, tirées, elles aussi frappées. Mes fesses furent écartées, mon anus reçut la visite d’objets que je ne pus toujours identifier. Je fus placé dans toutes les position imaginables.

Mon sexe, régulièrement mis en érection, retombait sous les coups. Je dus lécher tout ce qu’un esclave pouvait être amené à lécher et tout cela en mode « test « . En effet, il s’agissait, juste, de voir ce que je pouvais faire et jusqu’où je pouvais aller. Le but n’était pas de donner du plaisir. Les convives de Maîtresse Julie savaient se tenir! Ils ne voulaient que tester un nouvel accessoire. Seule la voix masculine demanda s’il était possible de m’emmener à l’écart, ce que Maîtresse Julie refusa.

Je pris cela pour de la bonté à mon égard, ou au moins de la compassion pour mon inexpérience. Elle l’autorisa juste à tester ma chatte. Quelle ne fut pas ma surprise de sentir le poids d’une jupe en cuir serrée écraser ma face, avant de se soulever et me faire lécher un postérieur dont les rondeurs étaient délicieusement féminines. Une main fit lestement se baisser la culotte et ma bouche immédiatement, brutalement, envahie d’un sexe mâle de bonne taille si j’en crois la sensation de nausée qui m’envahit. La Dame était transgenre ou travestie. Honte à son comble, je ne pus m’empêcher l’envie de faire saillir l’organe et me mit à aspirer, lécher avec la plus grande énergie. D’un rire, ma  Maîtresse Dominatrice interrompit la séquence en ordonnant à la Dame de se retirer.

Enfin, repos mérité dans une cage aménagée

Cet interminable moment dura probablement deux heures. J’étais étonné de ne pas ressentir de la honte. En fait, j’étais très concentré pour bien faire ce que l’on me demandait et pour supporter la douleur. J’essayais de faire le bon mouvement, de donner le coup de langue qu’il fallait pour faire réagir la personne dominante qui m’utilisait. Je ne me sentais pas dégradé. Ainsi, j’étais en position d’exprimer mon potentiel, grâce à cette curieuse et inattendue expérience.

Lorsque Maîtresse Julie annonça la fin du jeu, Madame Eva me conduisit dans une cage aménagée dans un coin du salon. La dimension m’obligeait à me tenir allongé, un peu recroquevillé sur un matelas relativement dur, mais suffisamment accueillant pour que je puisse m’y reposer. Elle me souffla à l’oreille que j’avais montré une bonne aptitude au service, même s’il y avait encore beaucoup de travail en perspective. Aussi, pour l’instant, je pouvais me reposer là jusqu’au lendemain.

J’étais épuisé, et je compris que je devrais m’endormir ici, à la vue de ma Maîtresse et de ses convives, sans aucune intimité. Tout ce qui était mâle en moi s’estompait… J’était devenu une chose. Ainsi, j’avais tenté de faire jouir un sexe d’homme et j’avais été avide de sentir le parfum de l’intimité des plusieurs Dames. A partir de maintenant, je serai chien, fille, pute, mâle castré, objet, qu’importe. Il ne me restait qu’un sentiment d’abandon sublime dans lequel je sombrais sans souci de pudeur en m’endormant.

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