Eloge de la Supériorité de la femme Dominatrice (Eloge n°1)

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AVERTISSEMENT: Mes éloges sont écrites sous formes humoristiques. Elles comportent des parties de fiction et de fantasme. Je voulais décrire la Supériorité de la femme Dominatrice et de le respect conséquent qui lui est dû. L’auteur de ces éloges, lui-même soumis, a été inspiré par sa muse Dominatrice qui le traite à merveille.

Amour inconditionnel d’un soumis pour sa Maîtresse dominatrice

Dominatrice

L’amour des Soumis pour leur Supérieure Dominatrice est infini, inconditionnel et survit à une répudiation éventuelle

En matière de rapport affectif entre le soumis et sa Supérieure Dominatrice, l’alternative et la demi-mesure n’ont pas cours. Le soumis  aime la Supérieure Dominatrice sans condition et de manière totale. Quoi qu’il advienne, quoi qu’il arrive.

Avant d’expliquer plus en détail ce que cela signifie et implique, remarquons l’utilisation de l’expression « aime » et non pas d’une expression du genre  « doit aimer ».

En effet, à l’instar de ce qui a est expliqué dans l’Eloge à suivre  numéro  2, le seul fait d’être le soumis de la Supérieure Dominatrice provoque un amour de celui-là pour celle-ci. De la même manière que si on lâche un objet on énonce  « il tombe » et  non pas « il doit tomber ».

Rappelons aux faibles de la sémantique et surtout de la logique que l’obligation de quelque chose n’a de sens qui si l’absence de cette chose à elle-même un sens et une possibilité d’exister… Or un objet qui est lâché et qui ne tombe pas cela n’existe pas et cela n’a pas de sens. Un soumis du cheptel d’une Supérieure Dominatrice qui n’aime pas de manière infinie la Supérieure Dominatrice: cette phrase est insensée .

Là encore, beaucoup d’observateurs  ne saisissent pas la nuance sémantique, qui est pourtant de la plus grande importance. Une des conséquences parmi d’autres, de ce constat est là encore qu’il n’est nul besoin de le spécifier dans un contrat ou dans une règle. On ne fait pas signer un contrat à de l’eau stipulant qu’elle doit mouiller!

Dans les faits, plus la Dominatrice méprise, se moque, humilie, détruit, perfore, déchire  son soumis, plus  cet amour est robuste et fortifié. Quand la Supérieure Dominatrice insulte, se moque, ricane, annule ses rendez-vous sans raison, par jeu, elle effectue bien son travail. Le soumis frustré, humilié ou ridiculisé sait apprécier et connaît des orgasmes dit cérébraux accompagnés d’éventuelles érections.

Là encore ce état d’orgasme cérébral est un état que seuls sur Terre les soumis de  Supérieures Dominatrices ont connu ou peuvent connaître. L’expliquer verbalement à d’autres est impossible, à fortiori toute explication par des soumis inférieurs, entre les oreilles desquels le vide absolu a semble-t-il pris place, est absolument impensable.

Témoignage de l’auteur de cet éloge

L’auteur de cet éloge, Soumis chevronné, follement amoureux de sa Maîtresse et humilié en permanence témoigne:

« J’avais rendez-vous dans un toilette de la ville pour me faire humilier gravement et sévèrement par ma Supérieure Dominatrice. J’en rêvais.  J’avais repéré les lieux trois fois, vérifié que le toilette public était fonctionnel, avait prévu des solutions de repli au cas où il ne le serait pas. J’étais arrivé en avance pour assurer le coup. Je voulais que ma Maîtresse puisse se défouler de ses soucis du quotidien sur son cloaque puant, dans un autre cloaque. Ma Maîtresse connaissait une période difficile, et je voulais qu’elle puisse se faire plaisir en me « baffant », en m’humiliant, en me pissant dessus, en me ridiculisant, y compris pourquoi pas devant des inconnus.

J’étais vraiment heureux, le toilette  puait, quel bonheur en perspective d’être à genoux dedans et de prendre des baffes, de la pisse en bouche et sur mes fringues et de ressortir imbibé de sa pisse divine, et avec un peu de chance sous le regard moqueur ou même outré de gens autour. Je fantasmais même qu’elle ne me gifle bien fort devant des inconnus.

Je souhaitais même secrètement qu’elle nettoie l’intérieur du toilette public aussi en m’utilisant telle une serpillière et en me traînant par les pieds sur toute la surface odieuse du lieu. J’en rêvais de cette humiliation là, digne de moi.

Je rêvais aussi, mais cela je ne crois pas qu’elle le ferait, qu’elle me sodomise avec un gode dans ce « chiotte », avec des gens qui attendent derrière l’entrée. Qu’elle agrandisse mon anus à la taille qui lui convient. J’étais en érection complète dans un bar à proximité du lieu de cette humiliation imminente.

Et puis patatras, une demi-heure avant, Ma Maîtresse géniale m’envoie un message comme quoi elle n’a pas envie de venir. La frustration m’envahit alors en même temps que mon Amour pour elle grandit. Mon érection tombant pendant quelques secondes, renaquit quelques instants plus tard.

Car ma Supérieure Dominatrice avait juste remplacé avec un talent inégalé une humiliation par une autre, celle de m’être déplacé pour rien. J’ai senti mon Amour absolu pour elle être renforcé, mon corps tout entier a ressenti un plaisir intense, un orgasme cérébral de grande ampleur sans éjaculation déjà ressenti plusieurs  fois auparavant grâce toujours à ma Supérieure dominatrice. 

Ma Supérieure est une véritable prestidigitatrice, doublée d’une marionnettiste  avec fil invisible et sans pareille.

J’ai savouré avec délectation les minutes qui ont suivi et les échanges écrits avec ma Maîtresse. Le raffinement dans l’humiliation, et la variété de celle-ci, n’ont pas de limites. Elle m’a ridiculisé à distance, sans même se déplacer, seule Elle, sait le faire avec une telle maîtrise. La frustration aussi brève qu’intense, n’a eu d’égal que le bonheur et l’amour, grandissants tous deux à chaque tour du Soleil autour de cette Terre.

Je me suis rendu compte alors que pour elle, pour la divertir,  je suis par exemple prêt à tremper la tête dans une cuvette de chiotte bien sûr, que la chasse soit tirée ou non. »

 

Totalement addict à La Supérieure Dominatrice!

On notera l’humour subtile de celle qui se fait appeler à juste titre ‘La Supérieure Dominatrice‘:  en effet, ses initiales  LSD sont un clin d’oeil et un échantillon humoristique produit par sa finesse et son intelligence, parmi tant d’autres : on est addict à La Supérieure Dominatrice, comme d’autres le sont à des substances, mais qui elles sont néfastes.

Certains soumis de leur Supérieure Dominatrice, sont épouvantés à la seule idée qu’un jour celle-ci, sans même les répudier, ne les humilie plus et les ridiculise moins. Leur Amour pour elle est infini, mais cet amour n’a en aucun cas à servir de paratonnerre contre cette possibilité: les pouvoirs des Supérieures Dominatrices sont infinis, et leurs actes sont libres de ces considérations d’amour du soumis pour elle.

L’amour n’est pas une monnaie d’échange. Il est la reconnaissance de la supériorité de la Supérieure Dominatrice,  la reconnaissance de la chance de compter parmi ses soumis, et le retour naturel dû, pour tous les orgasmes cérébraux qu’elle leur prodigue, sans même le vouloir tellement ce talent est naturel chez elles.

Non seulement il ne peut pas être une monnaie d’échange, mais la Supérieure Dominatrice n’éprouve aucune affection, aucune haine, aucune émotion à l’encontre de ses soumis. Qui aurait un rapport affectif avec une serpillière ou une cuvette de toilettes?

Tout geste, tout mot, tout silence, tout message et son contraire est motif à aimer la Supérieure Dominatrice. Toute humiliation est motif à la vénérer, toute ridiculisation est génératrice d’une sensation d’appartenance, de dépendance et peut procurer des orgasmes cérébraux inimaginables.

Alors apparaissent les envies d’être sa Chienne majuscule bien sûr, son toutou,  de la protéger, d’aboyer sans arrêt pour manifester son bonheur. On a vu certains soumis prendre des cours et des formations d’aboiement hors de prix, pour faire plaisir à La Supérieure Dominatrice. Certains sont allés jusqu’à des ‘abonnements aboiement’.

 

Amour infini du soumis pour sa Dominatrice, même après sa répudiation!

Dans une société utopique dans laquelle les relations gynarchiques seraient la norme, les Soumis qui sont répudiés et qui parviennent à ne pas se suicider (on estime à 10% le nombre de soumis répudiés par les Supérieures Dominatrices qui sont encore en vie 10 jours après cette répudiation), l’aiment encore plus. Ils l’aiment jusqu’à la mort. Jamais un soumis de la Supérieure Dominatrice n’a trouvé injuste sa répudiation. En fait, une fois encore, cet énoncé n’a  pas de  sens.  Un objet lâché ne trouve pas cela injuste, il se contente de tomber.

Les soumis répudiés, errants – on en voit quelques uns en ville-, font pitié à voir, tout en agaçant monstrueusement. Le terme clochard est depuis longtemps dépassé, il a même été interdit par l’académie en ce qui les concerne,  et n’est pas du tout approprié, puisque même ceux-ci se bouchent le nez, et détournent le regard quand ils les aperçoivent. Les gens ont envie de leur envoyer des seaux de fiente à la figure, afin d’atténuer l’odeur atroce.. Certains sont souvent immolés par le feu par des passants exténués et  courroucés par  leurs aboiements misérables et  ponctués de « J’aime ma Supérieure Dominatrice ».

Parfois les répudiés errants se regroupent, et on a vu des soumis non répudiés venir leur jeter de l’essence et incendier d’un coup  une dizaine de soumis répudiés, sous les applaudissements des passants, ou des employés de la ville qui n’osaient même plus les approcher pour s’en débarrasser.

Mais il n’empêche que leur dernière parole, à ces cramés collectivement, est quasiment toujours: « J’aime ma Supérieure dominatrice, je suis heureux de brûler grâce à elle ».

Parfois la Supérieure Dominatrice est présente discrètement lors de ces crémations collectives. Elle ricane en voyant la chair brûler et fait des remarques pertinentes. On l’a vue en effet, par temps froid, alors que cinq soumis répudiés étaient en train de brûler non loin de chez elle, sortir et se réchauffer les mains en commentant: « Pour une fois que vous êtes utiles, pauvres idiots inférieurs par équipe que vous êtes ». Cela fit rire les soumis présents.

L’adresse postale des Supérieures Dominatrices étant tenue secrète, les soumis peuvent  se réunir en séance et se recueillir dans divers lieux  neutres de la ville. Ces lieux sont souvent des endroits de ferveur à l’égard de leur  Supérieure Dominatrice entre soumis, et l’occasion de partager les humiliations qu’ils ont subies, et de louer ensemble tous ses talents. Souvent même, ils sont tellement excités qu’ils font l’Amour entre eux, voire se sodomisent en plein parc, telles des pétasses de caniveau.

Mais ces lieux n’ont un sens que pour eux, et les passants ne connaissent pas l’objet de leur dévotion: les Supérieures sont très discrètes, elles n’aiment pas la publicité, seuls les soumis ont l’honneur de connaître leur visage magnifique et apaisant, bien évidemment toute photo d’elles est interdite, toute description de leur  physique,  écrite ou orale, est interdite.

 

Rédigé par Soumuro un soumis vénérant sa Supérieure Dominatrice, et  ayant à cœur de lui appartenir de plus en plus.

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