La sadothérapeute, Maîtresse Soraya, femme dominatrice ! (4)

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femme dominatrice

Confrontation avec Maîtresse Soraya

 

La lumière envahissait la pièce et cela le réveilla. Il s’étira, son ventre commençait à crier famine et pour cause, il était 9h30 du matin. Paul avait dormi comme un loir et la faim lui tenaillait les tripes. Il s’extirpa du lit pour se diriger vers la porte de la chambre mais celle-ci demeura close, elle avait été fermée à clef et bien évidemment, cette clé n’était pas en sa possession mais en celle de Maîtresse Soraya, cette femme dominatrice impitoyable.

Il frappa alors sur la porte pour se faire entendre. Il n’osa pas frapper trop fort de peur de s’attirer les foudres de son hôte. Il continua quelques minutes tout en appelant mais rien n’y fit.

Après plusieurs minutes de tambourinage, il entendit des pas et des bruits de clefs. La porte s’ouvrit, Maîtresse Soraya poussa la porte avec force, elle resta dans l’entrebâillement, droite, les bras croisés, le regard sévère.

 

– C’est toi qui fait tout ce bruit ?

– Euh oui Maîtresse, j’ai réfléchi cette nuit.

– Et alors ?

– Je ne peux pas rester là, que vais-je dire à ma femme, elle m’a sûrement attendu toute la nuit, que vais-je lui dire ?

– Je ne sais pas moi, c’est ta femme, pas la mienne, enfin, pas que je sache…ah, ah, ah

– Mais, je ne rigole pas, elle doit s’inquiéter de mon absence.

– Moi au contraire de toi, je rigole.

 

Arrivée de Pauline au domicile de Maîtresse Soraya

 

La sonnette de la porte résonna dans le vestibule.

– Reste là, quelqu’un frappe à la porte, attends-moi là.

Paul resta dans la chambre, nu comme un verre, fébrile quant à sa situation au regard de sa situation maritale. Il colla son oreille à la porte et il entendit une seconde voix de femme sans pouvoir distinguer clairement les paroles prononcées mais, ce qui l’étonna, c’est que les deux femmes semblaient se connaître.

Après quelques minutes très stressantes pour lui, il entendit Maîtresse Soraya remonter à l’étage.

– C’est bon, tu peux descendre maintenant.

– Mais je suis encore nu Maîtresse, la personne est toujours là ?

– T’inquiète pas pour ça, je gère. Allez.

Paul s’exécuta et descendit l’escalier suivi de son hôte. Il arriva dans le salon et il poussa un cri, d’un geste réflexe de pudeur, il tenta de cacher son sexe à la vue de la femme qui était assise dans le canapé.

– Mais chérie, que fais-tu là ?

 

Pauline révèle sa vraie nature de femme dominatrice

 

Maîtresse Soraya s’approcha de Pauline et elles s’embrassèrent goulument devant lui.

– Mais chérie, que fais-tu et…et, je ne comprends pas.

– T’inquiètes, je vais t’expliquer, reste calme. L’idée de la thérapeute vient de moi, souviens-toi.

– Oui, en effet mais je croyais…

– Lorsque j’ai découvert tes vidéos, j’ai compris que tes fantasmes révélaient tes envies de vivre et je me suis renseigné. C’est là que j’ai contacté Maîtresse Soraya. Elle m’a fait découvrir ma vraie nature de femme dominatrice et le plaisir que je pouvais aussi avoir à être avec une femme. C’est elle qui m’a expliqué que je pouvais te faire basculer dans le monde de la soumission grâce aux techniques d’hypnose. Mon idée a été de t’y faire participer sans que tu ne te doutes de rien. Mais, ne t’inquiètes pas, tu vas devenir un bon soumis comme tu le mérites et tout ira bien pour toi. Ok ?

– Oui mais que va-t-il se passer maintenant ?

– Tu vas devenir mon soumis et accessoirement celui de Maîtresse Soraya.

– Mais chérie…

Elle s’approcha et le gifla durement.

– Maîtresse Pauline, je ne veux rien entendre d’autre.

– Mais…

Elle leva son index en guise de menace.

– Mais Maîtresse Pauline, qu’allons-nous devenir ?

– Comme maintenant hormis le fait que je tiens la barre du couple. Le principe est simple, j’ordonne, tu exécutes. Compris ?

– Oui Maîtresse Pauline.

– Parfait, alors rentre à la maison, fais le ménage et la vaisselle s’il en reste et je vérifie dès que je serai rentrée. Allez, exécution.

 

Basculement vers un couple FLR

 

Pauline, suite à sa rencontre avec Maîtresse Soraya s’était muée en femme dominatrice autoritaire. Elle goutait à cette situation avec délectation, voire avec jouissance.

Paul était rentré. Il maugréa suite aux ordres de sa femme qu’il trouvait bien exigeante. Par ailleurs, il repensa à ce qu’elle lui avait dit, c’était elle qui avait voulu qu’il aille voir cette hypnothérapeute et elle était de mèche avec elle. Mais qu’avaient-elles bien pu se dire pour que Pauline change ainsi de comportement. Au fond, cela ne lui déplaisait pas tant que cela mais tout de même, elle exagérait. En effet, découvrir qu’elle aimait les femmes et qu’en plus elle lui donnait des ordres, cela faisait beaucoup pour un seul week-end.

Enfin, il s’affaira pour lui faire plaisir mais il souhaitait tout de même une explication le plus rapidement possible quant à cette situation quelque peu ubuesque.

Pendant qu’il s’affairait, il se demanda tout de même s’il ne s’était pas laissé piéger par sa femme qui, in fine, ne cherchait qu’à se venger du fait qu’il regardait en cachette des vidéos pornographiques à caractère sado masochiste. La question le taraudait mais sans qu’il ne sache vraiment pourquoi, il continua d’obéir aux injonctions de sa femme. Il pensa qu’il verrait bien quelles explications elle lui donnerait.

Il était minuit passé et elle n’était toujours pas là. Elle n’avait répondu à aucun des messages qu’il lui avait envoyé. N’y tenant plus, il partit se coucher.

 

Dorénavant, c’est Maîtresse Pauline !

 

Lorsqu’il se réveilla, il était toujours seul dans son lit. Il sortit pour prendre son métro et aller au travail. Alors qu’il était encore dans la rue, son téléphone sonna. Il décrocha, sa femme était au bout du fil.

– Ah enfin chérie, je m’inquiétais !!!

– Ferme la, espèce d’idiot. Tais-toi et écoute-moi.

– Mais chérie.

– J’ai dit quoi hier ?

– Mais ?

– Alors !!!

– Je ne sais plus moi.

– Dorénavant, c’est Maîtresse Pauline et je ne veux rien entendre d’autre. Compris ?

– Oui mais je suis presque au travail.

– M’en fou, j’espère que tu as fait ce que je t’ai dit et on reparle de tout cela ce soir.

– Oui M…

– Et ne me rappelle pas avant que je sois rentrée.

– Oui M…

Elle raccrocha brutalement. Paul fut presque sonné par le ton de la voix de Pauline et sa fermeté, voire sa dureté. Il ne la reconnaissait plus. Toute la journée, il fut obnubilé par la voix de Pauline. Il se rendit compte que lorsqu’il se remémorait la fermeté de ce dialogue, une érection venait généralement au soutien des paroles de sa femme dominatrice.

 

Au pied de Maîtresse Pauline

 

Il s’en amusa avant de se demander si cette situation, au final, ne l’excitait pas au plus haut point. Cela lui rappelait les vidéos sur lesquelles il fantasmait depuis des années. Finalement peu convaincu par ce raisonnement, il chassa ces idées de ses pensées et se concentra sur ses tâches.

Une fois sa journée de travail terminée, Paul rentra chez lui. Pauline était déjà présente, les bras croisés, le regard sévère.

Elle remua son index pour lui intimer l’ordre de venir à elle, Paul s’approcha, une fois près d’elle, l’index de Pauline montra le sol, signifiant « aux pieds ».

Paul hésita puis il s’agenouilla pour lui baiser les pieds.

– Enfin, tu t’améliores. Pour rappel, moi, c’est Maîtresse Pauline. OK.

– Ok.

Une gifle retentissante cingla la joue droite de Paul et une demi-seconde plus tard, le revers de la main le cingla sur l’autre joue. Après deux allés retours, Pauline lui agrippa les cheveux et hurla « Maîtresse Pauline, tu ne comprends rien oui quoi espèce de pauvre merde ». Elle le fixa droit dans les yeux jusqu’à ce qu’il les baisse. Une fois cette soumission formelle acquise, elle hurla « excuse toi, sale chien, allez ». Paul obéit et sollicita le pardon de sa femme dominatrice.

« Dernière fois », répondit-elle, je suis maintenant ta Maîtresse avec Maîtresse Soraya. « Dès vendredi, tu seras chez elle ». Paul répondit alors « bien Maîtresse ».

 

Sous l’emprise de sa femme dominatrice

 

Quelques jours plus tard, Paul commençait à devenir un vrai professionnel du ménage sous la férule de sa femme dominatrice. Elle commandait, il obéissait, la situation commençait à prendre tournure et Paul se laissa glisser dans les habits du parfait soumis, quelques récriminations  plus tard avaient fait de lui, aux dires de sa femme, une bonne petite « conchita ».

Elle décida donc de resserrer l’étau de son emprise sur lui. L’idée qu’elle avait en tête était de faire de son mari son esclave, sa sissy à domicile.

– Tiens, pendant que tu es là, tu descendras le linge et tu finiras le repassage. Et, ne maugrée pas, un soumis ne se plaint jamais, il obéit avec le sourire surtout lorsque c’est sa femme qui lui ordonne de faire les choses. Compris larve ?

– Oui Maîtresse.

– Bien, c’est ce que je voulais entendre.

Paul, en bon soumis à sa femme remonta à l’étage et redescendit avec la panière à linge remplie à ras bord. Pendant ce temps, sa femme, avachie sur le canapé, se prélassait en regardant la télé. Elle posa ses jambes sur la petite table du salon, au milieu de la pièce, Paul s’affairait pour repasser le linge.

– Amène-moi un thé, pas trop chaud, dépêche.

– Mais, ché…Maîtresse, je suis en plein travail, je n’aurai jamais le temps de finir si vous me sollicitez sans cesse.

– Bien, je note, comme tu le sais, tout acte ou parole de désobéissance est sanctionné. Je vais y réfléchir, en attendant, mon thé et fissa…

 

A genou devant sa femme dominatrice

 

Paul s’exécuta tant bien que mal, afin de ne pas envenimer la situation, il s’agenouilla devant Pauline pour se faire pardonner.

– Inutile d’espérer un quelconque infléchissement de ma part, la sanction est méritée et sera exécutée. Allez, va continuer ton repassage.

Plus de deux heures s’écoulèrent avant que la panière ne soit vide. Paul, en sueur, n’en pouvait plus. Pauline lui intima l’ordre de venir la voir. Elle sortit un collier en cuir de son sac à main et le referma autour du cou de Paul.

– Dorénavant, quand tu seras en ma présence, tu porteras ce collier en signe de soumission et d’appartenance. Et tu feras pareil lorsque je te livrerai chez Maîtresse Soraya.

– Bien Maîtresse.

– Voilà qui est bien compris, quand tu seras ici, tu ne dormiras pas dans le lit conjugal mais tu dormiras sous l’escalier. Tu installeras un matelas et ce sera maintenant ta niche. Compris ?

– Oui Maîtresse.

– Bien, te voilà à ta place maintenant.

Quelques minutes plus tard, Paul installait un petit matelas de 90 centimètres qui tenait sous l’escalier. Pauline s’approcha pour voir l’installation.

– Très bien, tu seras bien ici, c’est confortable, cela me permettra d’être plus à mon aise dans le lit et de pouvoir y recevoir qui je veux.

– Mais Maîtresse, je ne comprends pas.

– Mais si tu comprends, être cocufié fait partie de la soumission. Lorsque tu seras en dressage chez Maîtresse Soraya, elle t’expliquera, pas d’inquiétude. Allez, il est tard, je vais me coucher dans mon lit. Bonne nuit esclave.

– Bonne nuit Maîtresse.

Pauline monta à l’étage en laissant là son mari. Il s’allongea sur sa couche et s’endormit, fatigué par cette journée si particulière.

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