Régression (2) : Esclave de ma femme dominatrice

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ma femme dominatriceJeudi 19H00 :

 

Je savais que ma femme dominatrice rentrait bientôt. A cette pensée, je ressentais à la fois de l’excitation et une sensation de peur. Ce sentiment à son égard était désormais quotidien.
Allait-elle venir avec des amies ? Qu’allais-je devoir faire pour satisfaire ma femme dominatrice? Aurais-je le courage de dire non ? Ces interrogations se bousculaient dans mon esprit jusqu’à ce que j’entendes le bruit de la poignée de la porte d’entrée et le son de différentes voix féminines. J’aurais voulu que ce moment soit interminable pour que je puisse prendre une décision rapidement.

Elles rentrèrent.

– Bonjour, dis-je en me levant.

– Voilà mon mari, dit-elle en s’adressant à ses amies.

– Bonjour, disent-elles simultanément.

A ce moment là, j’eus l’impression que notre relation n’avait pas encore été divulguée et que nous apparaissions comme un couple ordinaire.

– Elles vont diner ici, tu pourras faire le repas et mettre la table? Je vais leur faire visiter la maison.
– Oui bien sûr.

Ce fut une grave erreur d’appréciation !

L’une d’elle se rapprocha de moi, s’assit et d’un air infantilisant, commença :

– Alors c’est toi le mari de Mélanie ?

Cette phrase déclencha l’hilarité des filles qui discutaient entres elles derrière. Elles se tournèrent vers nous, attendant la réponse que j’allais donner.

– Oui, je suis Michel, le mari de Mélanie, enchanté, dis-je avec une fragile assurance.

– Elle nous a beaucoup parlé de toi !

De nouveau, les filles se mirent à rire et se rapprochèrent. L’une d’elles commença à se pencher vers moi et me dit :

– Tu es très galant et respectueux à ce qu’elle nous a dit.

Je ressentis de la moquerie et un sentiment de persécution.

– Ah c’est gentil, dis-je, d’un air stupide.

– Oui tu sais que nous n’avons pas cette chance. Nous avons un autre type de mari, pas comme toi. Tu inspires la jalousie, tu le sais ? : dit la première personne qui m’avait parlé.

A cet instant, je vis la soirée se dessiner et je ne la voyais pas vraiment à mon avantage.

Jeudi 20H00 :

Mélanie me prit à part et me dit :

– Va mettre ta tenue maintenant. Je l’ai déposée sur le lit, fais vite.

Je me dirigeais vers la chambre avec un sentiment de honte et de peur qui m’envahissait profondément. Je sentais l’humiliation arriver. L’évolution de son attitude à mon égard ne laissait plus de place à l’empathie.
En arrière, j’entendais ma Femme qui annonçait qu’une surprise aurait lieu dans les quelques minutes à venir. La musique retentit. Les bruits de verre commençaient à se mêler au brouhaha des multiples conversations. La soirée semblait conviviale du côté de ces Dames.

J’arrivai dans la chambre.
J’ouvris la porte, alluma et vit la tenue sur le lit. Il s’agissait d’une tenue de soubrette rouge et noire, en latex et tissu. Elle l’avait volontairement parfumée, d’un parfum féminin. Je n’avais plus tellement le choix.
Une fois la tenue revêtue, je partis au plus vite de la chambre pour ne pas croiser mon reflet sur le miroir.

J’entrais alors dans le salon comme un agneau rentrerait au milieu des loups, apeuré, ayant une prudence inutile et un recul trop tardif.

– Oh qu’elle est belle ta lopette! : dit l’une d’elle en riant.

– C’est ton habit de travail ? : dit l’une d’elle en manipulant sa coupe de champagne.

– Il a vite retrouvé un emploi alors, tu ne nous dis pas tout! : dit l’une d’elle en suscitant l’hilarité forcée de ces Dames.

– Oui, il sait se montrer polyvalent : dit ma femme en me rejoignant et me mettant lebras autour de la taille pour me rapprocher de mes prédatrices. J’avançais avec une attitude féminine que m’obligeait à avoir ce genre de tenue.

– Ce soir, les filles tout ce que vous voulez faire est possible. Il est à votre disponibilité : dit ma femme.

J’ai regardé une dernière fois, ma femme dominatrice, en implorant un minimum de pitié de sa part, un acte vain qui déclencha sa mesquinerie. Elle alla chercher son matériel de domination.

Une d’elles s’approcha de moi et me caressa les fesses en soutenant mon regard. Elle fit le tour de ma taille et me mit une gifle gratuitement.

– Ah ça commence : dit ma femme ayant été alerté par le bruit de la gifle alors qu’elle rassemblait le matériel qu’elle souhaitait faire expérimenter à ses amies.

La Dame qui m’avait giflé me pressa sur les épaules pour me mettre à genoux sous le regard excité des autres convives.

– Baise mes pieds : dit-elle dans le but d’amorcer classiquement la démarche de domination.

– Oui Madame : dis-je tout en baissant ma tête vers ses pieds et en commençant à embrasser ses escarpins.

– Humm, on a envie de l’écraser sous ses pieds ! : Dit-elle en ayant véritablement le sentiment de se retenir de passer à l’acte.

 

Jeudi 21H00 :

 

– Ohhh, un gode harnais ! : dit l’une d’elle en voyant ma Femme arriver avec tout un tas d’outils.

– C’est vraiment pour faire ce que je pense ? : dit une de ses amies assise à ses côtés.

– Oui je vous montrerai tout à l’heure : dit ma Femme d’un ton totalement usuel.

– Ah j’ai hâte ! : dit la convive surprise par le gode.

– Ca y est! Il est déjà sollicité! : dit ma Femme en s’adressant à la personne à qui je baisais les pieds.

– Oui j’ouvre les hostilités !

– C’est bien, mais il va servir les entrées, on va se mettre à table ! : dit ma Femme

– Et lui alors ? dit l’une d’elles

– Il va servir les plats, les retirer, et le reste du temps, il sera sous la table : rassura ma Femme à son amie inquiète de ne pas suffisamment s’amuser.

 

Je venais de servir les plats. Elles mangeaient et j’étais sous la table attendant qu’une d’elles me sollicite. A présent, j’avais des pieds sur le visage. Je ressentais des coups, puis soudain, une main m’attrapa et coinça ma tête entre ses cuisses. Elle souleva sa jupe, écarta légèrement le tissu de sa culotte et colla violemment ma bouche contre son vagin. Nul besoin de savoir quoi faire, je me mis à lécher comme je léchais quotidiennement ma Femme.

Pendant plus de deux heures, j’ai navigué de vagin en vagin jusqu’à que ma Femme ne m’ordonne de débarrasser la table.

Je sortis de dessous la table, elle me regardait en riant voyant mon visage maculé de cyprine, imprégné de l’odeur intime de chacune.

J’apportais la suite du repas et regagnais ma place sous l’impulsion énergique de ma Femme qui me jeta dessous la table.

A suivre….

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