MA PETITE AMIE DOMINATRICE (1) : je ne la reconnais pas !

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Début de la vie à deux avec Chloe

Ça y est enfin ! Je vais enfin réaliser l’un de mes rêves : emménager avec Chloé, ma petite amie depuis maintenant 3ans. Je m’appelle Samy, j’ai 28ans, 1m83 pour 80kg, brun aux yeux bleus, sportif et un minimum musclé. J’ai (au bonheur de Chloé) des fesses assez formées. Je travaille en tant que mécanicien automobile dans un petit garage familial pour voitures de luxes. Ce travail, comme vous pouvez l’imaginer, enchante énormément un passionné d’automobile comme moi.

Aujourd’hui, je quitte le cocon familial pour m’installer avec ma chère et tendre Chloé. Je suis, actuellement, sur la route pour aller la chercher chez ses parents. Je dois dire que ses parents ne m’apprécient pas énormément. Cela est compréhensible lorsque l’on sait que je suis pour son père l’homme qui lui vole sa petite fille chérie. De plus sa mère m’a rencontrée alors que je faisais le tour des bars avec mes amis. Ces derniers ont eu la riche idée de parler sur son dos alors qu’elle était dans ce même bar. Parler étant un doux euphémisme sachant que quelque peu alcoolisés, ils hurlaient à tout va dans le bar, pensants être discrets !

Ma petite amie sexy !

Mais bon rien ne pourrait m’enlever mon sourire à ce moment présent, enfin vivre avec Chloé pour de bon. Arrivant en face de chez elle, je la vois devant sa porte, prête avec ses valises à côté d’elle, grand sourire aux lèvres. Chloé, comme à son habitude, est superbe, mais aujourd’hui elle a particulièrement marqué ses courbes de par ses vêtements. Elle porte un pantalon en cuir noir très moulant démontrant la finesse de ses jambes et le rebondi de ses superbes fesses, ainsi qu’un haut noir lui aussi relativement moulant mais plutôt remarquable par son décolleté. Je pouvais en deviner sa poitrine sans soutien-gorge. Je vis alors ma belle brune de 25 ans aux yeux verts et au sourire d’ange plus belle que jamais. Chloé faisait 1m73 pour 65kg. Elle étudiait le droit.

Je me gare, et à peine sorti de la voiture, elle me saute au cou et m’embrasse de façon appuyée. Elle, qui est généralement assez réservée, on dirait bien qu’elle se lâche du fait que nous allions emménager ensemble. Je ne mesurais pas encore à quel point j’avais raison. Elle me regarde tout sourire et rentre dans la voiture sans dire un mot me laissant ses bagages à mettre dans le coffre. Je le fais sans discuter puis je remonte dans la voiture et découvre sur elle un visage sérieux, elle me dit alors :

-mon chéri… Tu risques de vite découvrir une part de moi que tu ne connais pas. J’en ai honte et je pourrais partir loin et…

Avant qu’elle ne termine, je me permets de lui couper la parole :

-quoique ce soit… Je suis prêt à y faire face !

Notre nouveau nid d’amour !

Son sourire montant à ses lèvres me fait tellement chaud au coeur.
La route se déroule comme d’habitude avec les discussions habituelles sur ses études, mon travail.
Nous arrivons devant notre nouvelle demeure. Il s’agit un petit logement étudiant de 4 pièces : un salon/salle à manger ; une chambre ; une cuisine ; une salle de bain avec une baignoire, une douche, mais aussi des toilettes. Il était déjà pré-meublé pour un bon prix. Seul petit soucis : nous sommes au 4e étage, sans ascenseur.

Après avoir monté et rangé toutes les affaires, il est déjà 22h et donc il est pour nous l’heure de se mettre aux fourneaux. On se met alors à cuisiner ensemble. Pendant que je coupe les légumes, je sens sa main me caresser les fesses. Surpris, je lui dis :

-C’est le nouvel appart’ qui te fait cet effet?
_ Peut-être bien oui, qui sait ? J’ai peut-être envie de vérifier, pas toi ?
_ C’est inhabituel de ta part… Mais cela me plaît.

Je sens alors une tape sur mes fesses. Je sursaute plus par surprise que par le choc du coup. Elle n’a jamais été ainsi coquine, et cela me plaît bien. Elle se met alors à caresser mon sexe  qui monte en érection. Ensuite, elle se rapproche de mon oreille pour me chuchoter :

-Ce soir, tu es a moi ! Je vais te faire ce que personne ne t’a encore jamais fait ! Tu vas apprécier j’en suis sûre ! Tu vas prendre ton pied, je vais te faire tripper comme jamais mon cochon. Alors sois prêt parce que cette nuit tu ne dormiras pas beaucoup, j’en suis certaine !

Le tout est dit d’une voix sensuelle et très sexy.

petite amie dominatrice

Première soirée chez nous !

Ça y est… je bande comme jamais. J’ai envie de la prendre maintenant. Cependant, elle n’a pas l’air de cet avis. Elle me lâche le sexe et se retire ainsi de mon dos en me faisant une tape, relativement forte, sur les fesses. Je ne l’avais jamais vu ainsi, et cela m’excite fortement je dois dire. J’avais déjà entendu parler des délires sado-masochistes,  fessées et autre pratiques du genre…Cependant, cela ne m’a jamais réellement attiré et je ne m’y suis jamais intéressé non plus. Je pouvais comprendre ce fétichisme, mais personnellement je suis plutôt fétichiste des pieds ainsi que des chaussures ou cuissardes à talons aiguilles.

L’heure du repas est arrivée. Nous avions préparé un gratin de légumes pour notre premier repas dans notre nouvel appartement. Contrairement à son habitude, aujourd’hui, elle se place en face de moi. D’habitude, elle préfère être à côté de moi. Je la sers en eau puis nous commençons à manger. La discussion part sur les voitures luxueuses. Elle est elle aussi passionnée de voitures, ce qui rend plus ouvert les possibilités de dialogue. Pendant que nous parlons de Lamborghini, je sens alors son pied frotter contre mon pantalon et me caresser le sexe ce qui ravive mon érection. D’un sourire taquin et fière d’elle, elle me dit :

-hé bien, mon salaud ! tu es bien excité à ce que je vois ! toi qui a toujours aimé mes pieds, je te fais ce petit cadeau !

Ma petite amie prend les choses en main !

En effet j’ai toujours fantasmé sur ses pieds à elle principalement. En effet, ils sont magnifiques. Cependant, jamais, elle ne les a ainsi utilisé. Prétextant qu’elle n’aimait pas ses pieds, elle a toujours refuser de les utiliser à des fins sexuelles. Malgré cela, je sens bien qu’elle sait y faire, peut-être est-ce naturel ? Qui sait… ce que je sais en tout cas c’est qu’elle s’amuse.

Tout en mangeant et en me parlant, elle a ouvert ma braguette et elle caresse son pied contre mon caleçon épousant les formes de mon sexe de plus en plus en érection. Elle coince mon sexe entre son gros orteil et le second. Elle me branle littéralement de son pied ! Et bon sang que ça me plait ! Avec son second pied, elle joue avec mon gland en continuant de me branler. C’est tellement intense que j’ai du mal à lui répondre.

Dès qu’elle finit de manger, elle se lève et part comme si rien ne s’était passé. Je suis, encore, un peu sous le choc. Elle me réanime en me chuchotant ces quelques mots :

-prépare toi, ce n’est qu’un début ! Je te l’ai déjà dit : tu ne dormiras pas cette nuit !

Ne me laissant pas le temps de lui répondre, elle va dans la chambre me laissant ainsi la vaisselle. Après la vaisselle, je la rejoins rapidement. Je la vois allongée, dans une nuisette blanche à travers laquelle je peux tout voir. Elle me fixe.

-Tu as été gentil j’espère !

-oui madame, très !

-alors viens là !

Menotté au lit par ma petite amie

Suivant son signe du doigt me montrant de la rejoindre, je me mets au dessus d’elle. Très vite, elle marque directement son territoire en me faisant tourner pour se mettre au dessus et me regardant :

-As-tu confiance en moi ?

_ bien sûr que j’ai confiance en toi voyons !

-alors laisse toi faire !

Joignant le geste à la parole, elle me montre un bandeau avant de me le mettre sur les yeux. Je suis perplexe mais je la laisse faire, puis je la sens prendre mes mains et les joindre en haut du lit. Deux secondes après, je sens un métal froid de menottes me lier les mains.

-il serait dommage que tu te libères !

Je ne comprends pas le sens de ses paroles, ni dans quoi je viens, inconsciemment, de m’engager.

Me voici menotté au lit par ma petite amie dominatrice, les yeux bandés, je me demande ce qu’elle compte me faire. Elle m’a mis torse nu. Je ne peux rien faire dans cet état. En fait, je suis littéralement à sa merci. Je sens sa présence au-dessus de moi. Ensuite, je la devine sur les genoux au dessus de mon bassin. Voulant affirmer une certaine assurance, je dis fièrement (et bêtement) :

-Alors comme ça tu as des envies cochonnes à ce que je vois ! Tu ne m’as jamais parlé de ce côté sado-masochiste, dis-moi ? Cela me plaît bien d’avoir une petite amie dominatrice, on va je pense bien s’amuser !

Je m’attends à une réponse de sa part mais je n’ai pour seule réponse qu’une violente tape sur le torse me faisant pousser un cri de douleur, mais aussi de surprise. Elle s’explique par la suite.

-Ce soir, je commande mon grand, tu ne parles qu’avec mon autorisation , et pour te répondre je vais certes très bien m’amuser, mais toi un peu moins mon cochon !

Maîtresse Chloe, ma petite amie dominatrice !

Son ton a littéralement changé. Mais où est passée la jeune fille timide que je connais? Ou alors a t’elle toujours été ainsi ? Dans tous les cas, je ne peux plus rien faire. Essayer de me débattre serait inutile. Je me sens alors basculer. Ma petite amie dominatrice m’a allongé sur le ventre. Cependant, je la sens toujours au-dessus de moi. Que compte-elle me faire ? Je ne sais pas si je veux réellement le savoir.

Je la sens se lever, puis elle m’abaisse mon pantalon et mon caleçon, me les enlevant entièrement. Ensuite, je sens ses mains me caresser les fesses. Elle me les caresse, malaxe, griffe, pince, et me les mord même. Mais surtout, elle prend un malin plaisir à le fesser, encore et encore. Ce petit jeu qui dure depuis bien 5-10minutes, je dois l’avouer, contribue à maintenir une certaine érection. Ensuite, je la sens m’empoigner les cheveux et me tirer vers l’arrière , puis elle me rentre de force ce que je devine être un godemichet.

-suce le bien petite pute, suce le comme ci c’était ma bite !

Sur ces dures paroles, je m’exécute et me mets à le sucer. Je fais des va et viens avec, sous l’ordre de ma petite amie dominatrice devenue Maîtresse Chloé. Ensuite, je sens, soudain, ses doigts froids me badigeonner l’anus. Je comprends vite qu’elle est en fait en train de me lubrifier l’anus. Elle y rentre un doigt, puis deux, mais le troisième ne passe pas. Je suce toujours ce gode, et si j’ai le malheur de ralentir , elle m’empoignait les cheveux et me remet dans le rythme après me l’avoir profondément enfoncé au fond de la gorge. Cela fait maintenant  dix minutes que cela dure. J’ai la bouche en feu, les larmes ont coulés mais je m’efforce de continuer sans perdre le rythme, redoutant la « punition » qui pourrait suivre un ralentissement.

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