Déshumanisation d’un homme soumis (3)

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Déshumanisation d’un homme soumis (2)

 

 

Le message suivant arriva vers 6h. Comme un bon soumis, j’étais à genoux, au coin. Je pus saisir mon téléphone et commençais à lire, une érection accompagna ma lecture!

 

Quelques règles à respecter pour récompenser le soumis

« Je t’offre quelques règles pour te récompenser.

Premièrement, tu doteras dès que possible ton appartement de caméras IPs. Cela me permettra de voir ce qui s’y passe, notamment le coin où tu te tiens en ce moment, ta douche, l’endroit où tu manges au sol, tes toilettes et ton lit. C’est un minimum. Si je peux voir tout ton appartement c’est mieux. Il y a nombre d’applications permettant de se connecter à ces caméras, choisis-en une gratuite mais sûre ! Ce serait dommage de te voir sur internet manger par terre.

Deuxièmement, ajoute-moi dans tes contacts de localisation sur ton téléphone, afin que je puisse voir où tu es géographiquement à tout instant.

Troisièmement, j’imagine que tu es en train de bander et que, n’ayant pas d’instruction à ce sujet, tu as dû abondamment branler ton bout de viande ces derniers jours.

Ce n’est pas acceptable de la part d’un soumis réel. Tu trouveras dès que possible une cage de chasteté sérieuse et la fermeras avec un cadenas en plastique numéroté (unique) tels qu’on les trouve facilement sur internet.  Tu resteras en cage le temps qui me convient.

Quatrièmement, tu devras être nu en permanence chez toi.

soumis

 

Cinquièmement, tu ne mangeras plus avec fourchette et couteau mais en mettant tes aliments dans une gamelle où tu mangeras comme un chien, sans les mains. Plus vite, tu mettras en place ces instructions, plus je serai satisfaite. Tu as l’autorisation d’aller acheter le matériel nécessaire dès aujourd’hui. A toi de voir. »

Achat d’une cage de chasteté, d’une gamelle pour chien…

Je bandais. Pauvre soumis. Tellement stupide que malgré une forte excitation et des érections fréquentes, je ne m’étais pas senti le droit de me masturber. Imbécile, il était encore temps me disait la petite voix… mais je la fis taire dans ma parfaite abnégation d’homme soumis à cette parfaite inconnue.

La douche froide ne me remit pas les idées en place. Après avoir envoyé un message au travail prétextant un fort mal de tête, j’étais à l’ouverture du magasin de matériel Hightech qui était proche de mon domicile. A 11h, les caméras (cinq en tout, couvrant tout l’appartement) étaient en place. Ensuite, j’envoyai le lien vers l’application avec login et mot de passe à cette inconnue en la remerciant de me consacrer tout ce temps et de daigner baisser les yeux sur le minable que j’étais.

Je traversai Paris pour trouver une cage digne de ce nom. J’achetai, également, une Bon4 short en acier ainsi que dix cadenas numérotés et une gamelle pour chien. Je revins à 13h puis je mis la cage. Avant même que je puisse envoyer un message à ma dominante fantôme, je recevais un simple message « jolie cage ! Tu l’as prise courte, discrète, c’est bien, mais tu vas passer quelques nuits difficiles, pendant quelques semaines… ». J’envoyai une photo du numéro du cadenas plastique que j’avais posé.
Ensuite, je mangeai, rapidement, un reste versé dans la gamelle, à quatre pattes, puis je m’habillai pour partir travailler.

Tout l’après midi, mon esprit fût centré sur mon entrejambe, entre douleurs diffuses et envie de bander. Surtout, je savais que cette prison n’était pas près de s’ouvrir. Je me désespérais sur moi-même mais cette situation m’excitait au plus haut point.

 

Semaine très pénible à cause des règles à respecter

De savoir en plus que je ne pourrais plus échapper au regard de cette dominante inconnue m’envirait et provoquait de plus fortes douleurs dans la cage.

Je rentrai exténué à 18h30. En bon soumis, je me dénudai puis la soirée programmée se déroula comme ordonnée.

Douches froides, séjours prolongés à genoux, repas en gamelle et queue encagée qui me réveillait dix fois par nuit, ma vie prenait un tournant douloureux et épuisant. Pourquoi ai-je choisi une cage courte ?

La semaine fût pénible. Que me réservait le week end ? Cela faisait à peine deux semaines que je me soumettais à ces messages, elle avait dit trois mois avant d’aller plus loin et de la rencontrer peut-être…

Quelle folie ! Quelle folie de souffrance et de bêtise… et quelle excitation! Je vivais enfin ce que j’avais tant de fois rêvé de vivre. J’étais devenu une chose soumise, parfaitement docile, minable larve, le cerveau dans les couilles.

Je me couchai le vendredi soir sans savoir ce que je devrais faire le lendemain, inquiet, mais trop fatigué pour ne pas m’endormir au bout de quelques minutes.
Je me levai samedi à 5h et rédigeai mon message d’hommage. Cela devenait difficile de ne pas reprendre des tournures déjà utilisées. J’avais parfois l’impression que mes messages d’hommages étaient nuls et ridicules. Cependant, j’obéissais, puis me retournais vers mon coin, la queue tendue dans la cage trop petite.

 

Obligé d’aller chercher une commande au magasin

Son message arriva à 6h30.

« Tu es très ponctuel. C’est la base. Nous allons un peu accélérer car il semble que tu sois particulièrement docile et je ne voudrais pas que tu t’ennuies.

Sois à l’ouverture au magasin où tu as acheté ta cage. J’ai passé une commande au nom de « soumis encagé », elle est prête. Le vendeur vérifiera avec toi le contenu et tu paieras (pas plus de 300€, je pense que tu peux faire ça pour accélérer ton apprentissage de base). Ensuite, tu reviens chez toi. Je t’enverrai d’autres instructions. En attendant,
remet toi au coin jusque ta douche à 7h et reste bien 20mn sous l’eau froide ! ça fera du bien à ton petit bout de viande, j’ai l’impression qu’il ne sait pas rester à sa place. Ça viendra je te rassure, à ton âge, la cage conduit plus rapidement à l’impuissance. »

Les derniers mots me firent l’effet d’un coup de poing dans l’estomac. Et renforcèrent encore la volonté de cette queue de bander. La menace d’impuissance, stade ultime de la larve soumise était plus réelle que jamais…
L’eau froide eut raison de cette tentative inutile d’érection.

J’attendis l’ouverture et je fus le premier à entrer dans le magasin.
Je m’approchai du comptoir, comptant sur l’heure matinale pour qu’il n’y ait personne mais déjà quelques clients et clientes entraient. Je n’avais pas encore pu récupérer la commande!

Inquiet mais excité à l’idée d’utiliser les articles achetés

La vendeuse finit par se diriger vers moi après presqu’un quart d’heure d’attente. Une autre femme attendait pour régler un article, une jolie lingerie…

  • Monsieur, que puis-je pour vous ?

 

  • Bonjour, je viens retirer et payer une commande faite par internet.

 

  • Oui, à quel nom?

 

  • Hum, je crois que c’est soumis-encagé, dis je en baissant le voix au maximum.

 

  • Je n’ai pas entendu… ha oui, soumis encagé, c’est ça ? dit-elle bien fort avec un sourire non dissimulé.

 

  • Oui Madame.

 

  • Bien, je vais la chercher.

Elle partit derrière et revint avec un sac.

  • Alors, la personne qui a passé la commande a demandé de bien vérifier tous les articles. Nous avons un kit de lavement.

Ensuite, elle sortit le kit, détaillant chaque élément.

  • Puis un jeu de plusieurs plugs de taille différente, trois en tout avec du lubrifiant, c’est trop gentil ça!

Elle étala les plugs sur le comptoir tandis que la cliente derrière regardait en souriant et que d’autres clients approchaient du comptoir pour régler.

 

  • Puis un ballstretcher de 900gr, et bien vous allez le sentir, dit elle en me regardant et en souriant.
  • ça c’est clair ! ne put s’empêcher d’ajouter la cliente derrière moi.

 

  • et enfin un joli collier pour soumis!

 

J’étais rouge comme une pivoine, et je la remerciai. Enfin, je réglai et remis les articles dans le sac.

  • Bon courage, me lança la cliente en souriant quand je partais.

Je ne pouvais que la remercier en baissant la tête. J’étais un soumis aux yeux des autres, sensation forte, terriblement humiliante et terriblement excitante.

Finalement, je rentrai chez moi sans détour, honteux et excité, inquiet aussi à l’idée de l’usage de ces articles. Je reçus le message à peine déshabillé, une fraction de seconde, je me demandais comment elle savait… mais elle avait ma géolocalisation ainsi que les caméras… évidemment qu’elle savait.

Nouvelles règles pour assumer plus vite la nouvelle condition

« J’espère que ces petites attentions te plaisent et que tu as aimé le regard du vendeur détaillant les articles. Il faut que tu apprennes à assumer ta condition. Le plus vite sera le mieux. Commence par tout déballer et tout laver soigneusement. Ensuite tu feras trois lavements à une heure d’intervalle. Tu utiliseras de l’eau froide. C’est très désagréable, mais autant t’y habituer tout de suite. La poche contient un litre et demi, rempli là à chaque fois et garde le liquide 20mn quand la poche est vide à chaque fois.

Apprend à expulser à quatre pattes, pas assis. D’ailleurs, j’en profite pour ajouter cette règle que j’avais oublié. Désormais, quel que soit l’endroit, tu urineras et défèqueras à quatre pattes. Au début tu en mettras partout et tu devras nettoyer, mais tu apprendras. Une fois l’eau bien claire, tu mettras le plug le plus petit devant la caméra. Suivant la difficulté à le mettre, mets la taille au-dessus. Moins il sera gros, plus tu souffriras quand je te prendrai en main, donc n’essaie pas de faire semblant, tu le paieras un jour ou l’autre.

Une fois le bon plug en place, tu mettras le poids à tes pauvres couilles. Comprend que les couilles d’un soumis ne servent qu’à lui apporter de la souffrance, c’est normal. Les couilles, ce sont les attributs de l’homme. Pour le soumis, ce doit n’être qu’un tourment. Tu auras du mal à le mettre avec la cage, mais en tirant bien sur tes couilles, tu devrais y arriver. Tu garderas ce poids tout le week-end.

Je sais que tu auras très mal, mais ce n’est pas très grave non ? un soumis a pour but de satisfaire sa Maîtresse, le reste n’a plus d’importance et cela me satisfait. Action. »

 

Obligé d’effectuer trois lavements

J’allai laver tous les articles. Mon anus, bien que vieux était encore très serré et je ne me souvenais pas avoir déjà pratiqué de lavement. Inquiet mais toujours déterminé, je séchai les articles et commençai à remplir la poche. J’enfonçai la canule dans mon anus et me remis à genoux, la poche tenue en l’air.

Je sentis le liquide froid pénétrer mes intestins. Cela déclencha rapidement quelques spasmes et quelques pics dans le ventre. J’avais l’impression que cela ne s’arrêterait jamais, mon ventre me semblait énorme et le froid me gelait de l’intérieur, provoquant des coups de poignard.

La poche fut enfin vide alors que mon ventre protestait furieusement. Je regardais l’heure et attendis les 20 minutes en
vacillant. Puis je me dirigeai vers les toilettes et me mettant à quatre pattes, je tentais de positionner
mon anus au dessus des toilettes et avançais mon bassin au maximum pour ne pas arroser le mur derrière. Dès que mon sphincter fut relâché, le liquide brun et nauséabond recouvrit les toilettes et dégoulina un peu partout…

Je me vidai rapidement, la douleur s’estompa mais l’impression de froid demeura. Ensuite, je me nettoyai comme je pus puis je remplis à nouveau la poche, remis la canule et sentis les mêmes douleurs, plus fortes. Je tins bon et le liquide était moins foncé. La troisième fois me donna envie de vomir et je tremblais de tous mes membres. L’eau était claire.

 

Un nouveau message tomba!

« Douche froide, tu es sale, tu auras le droit de t’essuyer… juste pour mettre le plug et le poids plus vite.
Ensuite tu laveras tes toilettes, sale porc. » 

 

Douche glacée puis mise en place du plug

 

J’étais déjà gelé, la douche m’acheva!

Je me frottai comme un fou avec la serviette pour tenter de me réchauffer. Mes entrailles criaient. Finalement, je
regagnais la grande pièce pour m’occuper du plug et je pris le plus petit.
Je l’enduisis de lubrifiant et entrepris de l’enfoncer. Le passage fût douloureux, mais je n’eux pas de très grosses difficultés. J’enlevai donc ce plug et je pris le suivant. Là, ce fût une autre affaire.

Mon sphincter refusait obstinément de s’ouvrir et je maintins le pression dix minutes avant qu’il ne finisse par céder,
m’arrachant quelques larmes. Je n’imaginais pas essayer le plus gros des trois. Je sentais celui-ci occuper tout l’espace et tendre mon anus douloureusement.

Ensuite, je fis une pause de quelques minutes. Après, j’entrepris de mettre ce poids énorme à mes pauvres couilles. Il était fait de deux parties en acier s’emboitant et tenues par deux vis. Je devais réussir à tendre la peau entre ses morceaux et refermer sans pincer la peau.

Il me fallut une demi heure d’efforts et mes couilles étaient déjà très meurtries, tendues avec le poids qui appuyait sur la cage. Quand j’ai lâché le poids en étant à genoux, la douleur fût instantanée et durable.

Entre mon anus et mes couilles, c’en était trop et je me mis à pleurer à quatre pattes comme un chien.
« tout ça pour quelqu’un qui n’existe peut-être même pas… » me glissait la petite voix.
Le téléphone me prévint d’un message…

Malgré les douleurs et humiliations, enfin à ma place!

soumis

« Tu es un bon chien. Tout ce que tu endures te rapproche de ton état d’esclave, celui dont tu rêves. Cela ira plus vite que tu ne crois, tu es très, très docile. Reste ainsi à chialer jusqu’à nouvelle ordre, sans bouger, ça te fera du bien et tu chialeras souvent comme ça.

C’est la vie normale d’une sous merde. Balance bien tes couilles. J’aime les voir se balancer. Et montre-moi ta
chatte avec son joli plug. Il restera en toi désormais, tous les jours. Tu ne pourras l’enlever que pour déféquer et tu le remettras ensuite. Dans quelques temps, nous pourrons passer à la taille supérieure. »

 

Ma queue encore me rappela que ce que je vivais là, j’en rêvais depuis tant d’années. Mes couilles et mon anus avaient beau protester, je savais au fond de moi que j’étais à ma place. Et j’en pleurais tout en essayant sans succès de bander.
Je nettoyais les toilettes maculées, à quatre pattes, balançant les couilles pour satisfaire cette inconnue… larve déjà.

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3 réflexions au sujet de “Déshumanisation d’un homme soumis (3)”

  1. Très intéressant ! Hâte de lire la suite et s’il s’agit vraiment d’une femme ou d’un homme…

Les commentaires sont fermés.

 

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