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Premiers pas vers la soumission à une femme dominatrice! (2)

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Madame referme la porte. A clé. Je l’ai remarqué mais n’ai pas osé en demander la raison, à cette dominatrice. Ni même esquisser une petite plaisanterie. Ce n’est pas le moment…

J’enlève mes chaussures et ma veste puis je dépose mon sac. Ensuite, je suis Madame qui se dirige vers un salon moderne, lumineux, donnant sur une magnifique terrasse. Ses bottines claquent sur un parquet de chêne.

Cette femme dominatrice se retourne et me fait face. Sans le moindre signe d’avertissement, une gifle m’envoie valdinguer quelques pas sur le côté. Je suis sous le choc et pris au dépourvu. Ma tête bourdonne comme une ruche. Ma joue gauche me brule et semble gonfler. Mon cœur bat comme un tambour. D’instinct, je baisse les yeux et la tête pour éviter de recevoir une nouvelle gifle. Je respire puis je reprends mes esprits. En fait, j’ai été surpris. Désormais, il faut que je sois sur mes gardes. Je contrôle encore la situation !

 

  • Viens ici!

 

Premier ordre de cette femme dominatrice!

femme dominatrice

 

C’est un ordre. Cette fois ci, pas de doute. Je ne reconnais pas la voix ferme mais agréable qui m’avait tant attiré. Cette fois ci, c’est un ordre qui me dit de me rapprocher et de me remettre à portée de mains!

J’obéis doucement, docilement. Ce n’est pas le moment de faire preuve de couardise. Je montre mon désir d’obéir, de vouloir bien faire. Ce n’est pas nécessaire de me frapper, je ferais ce que vous voulez !

  • Lève la tête!

Je lève la tête…mais garde les yeux baissés. Ne me frappez plus s’il vous plait. Voilà ce que je voudrais lui dire, lui faire comprendre.

Mais de nouveau ma tête explose, quelques pas sur la gauche, et c’est l’autre joue qui, maintenant, me brule.

Je respire…puis je respire…et enfin, je contrôle…

  • Viens ici!

Je dois obéir…

A voir ce que je déguste sans raison valable, je n’ose pas imaginer ce qu’elle ferait si je n’obéis pas.

 

Je m’approche. J’ai des larmes dans les yeux. Cette Maîtresse dominatrice m’avait promis des larmes. Elles sont arrivées plus vites que prévu. Je ne suis pas maso, je le sais, mais j’ai honte de ces larmes après seulement deux baffes. Oui, je suis soumis, mais pas une « fiotte ». Je baisse la tête, toujours. Pour retarder la prochaine gifle et pour cacher l’humidité dans mes yeux.

  • Lève la tête!

 

De la peur à la béatitude en trente minutes!

Je sais ce qu’il va se passer ensuite. A droite ou à gauche ? C’est la seule inconnue. De toute façon, j’ai le visage en feu.

Je lève la tête. Je voie trouble. Trop de larmes brouillent ma vue. Le choc aussi sans doute. J’attends la prochaine gifle. Puis je sens des doigts sur mon visage. Madame Eliane caresse doucement mes joues douloureuses avec ses mains. Une sensation indescriptible. La brulure de la gifle a décuplé la sensibilité de ma peau. Je ne suis pas maso, mais jamais une caresse ne m’avait procuré autant de bonheur.

Ce bonheur est peut-être, aussi, dû à la joie d’échapper à une nouvelle gifle ?

Ou à la joie d’avoir pu apporter un peu de plaisir à ma Maitresse ? Car Madame Eliane se montre douce envers moi. Elle me félicite et loue ma bonne volonté.

Madame Eliane enlève sa veste, puis s’assoit dans le sofa. Un claquement de doigt me fait comprendre que je dois m’approcher et m’agenouiller à ses pieds. De sa main, elle pose ma tête sur sa cuisse et caresse doucement mes cheveux. Ma joue contre son jean sent au travers du tissu de douces contractions. Je ne sais pas vraiment si j’ai le contrôle. Mais je sais que j’aime cette expérience. Cette femme dominatrice, que je ne connaissais pas il y a 30 minutes me fais passer de la peur à la béatitude.

Je garde mes bras ballants, un peu gauche, ne sachant pas quoi en faire. J’aimerais caresser ses jambes ou ses bottes avec mes mains. Mais je n’ose pas. Je commence à avoir les genoux un peu douloureux. Je n’ose pas bouger de peur de mettre un terme à ce moment de complicité.

 

  • Il va falloir commencer ton éducation, me dit soudainement Madame Eliane. Lève-toi, et déshabille-toi !

 

Strip-tease improvisé pour Madame Eliane, ma nouvelle dominatrice!

 

Je commence, timidement, à enlever mes vêtements sous le regard préoccupé de Madame Eliane. Sans faire un strip tease, j’essaie de me mettre en valeur. Ainsi, je commence par la chemise puis je rentre, un peu, le ventre pour faire ressortir les abdominaux. Enfin, j’enlève les chaussettes, avant le pantalon pour éviter de me retrouver à poil en chaussettes. Quand il ne reste plus que le caleçon, j’hésite. Je regarde dans sa direction. Toujours préoccupée, Madame Eliane me fait signe distraitement d’enlever ce qui reste.

Il semble que mon jeu d’acteur n’a pas touché mon unique spectatrice. Je suis pas mal fichu. Pas très grand, pas très musclé, mais sec, athlétique, fin. La dernière couche de tissu enlevée, mon attribut masculin est apparu sans soulever une quelconque réaction. Pourtant même si la paire de gifle avaient réduit à néant ma virilité, la consolation qui avait suivi m’avait fait reprendre des forces. Mais elle ne m’a regardé que distraitement, en semblant penser à autre chose.

Son téléphone sonne. Elle décroche et discute, rigole avec, il me semble, une amie avec laquelle elle prépare un Week end entre filles. Je reste debout, devant elle, nu, avec uniquement le collier autour du cou.

La conversation finie, Madame Eliane m’indique une série de règles de base que je dois respecter. Tout manquement sera corrigé et sévèrement puni. Lorsque ces règles seront maitrisées, de nouvelles règles se rajouteront. Et ainsi de suite…

Liste de règles à respecter

 

Voici la première liste de règles que me donne Madame Eliane:

  • Répondre par Oui Madame Eliane à toute demande.
  • Porter une cage de chasteté.
  • Prendre en charge les tâches domestiques.
  • Être à genoux, bras croisés derrière le dos pendant les temps d’attente.
  • Préparation du petit déjeuner et du repas du soir.
  • Massage de pieds

Je me sens confiant. Le ménage, il n’y a aucune raison que je ne sache pas faire. Préparer les repas me fait plus peur. Je sais cuisiner quelques plats pour épater une jolie fille le temps d’une soirée, mais là…je vais devoir faire tous les repas…

Et le petit déjeuner ça devrait aller. Et soudainement je réalise que si aucune de ces tâches ne semble insurmontable, la somme de toutes va me prendre beaucoup de temps. Je comprends que Madame Eliane compte m’héberger pour m’avoir à sa disposition du matin au soir. Et du soir au matin.

De toute façon, ma nouvelle Maîtresse dominatrice ne me demande pas si j’accepte ces règles. En montant dans sa voiture, j’ai implicitement accepté toutes les règles. Et je lui ai laissé toute latitude pour appliquer la méthode éducative qui convient le mieux.

 

Attaché virtuellement 24 heures sur 24!

 

  • Encore une chose, ajoute-t-elle. Ce collier que tu as autour du cou. Moi seule peut l’enlever. Et il a deux fonctionnalités intéressantes qui justifient son prix. Premièrement, il me permet de te localiser à chaque instant. Deuxièmement, il peut délivrer une décharge électrique sur une simple commande de ma part. L’intensité de la décharge peut varier d’une simple punition à une correction beaucoup plus sévère. Ne t’inquiète pas, j’ai promis de respecter ta vie professionnelle. Tu ne seras pas obligé de le porter pendant les heures de travail. A la place, tu porteras ce modèle de bracelet à la cheville. Plus discret mais tout aussi pratique.

Madame Eliane avait tout prévu. Attaché virtuellement jour et nuit, 24 heures sur 24. À tout moment, elle aura le contrôle. Etait ce vrai cette menace de m’envoyer des impulsions électriques ? La seule façon de le savoir…

Je réalise que je n’ai plus le contrôle. Madame Eliane m’avait promis un voyage sans retour possible. J’avais accepté et entamé ce voyage, en pensant pouvoir y mettre un terme à ma convenance. Mais sa promesse s’est de nouveau révélée exacte. Sans m’en apercevoir, j’avais moi-même verrouiller ce collier. J’avais moi-même accepté cette dépendance.

Mon expression a du trahir ma pensée. Cette femme dominatrice remarque, tout de suite, mon changement mental. Il me semble qu’elle lit en moi. Ou bien elle maitrise si bien l’art de dresser un homme, qu’elle connait toutes les étapes que je vais franchir, toutes les peurs que je vais rencontrer. Je vois un sourire sur son visage. Visiblement, elle se délecte de mon impuissance. Qu’est ce que je croyais. Que j’allais réaliser un ou deux fantasmes puis remercier la petite dame, rentrer chez moi, m’astiquer le poireau et que ce serait fini ?

Légère hésitation de ma part…

 

Il semble qu’elle attend un mouvement de rebellion de ma part. Sa main tapote un petit boitier noir qu’elle a distraitement pris. J’ai le droit d’arrêter ce jeu entre adultes consentants. Ainsi, j’ai le droit de dire stop. Je n’ai rien signé, et même si je me suis engagé, j’ai un droit de rétractation ! J’ai le droit…

Mais quel droit ai-je devant cette femme. Comment invoquer mes droits alors que j’ai accepté d’être l’esclave de cette femme ! Elle qui tapote toujours ce boitier. Est-ce la télécommande déclenchant la décharge électrique de mon collier ?

La rebellion doit être immédiate, spontanée pour avoir une chance de s’exprimer. La pensée, la raison dictera toujours la soumission pour éviter les coups. J’ai trop réfléchi, je ne peux que me soumettre. Elle lit dans mes yeux ma reddition, et s’en délecte. Aucune parole n’a été échangée, pourtant elle a encore gagné ce duel. Jeux après jeux, avec deux gifles, seulement, j’ai glissé dans l’abime de la soumission.

  • Va chercher ton sac et ta veste !

J’obéis, rapporte le tout et je me tiens, debout, devant elle.

  • Position d’attente ! m’ordonne-t-elle, me rappelant l’existence de cette première série de règle.

 

Je m’agenouille, bras croisés dans le dos.

 

Fouille en règle de mes affaires par cette dominatrice

 

Madame Eliane commence à déballer mes affaires, à la recherche de mon portefeuille, de mes cartes et de mon téléphone.

  • Je veux, tout savoir de toi, me dit-elle.
  • Célibataire?

 

  • Oui Madame

 

  • Une petite amie?

 

  • Une aventure…

 

  • Finie?

 

  • Non, pas vraiment.

 

  • Tu n’auras plus le temps de la revoir.

 

  • Oui Madame

 

  • Donne-moi le code PIN de ton téléphone!

Qu’est ce que je pouvais bien faire…Le plus raisonnable, c’est de donner le code.

  • Bien, va faire la vaisselle dans la cuisine, quand tu as fini, tu attaques la poussière. Si tu sens une vibration dans le collier, c’est que je t’appelle. Tu rappliques et te mets en position d’attente.

 

  • Oui Madame.

Petite chose soumise au bon vouloir de Madame!

 

Je disparais dans la cuisine, soulagé d’être à l’abris, hors d’atteinte, mais bientôt je sens le collier vibrer. Je repose une assiette, me sèche rapidement les mains et fille vers le salon. Madame est assise à la même place.

  • Enlève mes bottines. Et apporte-moi un verre de vin. Tu trouveras une bouteille dans le frigo.

 

Je m’exécute, enlève les bottines, ne prends même pas le temps de faire un massage a ces jolis pieds que je vois pour la première fois, et file vers la cuisine chercher le verre de vin demandé. J’apporte le verre de vin. Madame me renvoie en cuisine, le service ne la satisfaisant pas. Je dois prendre un plateau, poser le verre dessus, et venir m’agenouiller à ses pieds, tendre le plateau vers elle et attendre son bon vouloir de saisir le verre. Ensuite je pourrais retourner à ma vaisselle…

J’ai l’impression de courir tout le temps. D’être une petite chose soumise au bon vouloir de Madame. Comment est ce que je peux faire la vaisselle si elle me sonne toutes les deux minutes ! Ce n’est pas facile, mais elle joue avec moi, j’en suis sur. Elle me test. De toute façon, je suis là pour ça. Obéir. Aller, venir, laver, frotter…Il faut surtout que je reste concentré. Ne pas casser une assiette, ou ne pas renverser du vin sur le parquet. Je dois faire de mon mieux.

 

Leçon pour bien passer l’aspirateur!

Je m’attaque à la poussière. Madame m’indique où trouver l’aspirateur. Je le branche et commence par le couloir n’osant pas faire du bruit dans le salon en sa présence ni pousser une porte qui pourrait être l’accès à la chambre à couché.

  • Il faut même que tu apprennes à passer l’aspirateur.

La voix de Madame me fait sursauter. Je ne l’ai pas entendu approcher. Pieds nue, elle n’a fait aucun bruit pour venir derrière moi.

  • Tu branches la brosse sur le flexible, et tu frottes la brosse à genoux, en la tenant avec les mains. Ainsi, le travail est beaucoup plus précis.
  • Oui Madame.

C’est sûr que c’est plus précis, je la soupçonne également d’avoir trouvé un autre avantage à cette façon de passer l’aspirateur…

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