La Reine Jasmine, femme dominante et Slave enzo!

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Lorsque Jasmine, superbe algérienne divorcée (et femme dominante) reçut le premier message d’Enzo, professeur français, divorcé et gentleman, elle sut qu’il était l’homme qu’elle attendait. Ils échangèrent des messages durant deux mois. Puis ils se rencontrèrent à Alger en 2018. Ils se plurent et se marièrent en 2019. Début 2020, Jasmine obtenait son visa pour rejoindre son mari à Nice.

Désormais, une sexualité en berne dans leur couple

Après ces cinq années de vie commune, la sexualité des deux époux avait commencé à s’étioler. Comme un feu dont les braises s’assoupissent peu à peu en cendres chaudes. Les rapports sexuels et même leurs effusions de tendresse s’espaçaient depuis des mois.

Enzo ne ressentait plus pour elle la brûlante passion des débuts. Pour preuve, il l’accompagnait de moins en moins dans les activités autrefois communes. Il se réfugiait sur son ordinateur tandis qu’elle regardait des séries sur son mobile, au lieu de se pelotonner à deux sur le canapé pour regarder des films choisis à deux.

Elle soupirait en constatant cette désertion, mais que faire ? Pourtant Jasmine appréciait toujours autant lorsqu’il la désirait. Lorsqu’ils n’avaient pas eu de rapport depuis 8 jours, Enzo revenait vers elle pour un bref câlin, mais plus d’étreinte aussi torride. Elle aimait être prise avec fermeté et vigoureusement ramonée, malgré qu’elle soit une femme dominante. 

Elle appréciait aussi la façon dont il menait les préliminaires avec des longs et langoureux cunnilingus qui la faisaient jouir trois ou quatre fois avant même d’avoir été pénétrée. Son mari était passé maître dans l’utilisation du nez masculin, pour titiller, frotter et parcourir les zones sensibles, le bout du nez mais aussi l’arrête principale.

 

Avant, un mari infatigable et très attentionné dans leurs ébats sexuels!

femme dominante

 

Ensuite, il se servait de la langue qui est un muscle inépuisable. Mais là encore avec des degrés différents et sur un tempo « crescendo ». L’exploration timide et discrète pouvait laisser place ensuite à plus d’énergie, elle adorait qu’il utilise la langue comme un mini pénis.

Elle l’avait exercé à la garder la bien durcie et droite, surtout à l’entrée du vagin. Il devait pénétrer et tournoyer ensuite très longuement et sur un rythme inégal à l’intérieur du vagin lui permettant d’éprouver des sensations spéciales. Parfois il aspirerait son clitoris lentement et le suçait doucement avec les lèvres.

Ceci s’avérait également une stratégie voluptueuse , car il le faisait glisser en va et vient entre deux lèvres chaudes et humides serrées autour. Enfin, il lui arrivait de combiner les deux précédentes actions, c’est à dire aspirer le clitoris et le masser avec la lèvre supérieure tandis qu’avec la langue on racle la partie haute de l’entrée du vagin. Le mouvement de va-et-vient de la tête procurait ainsi une double sensation qui aurait pu ravir même les Femmes les plus exigeantes.

Changement de vie avec son mari, en retraite avant elle!

Hélas…. Enzo avait eu quelques soucis de santé au début du printemps. Ainsi, il était allé coucher dans la chambre d’amis au rez-de-chaussée durant deux mois, ce qui les avait beaucoup éloignés. L’étreinte matinale s’était transformée en simple baiser dans la cuisine. Depuis ce n’était plus comme avant. Il disait qu’il se faisait vieux mais souvent il semblait faire plutôt preuve de paresse. Evidemment, pour faire l’amour souvent, il faut que les deux partenaires soient motivés.

Jasmine regrettait l’époque où il se démenait pour la faire vibrer. Ainsi, il augmentait peu à peu la force et le rythme des caresses buccales, parcourait son corps de ses mains chaudes. Avant, il l’honorait de son énorme sexe infatigable. Parfois même, elle devait mettre fin au coït en lui demandant de se finir « à la main » car elle était gagnée par le sommeil, repue de tant d’orgasmes. Mais ça, c’était avant.

Au début de l’été, Enzo demanda et obtint sa mise à la retraite de l’université de Nice. Il avait fait ses calculs et avait décidé de partir avec ce que l’état lui devait. Ainsi, attendre la réforme en préparation ne lui avait pas semblé être un bon calcul. L’été avançait doucement. La jeune femme se demandait ce que son mari allait bien pouvoir faire de son temps à la rentrée, pendant qu’elle reprendrait le chemin du bureau. 

Elle travaillait depuis quatre ans et n’entendait pas se retirer aussi jeune. De plus, ses revenus lui avaient permis d’aider sa famille et de mettre un peu d’argent de côté, pas question d’arrêter. Enfin, ses collègues et amis de travail avaient formé autour d’elle comme une seconde famille, car son Algérie natale restait bien loin et ses parents aussi.

Découverte du magasine en ligne, Dominamag et du témoignage d’une femme dominante

Au détour d’une site  internet très populaire, nommé Dominamag, un article croustillant attira son regard. Il y était question de la CMC, autrement dit la « chasteté masculine contrôlée ». Jasmine avait lu les premières lignes avec une mine boudeuse, avant d’ouvrir de grand yeux à la lecture d’un témoignage d’une lectrice. Cette femme dominante parlait de son expérience avec son époux.

Cette dame se plaignait que son mari, en retraite avant elle. Ainsi, il avait pris l’habitude en son absence de jouer aux courses, de boire plus que de raison et de sortir avec d’autres de ses connaissances (féminines), elles aussi inactives. La « cage de chasteté » avait permis de résoudre son problème. Ainsi grâce au port de la cage, son « Robert » restait chaste et sagement à la maison pour faire du ménage et du rangement si bien qu’il avait perdu 16 kilos.

Cette femme dominante ne le libérait plus guère qu’une ou deux fois par mois pour une vidange « humiliante pour lui et jouissive pour elle ». Surtout, il la considérait désormais comme une véritable Pharaonne! La clé de la cage, en sa possession n’y était évidemment pas pour rien. Cependant, seul le résultat comptait après tout.

Le témoignage s’achevait ainsi. Séverine, ne donnait pas de détails précis, mais l’Algérienne sentit son bas-ventre se réchauffer et son sexe s’humidifier.

 

homme soumisLa cage de chasteté

C’est ainsi que que Jasmine se remémora cet objet dont Enzo lui avait parlé, dans les premiers mois de leur vie commune à Nice. Même si à l’époque, elle avait refusé l’idée de s’en servir, il en avait quand même commandé une sur Internet. Il avait passé outre son véto. Lorsqu’elle avait reçu le colis et découvert son contenu, elle avait vu rouge.

En rentrant du travail Enzo avait dû faire face au courroux de la jeune femme qui l’attendait de pied ferme. En temps que femme Dominante et non-conformiste, elle avait décidé de le punir à sa façon dès le lendemain matin.

Elle lui avait fait mettre la fameuse cage qui était en plastique transparent et maintenait son sexe rose et tout comprimé, visible à travers. Une fois le cadenas verrouillé, elle l’avait obligé à s’allonger sur leur lit.
Le professeur se sentait comme un élève pris en faute et le regardait avec appréhension. Une douce chaleur inondait le bas-ventre de Jasmine en voyant son érection naissante et comprimée dans le plastique. Elle avait constaté, curieuse, que son pénis était devenu aussi rouge que son visage, désormais !
Sa mine déconfite l’incita à pousser sa vengeance plus loin. Elle avait oté sa culotte et remonté sa robe pour l’enjamber. Sous le regard médusé de son amant elle s’était masturbée « sous son nez » au sens propre. Il tendait le cou avec des yeux exorbités, sidéré. Un orgasme explosif l’avait ravie très rapidement.
Elle était ensuite descendue calmement du lit et avait récupéré la cage « pour la mettre à la poubelle ».
Devant cette réaction cruelle totalement inattendue et cette fin de non-recevoir absolue, Enzo s’était finalement résigné à n’en plus parler. Peut-être était-il plus raisonnable de ne pas confier les clés à une femme aussi décidée…
 

Prise de pouvoir dans leur couple!

Cependant, Jasmine n’avait pas jeté la cage. Ainsi, elle s’était contentée de la cacher tout au fond d’un tiroir. Elle l’avait déplacée plusieurs fois il y a trois ou quatre quatre ans sans savoir pourquoi elle ne l’avait pas jetée. Ensuite, elle l’avait finalement complètement oubliée. Aujourd’hui, c’était la cage qui se rappelait à son souvenir…
Etait-ce un hasard?
Elle prit une longue inspiration et se mit à réfléchir. Ensuite, elle attrapa son mobile et entreprit de chercher des forums pour étudier cette question. La plupart de ses lectures ne lui apprit pratiquement rien qu’elle n’eût pu deviner par elle-même. Après deux heures d’étude du sujet, elle décida qu’elle passerait bientôt à l’action. Il lui fallait juste trouver la bonne occasion. Après tout, n’était-ce pas lui qui avait réclamé ???
 
C’était la fin des grandes vacances! Ce dimanche soir, Jasmine et Enzo étaient à table.
  • Je reprends demain… et je travaille lundi toute la journée, fit-elle, maussade… Et toute la semaine…
  • Oui je sais, c’est la fin des vacances pour toi je suis désolé… répondit-il, l’esprit visiblement ailleurs.
  • Que vas-tu faire?
  • Je ne sais pas, je dois laver la Mercedes… ranger un peu le garage…
  • J’aurais dû te mettre en cage… comme ça tu ferais un peu de ménage ! S’exclama-t-elle en souriant.
  • Ah… bon… (sans enthousiasme)
  • C’est dommage. C’était ce que tu voulais avant, non ?
  • Heu oui… fit-il en lui lançant soudain un regard interrogateur.

Suggestion du port de la cage de chasteté par sa femme dominante

Il faut dire que c’est compliqué un cerveau d’homme. Souvent, il faut que cela passe du cerveau au pénis et que ça remonte!
  • Moi je te verrais bien en cage, puisque tu ne vas pas aller à l’université !
  • Ah ben… pourquoi pas ? Dit-il étonné, après une hésitation.
  •  Allez, je valide, on va te mettre une cage pour une semaine, sourit-elle.
  • Je suis d’accord, mais je te rappelle que c’est toi qui avais refusé!
  • Evidemment, tu n’allais pas aller travailler avec ça non ? (regard noir)
  • Et tu l’as jetée, rappelle-toi, donc il faudra en commander une autre… (ton de reproche)
  • Eh bien d’accord ! conclut-elle.
Le repas se termina. Enzo se sentait bien émoustillé et vaguement inquiet sans plus. Jasmine débarrassa et nettoya la table, fit la vaisselle. Son paresseux de mari était une fois de plus sur son mobile à jouer au poker, avachi sur le canapé.
  • Tu vas voir mon bonhomme, grinça-t-elle.
 
Vers 22h les époux se mirent au lit. Il l’embrassa de façon appuyée, bien décidé à la prendre ce soir, pour une fois. Ses propos sur les cages lui avaient échauffé le sang. Elle le sentit et lui répondit par un baiser encore plus chaud. La respiration de l’homme s’accéléra, son cœur s’emballait.

Pose de la cage de chasteté par surprise

 Jugeant qu’il était « à la bonne température » Jasmine dit alors:
  • Surprise, ferme les yeux !
  • Mais… que…
  • Ouvre les yeux ! elle le scrutait d’un air moqueur.
  • Oh LA cage que…
  • Eh oui, tu la reconnais ? C’est bien elle, fit-elle, mutine.
  • Oh mais… mais.. mais…Tu avais dit que tu l’avais jetée !?

 

Il était interloqué. Et très excité.

  • Bin non, la preuve. Allez… dépêche-toi, mets-la maintenant ! fit-elle fermement, en le regardant d’un air sévère.
  • M..mais… babutia-t-il en prenant l’objet en plastique. 
Le cadenas claquait un peu. Il était abasourdi, et sous le choc, les joues en feu. Il manipula la cage et ôta le verrou, puis sépara le tube de l’anneau.
Hésitant. Jasmine l’observait, consciente que tout se jouait maintenant.
  • Attends, je t’aide, fit-elle en lui empoignant fermement les testicules pour faire passer l’anneau à la base de son sexe.
  • …. ouille…
Incapable de parler. Enzo se sentait excité comme tout ! Son fantasme le plus cher allait enfin se réaliser !!! Il fixa l’autre moitié de l’anneau d’une main tremblante. Il n’osait pas en croire ses oreilles. Sa femme dominante approcha le tube pour y faire entrer son pénis, mais il était à demi-bandé et ça ne rentrait pas…
  • Attends, j’ai une idée… souffla Jasmine.

Coming out de Jasmine en tant que femme dominante!

femme dominante
Elle était pressée de refermer le verrou avant qu’il ne change d’avis. Aussi, elle se pencha et l’emboucha sans serrer, enduisant son sexe mou de salive sur toute la longueur. En tortillant un peu, le retraité n’eut guère de peine à faire pénétrer sa verge jusqu’au bout de la coquille qu’il ajusta sur les goupilles.
Son épouse  se pencha et fit passer le mini cadenas dans le trou de la goupille principale, bloquant ainsi le tube en place sur son pénis. Un clic retentissant venait de seller l’oiseau dans sa cage. Enzo avait des papillons dans le ventre, il planait…
Le temps qu’il reprenne ses esprits, Jasmine était déjà revenue s’assoir dans le lit, avec un sourire narquois.
  • J’ai caché la clé, tu ne peux pas la retrouver, crois-moi !
La cruauté se lisait soudain sur ses lèvres, dans un sourire qui n’en était plus un.
  • J’ai très envie de te lécher… fit son mari, toujours plongé dans son délire érotique.

 

Déjà il se penchait vers elle…

  • Non!
Elle l’arrêta d’une main ferme, les yeux noirs.
  • Tu ne… veux pas… que… hésitait-il, les testicules brulant de désir mais un frisson glacé dans le dos.
  • Eh non ! J’en ai PAS DU TOUT envie ! lança-t-elle, savourant cet instant de victoire après des mois de frustration.
  • Mais avant tu… essaya-t-il lamentablement cette fois.
  • On verra mercredi soir, d’accord ?

 

Elle s’allongea sur le dos et tira le drap.

– Bonne nuit ma chérie… fit Enzo en l’embrassant, le corps tremblant de désir et de frustration.
Il eut beaucoup de mal à dormir cette nuit-là, en raison d’érections persistantes dues à son état d’excitation avancé.
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