Une après-midi avec une magnifique dominatrice!

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C’est une après-midi classique à Bordeaux, ni ensoleillée, ni pluvieuse comme si le temps lui même suspendu en cette journée d’automne nous montrait combien il est possible de savourer chaque seconde, combien c’est un devoir de vivre. Perdu dans mes souvenirs, ceux de l’appel et de cette voix qui me fait déjà chavirer, je perds la notion du temps. Je regarde ma montre et ferme la porte de mon appartement rêveur, mais surtout stressé. J’ai rendez-vous avec une magnifique dominatrice!

Je pars donc en retard et je prends les transports. Enfin, j’arrive à l’arrêt que vous m’avez indiqué. Je reçois des textos, vous vous impatientez, me rappelant que l’heure tourne et que je vais être en retard… puis tombe le mot redouté: punition! « à chaque seconde en retard, ton dos sera marqué! »

Je commence à courir dans les rues piétonnes et je vous réponds en même temps. Enfin, j’arrive devant la porte en sueur, haletant et d’un coup, je me rappelle… je viens à vous pour oublier, pour servir et être moi même, l’espace d’un instant… mais une chose est différente, j’en ai conscience mais je n’ai pas le temps de me poser davantage de questions. Je frappe à votre porte.

La porte s’ouvre. Vous êtes derrière pour m’inviter à rentrer silencieusement. L’intérieur est sombre mais l’alcôve est typiquement de la région. Mes yeux s’habituent à la lumière et je peux distinguer plus de choses mais je ne m’y attarde pas. Ce qui me prend au nez est tout d’abord votre parfum, doux et musqué, élégant. Je suis attiré par lui et là, je vous admire.
Je vois d’abord un visage fermé mais doux, me dévisageant avant de s’ouvrir d’un sourire merveilleux, vous me dites doucement:

-tu as fait de ton mieux, mais ce n’est pas suffisant…

 

magnifique dominatrice

 

Victoire totale pour cette magnifique dominatrice!

 

Puis vous avancez, je me permets de vous admirer en vous suivant docilement. Vous portez un haut blanc, une robe noire descendant aux genoux, des bas opaques et de magnifiques escarpins qui claquent sur ce sol en pierre. Nous descendons et je n’ose dire un mot ni bafouer des excuses qui ne convaincront pas et nous le savons tous les deux.
Vous continuez à parler. Je vous admire et je sens votre parfum qui m’enivre et votre voix me transporte.
Vous êtes vous même, sans forfaiture, juste une élégante et magnifique Dominatrice qui sait qui elle est et ce qu’elle vaut. Votre assurance détruit le peu d’assurance qui me restait.

Je sens mes genoux faiblissant sous ce voyage qu’ils n’ont pas imaginé. Ensuite, je tombe littéralement à vos pieds sans oser les toucher. Je sens votre regard amusé.

-Déjà?

Je n’arrive pas à parler, je ne bouge pas. Mes yeux sont baissés. Vous posez votre pied sur mon genoux pour vérifier si votre victoire est complète. En fait, vous le savez déjà, j’en suis pleinement conscient. Votre victoire est totale et ne souffre aucune concession.

Je sens votre talon s’enfoncer dans ma jambe, doucement. Vous prenez votre temps. En fait, vous voulez tester, jouer et savoir si les mots que j’ai prononcé avant notre rencontre sont réels: « Je suis capable d’un abandon complet, qu’importe la douleur ou l’humiliation… si je tombe à vos pieds, je sais ne devenir plus rien. »

 

Impitoyable et magnifique dominatrice!

 

… Je me rappelle ces mots que j’ai prononcés et malgré la douleur diffuse qui commence à pénétrer mon cerveau, je ne bouge pas, et reste immobile. Vous montez sur cette cuisse offerte, toujours votre talon enfoncé en vous tenant à moi. Je sens avec force votre parfum. Il m’enivre et tel un délirium, je ne sens plus rien d’autre, tout s’envole autour de moi, je ferme les yeux.

Vous descendez de votre piédestal, en me regardant et en souriant:

-Tu commences à prendre du plaisir, ce n’est pas drôle… Enlève tes vêtements, met les dans le coin la bas et reviens au pied!

Ces quelques mots prononcés, je me lève immédiatement pour exécuter les ordres… erreur… je prends une gifle magistrale qui me couche à terre:

-Qui t’a dit que tu avais le droit de te le lever? On a déjà vu un chien se lever?

Vous dites cela avec douceur, assurance car vous savez que vous avez gagné. Monter le ton ne sert donc plus à rien. Je reviens, pose ma tête devant vos pieds et vous demande de m’excuser pour cette erreur. Ensuite, je prends un coup de votre pied sur le visage qui me fait saigner du nez. Je reprends ma position, cette fois ci sans parler!

-Et bien voila, tu as compris. Tu n’as le droit de parler que si j’ai envie d’entendre ta voix. Pour l’instant, ce qui m’intéresse, c’est de jouer avec ton corps. Allez, dépêche toi de te mettre à poil, tu nous fais perdre du temps.

 

Au service des caprices de cette magnifique dominatrice!

 

Cette magnifique dominatrice a, toujours, cette voix douce qui tranche tant avec la violence de ses coups!

Je repars à genoux, me déshabille, et quand je me retourne, je constate que cette Femme qui est déjà ma Déesse, est assise dans un fauteuil de type victorien. Elle semble être, confortablement installée, les jambes croisées, à la main un verre que j’imagine être rempli de vin. Je vois qu’elle m’observe avec attention et amusement. Ensuite, je reviens à quatre pattes, tel un chien, et pose ma tête au sol devant son pied attendant sagement.

– Bon, maintenant que tu as compris une règle de base, je vais t’en apprendre une autre. Je t’ai
choisi car tu disais pouvoir encaisser les coups et je déteste entendre mon jouet geindre à la
première occasion. Donc, nous allons vérifier cela et nous verrons si ça vaut la peine que je perde du temps avec toi.

Je la vois cracher dans un mouchoir puis me le jeter à terre:

-Nettoie moi ce nez, ton sang pourrait salir mes chaussures et elles valent bien plus chères que toi!

Je prends, donc, délicatement le mouchoir, et me nettoie le nez à genoux, devant son escarpin se balançant à quelques centimètres de mon visage! En fait, je dois bien avouer que toute cette situation m’excite. Je sens mon sexe devenir dur, mon cerveau ne fait qu’un tour, j’ai peur que cela lui déplaise. Bien entendu, elle le constate, baisse doucement son escarpin sur mon sexe près du sol et enfonce le talon dans la verge tendue, puis se relève pour y poser tout son poids:

-Penses tu vraiment que j’ai envie de voir ton truc se dresser devant moi sans que je l’y autorise? Range moi ça rapidement!

 

Terrorisé devant cette magnifique dominatrice

 

La douleur me fait baisser un peu mais je ne peux contenir davantage et cela n ‘est
pas suffisant à ses yeux.

-Bien, alors je vais lui expliquer directement vu que ton cerveau n’est pas assez convaincant à ses yeux.

Elle relâche la pression puis elle me demande de me mettre debout, les mains derrière la tête. Ce sexe tendu me fait honte, mais bien plus que cela, j’ai peur. En fait, je commence à comprendre ce sentiment que je ressens depuis quelques minutes. Au delà de m’avoir complètement soumis, cette magnifique dominatrice a su imposer dans mon esprit une peur indéfinissable en quelques secondes. Mon cerveau me dit de fuir, mais je ne peux pas. Je sais pertinemment que je ne mérite pas mieux.

Elle passe derrière moi, me met un bandeau sur les yeux, vérifie que je ne vois rien puis elle repart derrière fouiller dans son sac. Ensuite, c’est le silence. Seuls ses talons tournant autour de moi me rappellent que je suis toujours entre ses griffes. D’un coup, une douleur immense me prend au niveau de la verge et je m’écroule au sol. J’ai senti un coup de cravache nullement retenu, sur le membre qui s’est dressé sans autorisation et pour la première fois, un ordre vient d’un ton sec:

-Debout! Je vais t’apprendre que ce que tu considérais comme ton corps est à moi désormais!

Je me redresse mais je sens mon sexe mollir. Aussi, j’espère que cela permettra à Madame de se sentir plus rassurée. Au contraire, je prends 4 autres coups d’une force similaire au même endroit. Une fois fini, elle me pose une question, à l’oreille, doucement, presque en susurrant:

-Penses tu qu’elle a compris, ou dois je lui expliquer davantage?

 

Enfin une récompense après la punition!

 

Je réponds que oui Madame, que la douleur m’empêche toute possibilité de vous offenser de nouveau. Elle me dit qu’elle espère bien, mais qu’elle n’espère pas l’avoir totalement détruit car elle aime jouer avec ce qui rend fier les hommes.

-ce ne serait pas drôle que tu deviennes eunuque lors de notre premier rendez-vous : s’amuse t’elle à dire.

Ensuite, elle enlève le bandeau. Je la revoie et l’admire, son visage, sa beauté, son sourire et ses yeux bleus, en amande, reflétant un regard profond de sadisme et de supériorité. Je m’y noie. D’un coup de genoux dans les parties, elle me remet à genoux devant elle et me prend la tête pour la poser contre elle:

-Repose toi un peu! profite de l’odeur de ta Maîtresse! Tu as pris cette punition sans dire un mot, j’apprécie l’effort. J’espère que tu apprécies la récompense, je t’autorise à être contre moi!

Après dix minutes, la tête posée contre son chemisier, sa main dans mes cheveux, et ses jambes contre moi, elle me repousse ce qui me surprend et me refait tomber au sol.

-Va la bas dans le coin! Je ne t’ai toujours pas puni pour ton retard et tu apprendras que je n’ai qu’une parole. A genoux, les mains sur la tête et les jambes écartées!

En l’entendant dans mon dos repartir dans ses affaires, je compte combien de temps suis je arrivé en retard? 10 secondes? 30? 1 minutes? 5?

 

A genoux, les mains sur la tête!

 

Je ne sais plus et je m’affole en repensant à ce début de rencontre et au plaisir que ma Déesse prend à faire mal. J’ai peur! Je transpire. La douleur sur la cuisse me reprend, mon corps souffre déjà. Je n’entends plus rien, mes pensées m’avaient fait oublié le temps qui passe et je n’entend que le silence. Où est-elle? Que fait-elle?

Puis le premier coup s’abat sur mon dos, doucement, mais cinglant et je comprends, un fouet avec une corde au bout qui fait le tour de mon buste à chaque coup. Madame parle:

– Tu ne me remercies pas?

Un second coup, plus dur cette fois qui se termine sur le haut du corps.

– Je vous demande humblement pardon Madame, je vous remercie pour prendre ainsi soin de moi et de mon éducation.

– C’est mieux… maintenant, sais tu combien de temps es tu arrivé en retard?

– Non Madame, je n’ai pas eu le temps de regarder. J’ai couru et j’ai frappé immédiatement!

– Tu as eu deux minutes de retard. Et que t’avais-je promis pour chaque seconde?

– Vous m’avez dit qu’à chaque seconde de retard mon dos sera marqué Madame.

– Très bien, donc tu mérites?

J’ai bien compris la question, mais il me faut 5 secondes pour que les mots sortent de ma bouche, j’ai peur de cette réponse.

– 120 coups Madame…

– Faux! Tu en mérites 5 de plus pour les 5 secondes que tu as mis à me répondre. Penses tu que je mérite qu’on me fasse attendre?

– Non Madame!

– Bien, alors les règles du jeu sont simples. A chaque coups, je veux que tu comptes, et que tu me remercies. Si tu te trompes sur le décompte, tu auras 5 coups supplémentaires! Est ce bien clair?

– Oui Madame…

 

magnifique dominatrice

Début de la deuxième punition

 

Et le premier coup s’abat sans attente, avec délicatesse, je sens que Madame se retient. Elle désire me tester, voir combien vont pouvoir pleuvoir avant que je ne tombe.

– 1, merci Madame S…

– 2, merci Madame S…

– 3, merci Madame S…

Jusqu’au quarantième, Madame y va progressivement puis force de plus en plus au 92ème coups, je fais une erreur de comptage. Madame, m’avait prévenu 5 coups de plus au 113ème, une autre erreur. Cette fois Madame me dit en rajouter 10 de plus. Je ne peux la voir, la douleur est intense et je sens ma peau être ouverte par de nombreux endroits mais je ressens son plaisir, son sourire et dans un état presque second. Je suis heureux car je sers cette magnifique dominatrice. En fait, je suis là pour son bonheur… Voila, 135!!!

Le compte est bon!!! Je m’écroule au dernier en la remerciant longuement. Madame s’approche de mon dos, le « caresse » avec ses ongles » puis me les présente devant la bouche en me disant :

-Lèche les, savoure la douleur que tu as offert à ta Maîtresse, et sois fier! Je ne t’ai pas entendu crier.

Après avoir léché mon propre sang sur ses magnifiques ongles, elle me montre une douche que je n’avais même pas vue avant de rentrer. Ensuite, elles m’ordonne de prendre une douche froide en 5 minutes et de revenir propre.

 

Douche glacée sur ma peau meurtrie!

 

En entrant dans la douche, je vois le « savon » de Madame, des citrons… La douleur ne se fait
pas attendre! C’est comme se doucher avec des millions d’épines qui rentre dans la chair, à chaque fois que je touche un endroit ouvert. Je sors, cette magnifique dominatrice me dit de me sécher et de revenir à ses pieds.

Ainsi, je reprends ma position, tête baissée, à ses pieds. Elle pose alors ses talons sur mon dos pour admirer son travail. Tout en griffant un peu la peau de ses talons, elle écarte un peu les jambes et se caresse.
Elle me tend ses doigts, et je sens son plaisir. Ensuite, elle me demande de lécher. Je goute à ce nectar fabuleux du plaisir de ma Déesse puis, elle me prend la tête et me demande de lui donner du plaisir.

Me voici coincé, entre ses fabuleuses jambes qu’elle enserre le plus possible, ce qui ne me laisse que peu de temps pour respirer et je lèche selon les indications de cette magnifique dominatrice. Elle se libère dans ma bouche avant de me repousser durement. Aussi, je m’écrase sur le sol.

Très agile, elle vient positionner ses fesses devant ma bouche pour que je la lave de ses odeurs. Je la sens frémir. Elle prend mon pénis qui avait repris de la vigueur et commence à le serrer très fort.

Plus son plaisir vient, et plus je sens mon membre se faire broyer, parfois déchirer par ses ongles si parfaits. Elle change de position pour me représenter son sexe que je continue de lécher puis je sens qu’elle insère avec son autre main un doigt dans l’urètre. La douleur est immense et je ne peux réprimer un cri étouffé par le plaisir de Madame.

 

Madame prend son plaisir!

 

Elle fait des va et vient, sans se préoccuper de mes douleurs puis obtient son second plaisir. Ensuite, elle se relève et me regarde amusée, souriante, éblouissante:

-C’est de ta faute, il n’avait toujours pas compris la leçon de tout à l’heure. A toi de mieux le dresser, car je te rappelle une chose simple: il ne t’appartient plus!

Epuisé, douloureux, meurtri de toute part, je reste couché au sol incapable de bouger. Madame va se rassoir dans son fauteuil. Elle croise ses jambes et m’appelle d’un claquement de doigt désignant le sol devant elle. Plus rampant que marchant, je reviens à ses pieds et m’écroule devant sa divine supériorité. Elle prend son verre, pose alors son escarpin sur ma tête, croise ses jambes et se met à parler en me demandant de la divertir avec une conversation agréable.

Je fais de mon mieux, cela semble lui plaire et nous restons ainsi un long moment, sans doute 15 ou 30 minutes. Je remercie cette magnifique dominatrice de me laisser ainsi pouvoir me reposer, de sa bienveillance à mon égard. Elle sourit.

 

Congédié et jeté dans la rue!

 

Puis, d’un coup, elle me demande de me rhabiller et de partir, elle ne veut plus me voir, elle veut rester seule. Je reviens à mes affaire et me rhabille puis revient à elle. Elle me dit de me remettre debout, me regarde dans les yeux et me demande comment je me sens. Je lui réponds que je suis vidé mais heureux, meurtri mais soulagé, que j’ai mal mais que je suis honoré.
Elle sourit comme un ange et me dit qu’elle en est ravie, me confirme que j’ai passé son test d’endurance et que nous nous reverrons mais pour que je reste bien sage en attendant, elle me demande de poser une cage de chasteté devant elle. Elle me la donne, je lui obéis, ouvre mon pantalon que je descends aux genoux et la pose. Ensuite, elle me demande d’attacher la clé à la chaine qu’elle a à sa cheville. Elle me dit:

-Tu vois? Nous serons toujours ensemble, moi attachée à ta queue et toi attaché à ma cheville. J’espère que tu es heureux car moi je le suis!

Puis d’un seul coup, elle me jette dehors, dans la rue, pantalon ouvert sur les genoux, à moitié habillé et jette mon blouson dans le caniveau avant de refermer la porte.
Je n’ai jamais eu le temps de répondre à votre phrase Madame, mais oui… j’était heureux… tellement heureux… Merci infiniment Madame de me faire comprendre combien mon plaisir égoïste n’a aucun intérêt devant celui d’une Dame telle que vous.

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3 réflexions au sujet de “Une après-midi avec une magnifique dominatrice!”

    • Bonjour Madame Alice,

      C’est un honneur pour l’auteur que je suis de savoir qu’il vous a convenu… Merci beaucoup pour votre appréciation qui m’honore.

      Humblement,

      Trampling33

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