Un meuble pour une Maîtresse dominatrice (6 et Fin)

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Au bout d’un long moment, dame Prisca, ma Maîtresse dominatrice, entre dans la pièce en soupirant.

  • Elle n’a pas pu s’empêcher!, dit-elle en parlant sans doute de dame Lily.

Elle me considère avec un œil réprobateur, comme si j’étais un objet endommagé. Puis elle décide de me nettoyer la bouche avec une brosse et du savon. Ayant toujours ma mâchoire écartée, je ne peux rien y faire et autant vous dire que ça n’est pas agréable du tout. Elle récure mes dents et l’intérieur de mes joues sans me ménager. J’avale au passage une grande quantité d’une eau savonneuse infecte. Estimant avoir fini, elle termine le travail en frottant vigoureusement mes dents avec du dentifrice. Ensuite, à l’aide d’une petite pince, elle tire ma langue à l’extérieur de ma bouche et attache la pince à mon collier de manière à ce que ma langue reste ainsi étirée.

  • Il faut toujours prendre soin de ses ustensiles ménagers, dit-elle. Sinon, ils s’abîment trop vite.

A l’aide de la brosse à dent, elle frotte ensuite ma langue un long moment jusqu’à ce qu’elle considère qu’elle soit enfin nettoyée et que nulle odeur incommodante ne s’en échappe.

  • Voilà, c’est propre, clame-t-elle satisfaite !

Elle libère ma langue et me retire les écarteurs

  • Tu vas pouvoir servir de nouveau. Je compte t’utiliser comme siège durant toute la soirée, à table tout d’abord puis dans le salon quand nous regarderons un film. Tu ne devras jamais t’arrêter, je veux sentir ta langue en permanence, est-ce clair ?

J’acquiesce silencieusement en hochant la tête.

 

Cunnillingus et anulingus pour ma Maîtresse dominatrice!

 

Maîtresse Dominatrice

Puis elle fait rouler mon lit-prison vers la salle à manger où ces dames sont en train de discuter et de rire Je n’ai pas vraiment le temps de les voir, dame Prisca a tôt fait de s’asseoir sur ma bouche, écartant les cuisses pour dégager son sexe que je m’empresse de laper. Il ne tarde pas à couler et restera humide toute la soirée, à cause de ma salive bien sûr mais pas que, elle est constamment excitée par ma langue ce qui est assez gratifiant. Je me montre endurant, ayant trop peur de me retrouver entre les cuisses de ses invitées, je fais preuve d’ardeur tout en essayant de me ménager.

Parfois, dame Prisca se repositionne, m’invitant ainsi à m’occuper de son anus qui se dilate de plaisir en sentant la pointe de ma langue le titiller mais très vite elle reprend sa place initiale. Il arrive parfois que ses doigts s’aventurent sur son bouton quand Lily et Fleur occupent la conversation. Évidemment, je ne m’arrête pas pour autant, me consacrant pleinement à ses lèvres et à l’intérieur de son vagin. Et lorsqu’elle retire ses doigts, c’est à mon tour de m’occuper de son bourgeon. Elle se tortille souvent sur la chaise, ses cuisses se referment alors sur mon visage, m’étouffant presque. Cette moiteur, le contact de ses bas sur mes joues, les mouvements de son bassin ne cessent de m’exciter. Mon sexe est en feu et je meurs de d’envie de pouvoir me soulager mais impossible de faire le moindre mouvement.

Plusieurs heures se passent ainsi avec des pauses parfois lorsque ma Maîtresse dominatrice se rend aux toilettes, je la nettoie pleinement ensuite, me surprenant à y prendre du plaisir alors que l’idée m’aurait dégoûté la veille encore.

Petit test pour voir si je suis fiable!

 

  • Comment ça se passe là-dessous, s’interroge soudainement Fleur de sa petite voix aiguë ?

Dame Prisca se lève pour leur révéler mon visage sans doute rougeaud.

  • Il doit être dans tous ses états je suis sûr, s’amuse Lily.

 

  • Allons voir, s’enthousiasme Fleur.

Et la voilà qui décide de dézipper ma camisole au niveau de mon sexe. Celui-ci a tôt fait de jaillir, je l’imagine cramoisi tant il me fait souffrir. Deux heures qu’il est raide comme la justice.

  • Eh bien dis-donc, tu lui fais de l’effet, s’exclame Fleur. Jouons à un petit jeu.

Son visage vient se positionner au-dessus du mien.

  • Es-tu capable d’obéir aux ordres ? Es-tu un objet fiable ? Nous allons voir ça. Voilà ce que je propose, je vais m’occuper de son sexe pendant 5 minutes montre en main. S’il parvient à se retenir, on le libère et il aura le droit d’échapper à ma cruauté, s’il jouit, je lui ferais avaler trois litres d’eau puis je lui planterais une sonde dans l’urètre que je relierais à un bâillon boule possédant un trou en son milieu. Il sera alors obligé d’uriner dans sa bouche durant toute la nuit. N’est-ce pas amusant ?
  • Es-tu prête à subir ce test, petit soumis?, me demande dame Prisca.

Ais-je vraiment le choix ? Je fais oui de la tête, transi de terreur.

Début du test avec les amies de ma Maîtresse dominatrice

 

Fleur disparait de ma vue et je sens ses doigts empoigner mon engin.

  • Il doit avoir une chance, décrète dame Lily. Sinon ce n’est pas amusant. Tu dois procéder avec lenteur. Je lance le chrono. Vas-y !

La main fine et vigoureuse de Fleur commence à faire coulisser le prépuce de haut en bas, elle respecte la règle durant une minute qui me parait être une éternité, elle agit doucement, voluptueusement. Je serre les dents et tente désespérément de penser à autre chose. Mon sexe était déjà prêt à exploser, comment résister à un tel traitement ? 5 minutes ? Jamais je ne tiendrais. Je pense au travail, à mes angoisses, à des paysages paisibles, tout est bon pour essayer de détourner mon attention.

Voyant que je tiens bon, Fleur change de méthode. Je sens son index s’aventurer sur mon gland et le caresser de haut en bas dans un geste lent et régulier. Mon sexe se cabre par à-coup tant il ne demande qu’à dégorger, comme s’il était parcouru d’électricité. L’irritation et l’excitation est abominable, cela va au-delà de la raison.

  • Il perle, s’exclame joyeusement Fleur !
  • Il n’a pas encore éjaculé, cela ne compte pas, conteste dame Prisca qui semble vouloir me voir gagner.

 

Réussite du test et choix final!

 

Effectivement, ma semence coule légèrement, je contracte mon périnée autant que je le peux pour me retenir. Et voilà que je sens la pointe d’une langue, en plus de l’index infernal, forcer le trou de ma queue !

  • 5 minutes, annonce Lily ! Il a tenu !

J’exhale un soupir de soulagement suivi d’un geyser de sperme qui gicle avec une force phénoménale dans les airs, provoquant de nombreux cris, autant d’amusement que de surprise. Mon sexe ne cesse de se cabrer à chaque giclé et ne semble plus vouloir s’arrêter.

  • C’est bien, tu sais obéir, tu fonctionnes, fait savoir dame Prisca avec satisfaction. Nous allons tenir parole.

Je suis enfin libéré de ma camisole. C’est à peine si je sens mon corps tant mes muscles sont engourdis de ne pas avoir bouger depuis une journée entière.

  • Il est tard, poursuit dame Prisca. Voici ce que je te propose. Tu peux t’en aller demain matin si tu le désires. Mais tu peux également rester, en connaissance de cause. Si tu fais ce choix, nous aurons tous les droits sur toi sans aucune restriction durant les trois prochains jours. Tu serviras de WC pour Lily, tu me serviras de siège mais tu seras également une poupée à torturer pour Fleur qui ne demande que ça. Et crois-moi, elle sait être cruelle. Tu dormiras parterre dans le garage, prends ce temps pour réfléchir et tu me donneras ta réponse au réveil. Maintenant va !

Déboussolé je m’éloigne, des fourmis plein les jambes, tremblant et confus.

Ma première impulsion est de vouloir m’en aller et pourtant… pourtant une excitation formidable brouille mon esprit en considérant l’autre option. Celle d’être de nouveau un jouet entre les mains de ces femmes perverses ?

Que Choisir?

Rien que d’y penser, mon sexe se raidit. N’est-ce pas là la réponse ?

FIN

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