Virginie, dominatrice sévère? : Les retrouvailles (8)

| |

Maître Virginie, dominatrice sévère? : Les retrouvailles (7)

 

 

Virginie, sa nouvelle Maîtresse dominatrice, quitta la pièce et Alain resta ainsi un moment pour reprendre ses esprits et attendre que la douleur passe.

En se réveillant, Alain mit un certain temps à émerger. Il faisait nuit dehors et les lumières étaient éteintes. Il était allongé là où il se trouvait au moment où il s’était endormi. Ses mains étaient attachées dans son dos et ses pieds attachés étaient reliés à ses mains par une corde. Il ne pouvait presque pas bouger, d’autant plus qu’il sentit assez vite la lanière de cuir autour de ses boules. La lanière était tendue et attachée à un meuble.

Devant lui, au sol, un bol rempli d’eau. il n’avait aucune idée de l’heure qu’il était ni combien de temps il avait dormi. L’appartement semblait désert, il n’y avait pas un bruit.
« Merde! Je me suis endormi. Ca va être ma fête. »

 

Attaché presque impossible d’avancer!

Alain se décida à entamer son périple de quelques centimètres vers le bol d’eau car il avait très soif. Il se mit à gigoter sur place pour voir la marge dont il disposait pour avancer vers le bol. Il réalisa que cette marge était très faible et qu’il allait devoir y allait avec précaution s’il ne voulait pas s’arracher les boules. Malgré leur utilité réduite ces derniers temps, il tenait encore à ses boules.

Cependant, il se demanda si sa vie ne serait pas plus simple sans ses boules. Après tout, Virginie s’en servait beaucoup pour le faire souffrir.
« N’importe quoi! »

Reprenant ses esprits, il se décida à élaborer un plan pour ramper jusqu’au bol sans trop souffrir. Malheureusement impossible de libérer ne serait-ce qu’une des deux boules pour gagner un peu de mou. la lanière était fermement attachée.
« Merde! »

Il gigota à nouveau afin de gagner un peu de terrain. Il se sentait comme un escargot mettant des heures à parcourir une faible distance. Quelle drôle de vie. Puis Alain se mit à réfléchir sur sa vie.
« Pourquoi suis-je comme ça ? »

 

Retour de sa Maîtresse dominatrice et d’une amie

La vie serait si simple s’il n’avait pas ce besoin d’être soumis. Il avait bien essayé le mode vanille à plusieurs reprises mais c’était plus fort que lui. Ses histoires se terminaient toujours à cause de lui et sa frustration.

Finalement c’était une mauvaise idée de réfléchir sur sa vie, il n’en avançait pas plus vite. Il reprit son périple vers le bol. En tendant la langue, il arrivait presque à atteindre le bol. Encore un petit effort. Il tira sur ses boules et put enfin plonger sa langue dans le bol. Il lapa ce qu’il put et se remit rapidement en position non douloureuse pour ses boules.
« J’ai faim »

Alain se mit à imaginer un énorme Kebab rempli de frites. Il fut extirpé de son rêve éveillé de kebab par des bruits dans le couloir de l’immeuble. Des éclats de rires de femmes, des talons qui claquaient sur le sol. Le tout se rapprochait.

Puis la porte s’ouvrit et La lumière fut, éblouissant Alain qui avait pris l’habitude de l’obscurité. Il cligna des yeux et put distinguer Virginie accompagnée d’une autre femme. Elles entrèrent dans le salon et regardèrent Alain attaché au sol.

Caroline était une femme dans la quarantaine. Elle avait un style classique et féminin. Elle portait une jupe juste au dessous des genoux avec des bottes à petits talons assez hautes pour cacher la moindre parcelle de ses jambes.

Virginie portait une robe sexy avec des bas et des escarpins à talons aiguilles.

 

Exhibé devant l’amie de sa Maîtresse dominatrice

dominatrice

 

Virginie souriait tandis que Caroline restait bouche bée devant ce spectacle.

  • Tu étais sérieuse, dit Caroline. C’est fou.

 

  • Bien sûr, dit Virginie.

 

  • Bonsoir dit timidement Caroline à Alain.

 

  • Bonsoir Madame, dit Alain gêné.

 

  • Tu es sûre qu’il va bien ? demanda Caroline en se tournant vers Virginie.

 

  • Il va très bien, répondit Virginie. Il n’a jamais été aussi heureux.

Alain resta perplexe face à cette affirmation. En fait il se demandait encore si cette situation le rendait vraiment heureux.

  • Et donc il obéit à tous tes ordres sans discuter ? demanda Caroline de plus en plus curieuse et intriguée.

 

  • Je vais te montrer, dit Virginie. Puis en s’adressant à Alain. Viens ici et baise les pieds de ton Maître larbin!

Alain se mit à gigoter pour se diriger vers Virginie. Heureusement, la lanière de cuir était attachée du côté de Virginie et il put se déplacer sans souffrir. Par contre il était toujours aussi lent et mit un certain temps à atteindre le pieds de Virginie. Les filles se mirent à rire en le voyant ainsi ramper et gigoter.

  • Le pauvre, dit Caroline.

Alain fut enfin proche de pied de Virginie et déposa ses lèvres sur son escarpin.

  • Embrasse les bottes de mon amie pour lui souhaiter la bienvenue maintenant dit Virginie.

Alain rampa jusqu’à la botte de Caroline et l’embrassa. Caroline restait figée sur place, impressionnée par ce qu’il se passait.

  • Merci, dit-elle sans réfléchir.

Virginie s’éloigna et revint avec la cravache et le bâillon boule.

  • Oh mon Dieu, dit Caroline.

Elle attacha le bâillon boule sur la bouche d’Alain et se tint fièrement devant lui.

  • Il sait qu’il doit être puni dit Virginie. n’est-ce pas ? s’adressant à Alain.

 

Cravaché par Virginie, sa dominatrice sévère

 

Alain fit oui de la tête. Virginie le cravacha à plusieurs reprises. Caroline était encore plus impressionnée par ce qu’elle voyait. Alain gigotait sous les coups de cravache qui laissaient des traces sur son corps.

  • Arrête ça dit Caroline.

Virginie cessa.

  • Ne t’inquiète pas, dit-elle. C’est un esclave et je dois le discipliner. De plus il ne demande que ça.

 

  • Je préfère ne pas voir ça dit Caroline.

 

  • D’accord, dit Virginie. J’avais fini de toutes façons.

Virginie alla s’installer sur le canapé.

  • Il faudrait le détacher, dit Caroline.
  • Tu n’as qu’à le faire dit Virginie en soupirant. Moi je n’ai pas la force.

Caroline s’accroupit à côté d’Alain et avec précaution elle commença à détacher ses liens. Alain se sentait submergé par tant de douceur. Caroline était parfois hésitante car la soirée avait été un peu arrosée mais elle faisait toujours attention. Après avoir retiré tous les liens elle alla détacher la lanière de cuir. Alain se sentait mieux.

  • Maintenant tu peux nous servir un verre, dit Virginie à Alain.

 

  • Oui Maître répondit Alain et il se dirigea vers la cuisine.

Caroline alla s’installer sur le fauteuil et regardait Alain.

  • C’est curieux comme relation, dit-elle.

 

  • Peut-être dit Virginie. Disons que c’est l’ordre naturel des choses. Il est à sa place en étant mon larbin.

 

  • Tu le penses vraiment ? Demanda Caroline.

 

  • Oui, répondit Virginie en souriant. Je suis une Déesse dominatrice pour lui.

 

Utilisé comme repose-pieds!

 

Alain revient avec deux verres et une bouteille de champagne ouverte. il servit les deux femmes et se mit à genoux près de Virginie.

  • Tu vas me servir de repose pieds larbin, dit Virginie. Mets toi à quatre pattes devant moi.

Alain se positionna à quatre pattes pour que Virginie puisse déposer ses pieds sur son dos. Elle en profita pour appuyer avec ses talons aiguilles sur sa chair.

dominatrice

Caroline observait la scène en sirotant son verre.

  • Donc c’est en quelque sorte ton petit ami, dit Caroline.

Virginie se mit à rire.

  • Oh certainement pas, dit-elle. Ce n’est qu’un larbin à mes yeux et pas un homme. J’ai un amant qui lui est un homme viril et que je respecte.

 

  • Je vois, dit Caroline en regardant Alain.

 

  • Tu aimerais que je te le prête ? demanda Virginie. Il n’est pas encore totalement dressé mais il est déjà très obéissant.

Caroline prit cette proposition comme une blague.

  • Il sait cuisiner ? demanda-t-elle en riant.

Virginie réfléchit un petit moment.

  • Je ne sais pas, dit-elle.

Elle donna un coup de talon à Alain.

  • La Dame demande si tu sais cuisiner larbin, dit-elle avec sévérité.

Alain ne savait pas trop quoi répondre.

  • Je peux apprendre Maître, répondit-il.

 

  • Bon à rien dit Virginie, il faut tout t’apprendre. Au moins tu sais faire le ménage.

 

  • Oui Maître.

Caroline déposa son verre sur la table basse.

  • Bon je vais y aller, dit-elle. Il est tard.

 

  • Il va te raccompagner, dit Virginie.

 

  • Oh ce n’est pas nécessaire, dit Caroline.

 

  • Si, si je préfère, dit Virginie.

 

Obligé de raccompagner l’amie de sa Maîtresse

Caroline se leva tandis que Virginie prenait la cage de chasteté.

  • Par contre je lui remets sa cage, dit Virginie. Sinon il va se laisser aller. Approche! dit-elle à Alain.

Alain s’approcha et Virginie installa la cage. Caroline observait la scène intriguée par cet appareil.

  • A quoi ça sert ? demanda-t-elle

 

  • A l’empêcher de se masturber, dit Virginie.

 

  • Oh mon Dieu, dit Caroline.

Alain se rhabilla pour raccompagner Caroline.

  • Tu reviens ici immédiatement après, ordonna Virginie à Alain.

 

  • Oui Maître.

Puis Alain et Caroline sortirent. Ils marchèrent jusqu’à la station de taxi.

  • Je voulais vous remercier, dit Alain à Caroline. Vous avez été gentille avec moi.

 

  • Ne me remerciez pas dit Caroline. Je n’aimais pas vous voir ainsi.

 

  • Je comprends, dit Alain. Je ne savais pas que vous veniez ce soir.

 

  • Je ne le savais pas non plus, dit Caroline. Elle m’a parlé de vous et j’étais curieuse.

Un silence se fit tandis qu’ils marchaient lentement l’un à côté de l’autre. Chacun étaient dans ses pensées. Caroline s’arrêta subitement et regarda Alain.

  • C’est vraiment ce que vous voulez ? demanda-t-elle

Alain regardait par terre sans répondre.

  • Regardez-moi, dit Caroline avec douceur.

Il leva les yeux vers elle.

  • Je ne sais pas, répondit-il.

Alain resta avec Caroline le temps de trouver un taxi puis se mit en direction de l’appartement de Virginie.

 

Retour à l’appartement de sa Maîtresse dominatrice

Tiraillé par la faim, il décida de s’arrêter chez un vendeur de kebab. Il avala rapidement son kebab et ses frites puis reprit son chemin. Il ne pouvait s’empêcher de repenser à la question de Caroline et aussi à sa réponse. Ses réflexions étaient entrecoupées de fantasmes avec l’image de Virginie, majestueuse dominatrice, dans ses cuissardes et la cravache à la main. Son excitation montait et lui rappelait la présence de la cage de chasteté.

Une fois arrivé devant la porte de l’appartement de Virginie, il sonna et attendit. Il put entendre les talons claquer au sol et se rapprochant. Virginie ouvrit la porte. Elle s’était changé entretemps et portait maintenant un corset noir et rouge, des bas et des cuissardes par dessus ainsi qu’une paire de gants longs en cuir.

L’excitation d’Alain fit un bon et tandis qu’elle se tenait devant la porte sans bouger, il se mit à quatre pattes devant elle. Elle s’écarta un peu pour le laisser passer, Alain franchit la porte et se dirigea vers le salon, suivi de Virginie, sa Maîtresse dominatrice, juste derrière lui.

Ne sachant pas quoi faire d’autre, Alain se tint à genoux au milieu du salon.

 

A suivre

Previous

Un fétichiste au service de sa secrétaire… et de son mari (1)

Une étudiante, naturellement dominatrice

Next