Un fétichiste au service de sa secrétaire… et de son mari (1)

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Je tiens à préciser que l’histoire que je vais vous conter n’est hélas que le fruit de mon imagination.  L’objet de mes fantasmes est ma secrétaire. Je suis un fétichiste des pieds et je rêve d’être aux pieds d’une femme dominatrice.

Je travaille avec ma secrétaire depuis 5 ans. Elle ne se doute très probablement de rien mais je ne peux m’empêcher d’admirer son appétence pour les chaussures. Eté comme hiver, talons comme sandales, elle est toujours parfaite du haut de son petit gabarit.

 

Fétichiste des pieds

En bon fétichiste que je suis, il m’arrive même de la prendre en photo à son insu pour pouvoir m’extasier encore un peu plus sur ses sublimes jambes et pieds manucurés.  (qu’est-ce qu’on peut être pervers dans ces moment-là).

Pour autant, malgré tout cet attirail qui mettrait à genoux n’importe lequel d’entre nous, elle ne semble avoir aucune velléité de domination envers les hommes et est totalement candide sur le sujet.

Première approche au bureau

Il est 17h30, et mon dernier collègue vient de quitter nos bureaux. Elle, est encore là, mais bientôt sur le départ. C’est le moment pour moi de tenter cette approche dont je fantasme depuis plusieurs semaines.

Je pénètre dans son bureau. Comme d’habitude, elle me sourit en me voyant arriver. Mon caractère d’ours réservé l’a fait souvent rire. Ce jour-là, elle porte de petites bottes à talon avec un jean plus serré que d’habitude. Cela fait magnifiquement ressortir ses fesses.

Je fais mine de ranger des classeurs en déplaçant face à son bureau et je me lance,

  • Tout va bien Laëtitia ?

 

  • Je ne m’en sors plus avec tous ces devis à faire, dit-elle visiblement exténué. Encore un et je file.

Négligemment, je laisse  tomber un crayon sous son bureau, et dit tout en le ramassant :

  • En tout cas, je dois dire que malgré notre charge de travail actuel, tu sembles toujours prendre du temps pour arriver parfaitement apprêté au bureau. Les bottes que tu portes sont vraiment splendides.

Je ne peux voir sa réaction, étant sous le bureau (!). Néanmoins, elle ne tarde pas à me répondre :

  • Merci, j’aime beaucoup ces bottes, bien qu’elle me fasse aussi souffrir, dit-elle en riant.

Galvanisé par sa réponse, je ne m’arrête pas en si bon chemin :

  • Puis-je faire quelque chose pour y remédier Laëtitia ?, dis-je en me relevant.

Je remarque qu’elle rougit légèrement, certainement décontenancé par ma proposition. Je n’ai jamais rien entrepris avec elle car elle est mariée. C’est donc assez troublé mais curieuse qu’elle me lance :

  • Un massage de mes pieds me ferait certainement le plus grand bien.

Massage des pieds de ma secrétaire

Je m’approche d’elle, cette dernière recule et tend ses jambes dans ma direction. Je commence moi aussi à sentir la température monter.

  • Tu peux les retirer, dit-elle, il y a une fermeture éclair à l’arrière.

De suite, je m’exécute et retire ses chaussures de la plus douce des manières possibles.

Je découvre de petites chaussettes blanches.

  • Allez enlève-les!, me lance-t-elle, avec une confiance grandissante, ce qui n’est pas pour me déplaire.

Je découvre ou plutôt re découvre ses tout petits pieds, 37 ou 38 je dirais.

Me voyant certainement en train de me rincer l’œil sur ce spectacle, elle me sort de ma léthargie :

  • tu m’as promis quelque chose, non ?, dit-elle malicieusement.

 

  • B…Bien sûr!, réponds-je en bégayant.

Même si je suis un fétichiste des pieds, je n’ai pas une grande expérience du massage. Aussi, j’essaye d’appuyer sur certaines zones tout en observant sa réaction. Je sens plusieurs points de tension se relâcher.

  • C’est parfait, dit-elle, continue!

J’alterne les mouvements, passe d’un pied à l’autre. Je veux la satisfaire. En fait, je dois la satisfaire.

Mon excitation arrive à son comble. Je meurs d’envie de les lui embrasser.

Je m’approche mais elle se redresse soudainement ;

  • Déjà cette heure, dit-elle, il faut que j’y aille, merci pour ce délicieux moment, jamais un homme n’a pris soin de moi comme cela!

 

Visiblement, elle semble aux anges.

  • Plaisir partagé, lui réponds-je.

Pourvu qu’elle ne remarque pas mon érection qui est de plus en plus encombrante.

Juste avant de partir, je lui fais signe de me tendre sa main, que j’embrasse.

  • A demain, me dit-elle avec un sourire qui en dit long.

 

Nouvelle séance de massage pour Madame (ma secrétaire!)

A peine est-elle partie que je pars me soulager aux toilettes. « Quel moment » ne fais-je que répéter, comme sous le choc de ce qui venait de se passer.

Etant donné nos horaires de bureaux assez variables, il n’est pas possible de réitérer l’expérience tous les jours. D’ailleurs, dans les jours qui ont suivis, nous n’avons jamais fait aucune allusion à ce moment passé hors du temps.

Nous finissons tout de même par avoir une nouvelle opportunité. Sauf que cette fois, c’est elle qui me demande de venir dans son bureau.

Elle a déjà retiré ses escarpins du jour et laisse ses pieds, cette fois enveloppés de collants, bien en évidence. J’essaye de contenir mon enthousiasme.

  • Tu peux te mettre à l’œuvre!, me dit-elle.

Après une petite heure, nous arrêtons là notre séance. Du moins c’est que je m’imagine.

Alors qu’elle semble quitter les lieux, elle se retourne vers moi et me lance :

  • Mets-toi à genoux et embrasse mes escarpins! Chacun d’entre eux, l’un après l’autre!

Je m’exécute immédiatement, ce qui semble la satisfaire.

  • Je ne saurais pas encore expliquer pourquoi, mais j’aime beaucoup la tournure que prend nos petits moments d’après travail, dit-elle avec un aplomb certain.

Elle ajoute,

  • Tu procèderas de cette manière à chaque fois que nous nous quitterons désormais!

 

  • Oui Madame, réponds-je.

Elle sourit.

  • C’est exact, plus de Laetitia, ce sera Madame à partir de maintenant!

Prochain massage des pieds au domicile de Madame!

Les semaines passent et ne font que renforcer son appétit de me voir à son service. D’un claquement de doigt, tel un chien de Pavlov, j’accours dans son bureau. Je passe maintenant de ses pieds à ses épaules afin d’éliminer toutes les tensions qu’elle a accumulées tout au long de la journée.

  • J’ai fait quelques recherches sur les hommes comme toi. Avant toi, je n’avais jamais côtoyé de fétichiste des pieds! me dit-elle. Je n’aurais jamais soupçonné que vous étiez si nombreux!

Après avoir effectué une dernière fois notre rituel, elle m’annonce une autre nouvelle,

  • Le bureau commence à être « étroit » pour ce que nous faisons, il faudra que tu déplaces à la maison prochainement, dit-elle.

Je suis partagé entre stress et excitation, car je sais qu’elle est mariée. Elle m’a de toute façon conditionné. Etant fétichiste des pieds, je ne peux pas (plus) lui refuser quoi ce que soit désormais.

Disgression : j’écris depuis bientôt une heure maintenant, et je sens du liquide séminal s’échapper de mon membre.

A suivre

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