L’hypnotiseuse : domina de l’esprit (5)

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L’hypnotiseuse, domina de l’esprit, ne prenait plus le temps de caresser mes fesses ou de passer ailleurs, elle était désormais clairement orientée sur mon petit trou. Elle le lubrifiait, et elle enfonçait chacun de ses doigts un après l’autre pour faire entrer ce lubrifiant en moi. Je ne pestais pas, et pourtant, j’avais l’impression qu’on forçait avec douleur cet endroit si intime. Un doigt resta plus longuement en moi puis ressortit en tournant, avant de re-rentrer de façon rapide et faire quelques allers-retours. Ensuite, ce furent deux doigts et même trois qu’elle osa introduire en moi simultanément. Je me sentais rempli et pourtant, je ne le savais pas encore, mais ce n’était rien par rapport à ce qui allait suivre…!

Mon esprit divaguait aussi, je continuais de la lécher du mieux que je pouvais, et en même temps, je ressentais un certain plaisir à être ainsi pris.

 

Arrivée du soumis de cette magnifique domina

 

Je n’avais même plus entendu la porte s’ouvrir, mon esprit était accaparé et elle me fouillait et me dépucelait comme jamais je ne l’avais été. Elle avait saisi ce que je croyais être un plug, mais je sentais mon cul gonfler, s’ouvrir sous une pression exercée intérieurement. J’entendais Madame C. utilisait une petite pompe et à chaque pression qu’elle exerçait, elle mouillait un peu plus encore.

  • Alors le chien, on se fait remplir le cul par sa Maîtresse, et on commence à aimer ça ?

Je pris une respiration entre deux coups de léchouille et mes lèvres prononcèrent un « Oui Maîtresse, venu je ne sais où !

J’avais aperçu son comparse, soumis à Madame C. aussi, nu à nos côtés, et qui se branlait en nous matant. La situation devait l’exciter. « Ma » délicieuse rousse incendiaire retira le plug gonflable et introduit un objet froid pour obliger le sphincter de mon anus à se détendre. J’ai l’impression d’être déchiré et que ça va exploser malgré la lente progression. Je tentai de stopper l’action, et Madame C. appuya sur ma tête pour la plaquer à sa petite chatte qui dégoulinait de plaisir.

Elle me coinça les bras entre ses jambes, et pour que je ne peste plus, je pris 6 coups d’une force inouïe sur les fesses. J’apprendrais plus tard que c’était un paddle en bois ! J’en oubliai la dilatation, et je sentis le sang battre dans mes fesses après ces coups dissuasifs ! Mon esprit se perdit.

 

Cela pouvait-il être pire? Mon esprit divaguait!

 

Je pensais qu’on ne pourrait pas me remplir plus que l’impression que j’en avais. C’était mal connaître la douce perversité de l’esprit de l’hypnotiseuse domina. Elle dit à son soumis :

  • Allez hop, en lice ! Et tu ne jouis que sur mon ordre!

L’écarteur ressortit de mon intimité, et avant que je ne reprenne la forme originelle, je sentis qu’on voulait m’introduire autre chose! Cela contrastait avec le froid de l’écarteur! C’était chaud et doux. Par contre, j’allais vite me rendre compte que finalement, c’était plus gros !

On força un peu l’entrée qui était restée bien ouverte. D’un seul coup, j’eus l’impression d’un rouleau compresseur, lentement mais sûrement. J’essayai de me relever. Je bougeai les bras, inutilement, car Madame C. me tenait. Je venais d’être défloré, et j’étais rempli par une queue énorme. C’était chaud, c’était dur, mais c’était surtout énorme!

Mon esprit divaguait, un premier aller retour, puis un autre, et encore un. Madame C. donna ses ordres et le rythme. Cela dura quelques minutes mais une éternité dans mon esprit. Je savais désormais ce que ressentait une femme prise ainsi. Je compris pourquoi ce n’était pas toujours apprécié. Sauf que ce n’était que le début.

  • Allez, finis le! baise le ce sale chien salope! Regarde comme son cul tendu veut te faire gicler ! Tu as une minutes pour en profiter et gicler. Si tu dépasses, tu seras en cage de nouveau pour une semaine sans gicler!

domina

Objet sexuel du soumis de la domina

 

Deux mains se posèrent sur mes hanches. Ensuite, s’ensuivit une salve d’aller-retours d’une force que j’étais bien incapable de mesurer ou comparer. Il tapait fort sur et dans mon cul. Ainsi, il me prenais sans se soucier de ce que je pouvais ressentir. Après une cinquantaine de secondes dévastatrices, je sentis ses couilles taper une dernière fois mon cul et des soubresauts sur mon anus. Je tentai de garde un esprit clair malgré tout. Il gicla dans le préservatif une quantité importante de sperme, stock d’une semaine au moins de cage si j’avais bien compris.

Il se retira (enfin !) et Madame relâcha enfin son emprise. Elle avait joui aussi sous ma langue quand il s’était mis à accélérer et à me baiser fort. Il lui tendit le préservatif, et me regarda en me disant :

  • bientôt tu le boiras à la source!

Elle vit mon regard se glacer. Elle trempa un de ses doigts et m’ordonna d’ouvrir la bouche.

  • Goûte sale chien!

J’obtempérai, craignant qu’elle n’aille plus loin si je rechignais encore.

  • Approche la baiseuse!

Son soumis vint se mettre à genoux puis ouvrit la bouche/gueule. La domina vida le contenu du préservatif dans sa bouche.

  • Malaxe et avale!

Il se gargarisa avec et avala, avant de tendre la langue pour montrer qu’il avait tout pris.

  • Ferme ta bouche, tu sens le sperme… allez dégage, je n’ai plus besoin de toi. Va te préparer pour le spectacle et sois bon ce soir, que je n’ai pas à réparer tes bêtises !

Madame C., merveilleuse domina, prend le relais… bien équipée.

 

J’espérais en avoir fini. Quelle erreur! Madame C. venait de me menotter les mains. Elle m’agenouilla sur le fauteuil dans lequel, elle était installée. Ensuite, elle passa mes bras par dessus le dossier, puis une corde au niveau de la chaîne des menottes qu’elle glissa sous le fauteuil. Ensuite, elle remonta jusqu’à mes testicules.

Après, elle tira sur la corde tendant mes bras vers le bas, et accrocha la corde autour de mes testicules. La domina rse mit à rire sans que je ne comprenne pourquoi. Ensuite, je voulus me gratter le nez, et à ce moment là, je pris conscience que je venais de tirer, assez fort, sur mes testicules !

Elle s’équipa à côté de moi d’un harnais, et me présenta « Dora » (la perforatrice et non pas l’autre bien connue !), le gode assez large mais pas trop, qui allait remplacer la queue de son soumis. Sa caractéristique première ne résidait pas dans son diamètre mais dans sa longueur. En effet, ce gode, mis en gode-ceinture, mesurait tout de même 25 cm de long et était donc en capacité d’aller au delà de la 2ème porte de votre intimité !

Celle qui devenait ma Maîtresse, rousse incendiaire, Madame C. une fois équipée, vint se mettre derrière moi, me griffa plusieurs fois le dos, et positionna le gland de ce maxi gode, sur mon anus et força aisément l’entrée. J’eus beau me tortiller, la corde me rappela que moins je bougeais, mieux je me portais. Madame C. en profita alors pour m’administrer une belle série de fessées et de griffures sur mon dos. Elle me pinça les tétons et s’enfonça progressivement dans mon rectum. Environ une quinzaine de centimètres venaient de glisser en moi et j’étais de nouveau rempli.

Que le spectacle commence…

 

Madame C. accapara désormais mon esprit et mon intimité. Elle fit quelques allers retours et se mit déjà à jouir. Je crois que déflorer le petit cul d’un soumis vierge lui plaisait particulièrement. Elle me glissa à l’oreille quelques mots  :

  • Tu vas répondre que tu veux te faire baiser longtemps, quand je vais te poser la question, que tu es en pleine possession de tes moyens et que tu es prêt à le signer.

Elle se redressa, me prit de nouveau et s’arrêta.

  • Sale chien, tu aimes que je te baise n’est ce pas ?
  • Oui Madame C!
  • …. Jusqu’à quel point, aimes tu cela ? Regarde moi pour me le dire!

Je tournai tant bien que mal mon visage en tentant de ne pas trop bouger les bras.

  • Madame C., j’aimerais que vous soyez ma Maîtresse et que vous me baisiez longtemps, toute ma vie! (elle bougea un peu le bassin pour m’aider à poursuivre le discours) Je suis en pleine possession de mes moyens et de mes pensées et suis prêt à signer pour vous prouver mon plaisir d’être à vous.

Elle sourit, et s’enfonça en moi. Il y avait encore 10 bons centimètres disponibles! D’un coup, je sentis qu’une autre partie de mon intimité céda. Elle était jusque dans mon côlon, et ce que je ressentais, devenait indescriptible. Pas une douleur, mais juste terriblement curieux, insupportable d’imaginer qu’elle puisse rester ainsi. Elle éclata de rire! J’étais honteux et j’étais possédé. Elle faisait de mini mouvements, pour me rappeler qui défonçait qui! Elle saisit ma queue, et de façon incompréhensible, je me mis à bander. Madame C. me branla fort, me pinça de nouveau les tétons et je jouis encore une fois.

La récompense, un esprit libéré

Elle termina en sortant ce gode improbable, et passa sa tête sur le côté. Ensuite, elle me branla encore et me prit en bouche. Je ne pouvais pas bouger d’un millimètre avec la corde sur mes testicules. Sa bouche était divine et je bandais fort en quelques instants. Elle s’arrêta, et me dit :

  • Bon, il va falloir que j’y aille, les spectateurs sont déjà là.  Je te laisse comme ça ou tu es capable de gicler en moins d’une minute ?

A peine ces mots prononcés, qu’en serrant ma queue dans sa main, je me mis à gicler comme si je n’attendais que cela. Madame C. s’en mordit la lèvre de satisfaction, récupérant un peu mon jus au creux de sa main. Je tremblais. Elle me détacha pour que je puisse m’asseoir, et tendit sa main sous mon nez.

  • Allez trempe ta langue!

Je ne pouvais lui refuser après le plaisir qu’elle venait de me donner. Et pendant que je tendis la langue, elle ajouta:

  • Regarde un peu plus vers le haut mon chien, puisque je peux désormais dire « mon » chien après tes aveux filmés et les images compromettantes que j’ai maintenant en ma possession.

Elle avait tout préparé, pénétré mon esprit. Dans les mois qui suivirent, cette domina m’obligea à changer de vie et à devenir leur assistant à tous les deux. Ainsi, je devins un esclave du plaisir et un bon chien salope. L’hypnotiseuse, domina de l’esprit, avait eu raison de moi. C’était certainement finalement ce que j’espérais, inconsciemment, pour que j’en arrive là !

 

à suivre!

 

Si vous voulez découvrir Dora, dans un autre article d’un site dédié aussi à la domination féminine et je crois complice de slave-selection : http://jedominemonmari.com/dora-la-perforatrice/

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1 réflexion au sujet de « L’hypnotiseuse : domina de l’esprit (5) »

  1. Merci Madame Caroline d’avoir pris le temps de me corriger et ainsi publier mon texte avec cette jolie rousse incendiaire ! 😉
    Et d’avoir accompagné ce texte d’une si belle image illustrant ces cheveux de feu…
    En espérant que ce récit plaira aux lectrices et lecteurs !
    BienaVous

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