L’immeuble (1) : Installation chez mon hôtesse dominatrice

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hôtesse dominatriceL’immeuble (1) : je m’installe chez mon hôtesse dominatrice

Voilà, c’est fait. Je viens d’emménager dans ma petite chambre de bonne au dernier étage de cet immeuble haussmannien. Une « chambre de bonne », je souris en y pensant. Voilà bien mon statut maintenant. Après que ma femme vienne de me quitter avec mes enfants, divorce pour faute, je dois, comme punition, lui verser une très lourde contribution financière chaque mois. Je dois, donc, me contenter de ce petit appartement sombre et sans meuble. Mes finances sont au plus bas. Mon moral aussi. Et mon amour propre va encore plus mal. Mais je vais vite comprendre qu’il peut encore être rabaissé.

Seul rayon de soleil pour moi, cette femme rencontrée sur un site. Nous avons discuté en ligne. Puis nous nous sommes vus pour boire un verre dans un bar. Elle représente tout ce que j’ai toujours aimé : elle est plus âgée que moi, une cinquantaine éblouissante. Elle est grande, imposante, brune aux yeux cernés de noir, cheveux attachés en queue de cheval. Elle me rappelle ma maitresse d’école, celle qui m’a offert mes premiers émois d’adolescent ! Lors de ce premier rendez-vous, elle a tout de suite pris les choses en mains, en me disant qu’elle était à la recherche d’un homme qui sache rester à sa place de serviteur de la gente féminine. J’ai rigolé mais elle a fixé mon regard et j’ai compris que ce n’était pas juste une image. Je n’avais jamais expérimenté la soumission à une femme. Même si cela m’a toujours taraudé. Voyant ma situation personnelle compliquée, elle me propose de me louer à un tarif très avantageux la petite chambre qu’elle possède au dessus de son appartement. J’avoue que je n’avais pas trop le choix.  J’ai aussi aimé que cette femme que je connaissais à peine prenne déjà les choses en mains pour m’aider à sortir de l’ornière dans laquelle je m’étais mis. Qu’elle décide pour moi de ce qui devait être bon pour moi. Quel soulagement de ne plus devoir tout assumer seul. Voilà comment, quelques jours plus tard, je me retrouve à poser mes trois valises, vestiges de plus de 20 ans de mariage tombé à l’eau, dans cette petite chambre mansardée.

Nous sommes vendredi soir. Je pose mes affaires et je n’ai pas le temps de les déballer. « Madame » m’a invité chez elle. Je ne connais pas son prénom, sur le site elle se faisait simplement appeler « Madame M ». Et j’avoue que je n’ai même pas pensé à lui demander son prénom, ni même son nom de famille tant tout s’est passé vite depuis notre première rencontre. Elle souhaite me faire rencontrer quelques uns des voisins de ce petit immeuble. « Tu verras, il règne ici une ambiance familiale. Nous nous connaissons tous et nous nous apprécions. Il est bien pour toi de rencontrer ces gens que tu vas forcément croiser dans l’immeuble ». Je suis touché par une telle attention. C’est vraiment sympathique de sa part. Je sonne donc à sa porte à 18h, comme convenu. Il m’a simplement fallu descendre le petit escalier qui mène à son appartement. Madame m’ouvre la porte. Elle est habillée d’une jupe noire très stricte, perchée sur des talons hauts. Un chemisier en soie blanche laisse apparaître un soutien gorge noir. Je baisse les yeux, un peu gêné de voir sans y être invité ce qu’elle exhibe à mon regard. « Bienvenue Luc, entre ». La porte se referme. Elle pose sa main sur ma nuque et me conduit le long d’un couloir qui me semble interminable. Nous arrivons dans un salon cossu. D’emblée elle enchaine.

– Je suis heureuse que tu sois venu. Tu as bien compris que je suis une femme qui sait ce qu’elle veut et qui n’aime pas être déçue, n’est-ce pas, Luc ?.

-euh oui, bien sûr : je bredouille alors, surpris moi-même de ma réponse.

-Bien, je souhaite de présenter mes voisins mais tu dois suivre mes consignes. D’abord, s’il te plait, dépose tes habits sur cette chaise, je te veux nu! 

-Quoi, mais enfin je… 

-Silence! : tonne t’elle alors qu’elle me décoche une gifle qui me laisse sans voix.

-Tu as accepté mon offre d’hébergement. Tu es venu chez moi, ici se sont mes règles qui s’appliquent, tu savais ce que tu faisais, alors maintenant obéis vite avant que je ne m’énerve ! 

Croyez-le ou non, mais j’ai obéi. Je ne sais toujours pas pourquoi. Mais cette voix autoritaire et ferme m’a laissé sans défense. Sans doute avais-je aussi tellement envie de me laisser aller entre des mains fermes, ne plus avoir à décider et assumer après ces longs mois de descente aux enfers durant lesquels ma famille a explosé… Je me suis alors retrouvé nu. Dans ce grand salon bourgeois très éclairé, les miroirs sur les murs me renvoient l’image d’un petit garçon cachant son sexe de ses mains. Inspecté par le regard inquisiteur de cette femme, mon hôtesse dominatrice, que je ne connais presque pas mais à qui j’ai déjà trop souvent dit oui.

-Je comprends pourquoi ta femme t’as laissé mon pauvre Luc. Regarde moi ces bourrelets ! Dommage, tu as un beau physique sinon. Tes fesses sont fermes! : dit celle qui allait me posséder en tâtant de sa main mes fesses nues. Elle empoigne alors mes « poignées d’amour ».

-Je vais te faire fondre tout ça, tu es un peu gras, pathétique… Et ne cache pas ton petit asticot, lui aussi me fais bien rire ! : dit-elle tout en écartant mes mains de mon sexe qui pendouille alors bêtement entre mes jambes flageolantes.

Je n’ai pas le temps de répondre ou de m’exprimer qu’elle pose un bandeau sur mes yeux. Je devrais alors fuir comme tout être doué de raison, mais elle prend ma main dans sa main et cela suffit à me rassurer.

-Viens, suis moi ! : me susurre-t-elle à l’oreille.

Je veux imaginer qu’elle me conduit à sa chambre et je sens alors ma queue qui devient ferme. Sous mes pieds nus, je sens le bois chaud du parquet puis un sol froid, comme du carrelage. Je reste debout ainsi alors que je sens que Madame fixe autour de mes poignets et chevilles comme des bracelets. Une sensation plutôt douce.

-Veux tu bien te mettre à quatre pattes un instant mon cher! : me demande-t-elle.

Une voix suave qui tranche avec sa fermeté de tout à l’heure. Comme un petit garçon qui ne veut pas fâcher sa Maîtresse, je m’exécute, sans avoir la moindre idée de ce qui m’attend. Je sens bien un carrelage froid sous mes genoux et les paumes de mes mains.

Clic, Clic, Clic,Clic !

En un instant, je sens que les bracelets fixés à mes poignets et chevilles se tendent. Et je me retrouve… immobilisé !

– Mais enfin, qu’est-ce qui se passe ? 

– ha tu réalises enfin ! Mais c’est trop tard pour toi ma petite lope ! : lance alors la voix de nouveau cassante et sévère. Une main enlève le bandeau sur mes yeux. Apparait alors, juste sous mon nez la cuvette blanche d’un WC ! Je suis attaché à quatre pattes sur un carrelage blanc où sont fixés des anneaux, eux-même fixés à mes poignets et chevilles. Une position humiliante juste devant la cuvette.

– Tu es venue à moi mais tu résistes encore à tes désirs les plus noirs. Je vais devoir te dresser, te briser pour que tu acceptes enfin d’être la petite chienne que j’attends. Et cela commence ce soir. Je reçois mes voisins et amis pour un cocktail. C’est la bonne occasion de te présenter à eux. Tu seras aussi à leur service lorsque je t’aurais dressé convenablement. Pour une première rencontre, j’ai pensé que ta place était dans les toilettes. Tu les rencontreras au fil de la soirée, je compte sur toi pour ne pas me décevoir face à eux!

Sur ces mots, je sens mon coup être enserré dans un collier de cuir. Une laisse est reliée à l’anneau du collier et mon hôtesse dominatrice l’attache à un autre anneau situé sur le mur derrière la cuvette. Je me retrouve alors à quatre pattes sur le sol, ne pouvant bouger. Le cou tendu vers l’avant m’obligeant à regarder cette cuvette toute proche.

-Humm je vois que ce petit anus est encore vierge, parfait, c’est bien ce que j’espérais : lâche ma geôlière.

J’entends alors un bruit crispant et dans le miroir au dessus du lavabo, je la vois manier un rouleau de gros scotch noir. Elle écarte mes fesses et je sens le collant sur mes fesses ouvrir mon petit trou. Quelques minutes plus tard, le cul scotché je sens l’air frais de la salle de bain qui glisse sur mon anus bien ouvert.

-Voilà, comme ça tout le monde pourra en profiter ! : termine Madame, mon hôtesse dominatrice, qui sort de la pièce en éteignant la lumière.

à suivre…

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4 réflexions au sujet de “L’immeuble (1) : Installation chez mon hôtesse dominatrice”

  1. bonjour
    vos textes sont bien écrits mais ils sont anesthésiés,
    le soumis n éprouve rien
    aucune craintes, aucuns plaisirs, aucuns conflits internes,
    dite qu il est mort de trouille quand elle ferme la lumière des toilettes
    que malgré cela il bande comme un homme à quatre pattes
    qu’il sens de la honte et qu’il est humilié mais tellement bien enfin il est à sa place

    • Chère M.Sarah, attendez de lire la suite pour voir cette descente en enfer et la renaissance qui sera (peut-être) au rendez-vous… les choses doivent aller crescendo pour en savourer toute la délicatesse…

      Bien à vous.

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