Sissy Aline soumise à Maîtresse Anne-Marie (14)  

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Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette arrivent vêtues, chacune, d’une robe fourreau fendue jusqu’au haut des cuisses au couleur que porte leur Sissy.

Chacune d’elle a un petit sac en plus de leur pochette assortie. Nos Maîtresses, avec un drôle de sourire, nous annoncent avoir chacune un cadeau pour leur Sissy. Ensuite, elles nous tendent à chacune le sac puis elles guettent notre réaction.

Sacrée surprise, nous découvrons un collier de notre couleur avec gravé dessus notre nom précédé par notre condition de « SISSY ». Les boucles d’oreille sont explicites, également. Ce sont des pendentifs « Queen of spad », avec une gravure où le mot Sissy viendra se plaquer sur notre lobe percée.

Il y a, également, un bijou, pour la cheville, avec la gravure »SISSY ».

Nous n’avons que cinq minutes, avant le départ, pour nous parer de ces nouveaux bijoux. Aussi, nous nous entraidons pour les boucles et le collier, mais trois minutes sont déjà écoulées. Ainsi, ôter nos chaînes pour passer les lettres de « SISSY » puis les remettre, est impossible dans le temps imparti.

Dans un éclat de rire, Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette annoncent :

  • Punition pour toutes les trois, nous verrons lors de notre arrivée à notre lieu de réveillon.

 

En route vers la soirée du Nouvel An

sissy

Nous sommes très stressées car nous ne savons ce qui nous attend ni même le lieu où nous devons conduire nos Maîtresses.

Cette fois-ci, c’est Sissy Michèle qui a été choisie pour conduire la voiture. La règle en cas d’erreur de sa part reste inchangée. Punitions pour nous toutes!

Nous nous retrouvons, toutes les trois assises devant. Nos Maîtresses se prélassent à l’arrière dans des sièges individuels de ce van Vito. Elles ont, même, positionné leur siège, en face à face, pour mieux discuter.

Comme Sissy Michèle n’a jamais conduit ce type de Van avant, un coup de volant inopiné nous secoue toutes. La sanction tombe.  Maîtresse Anne-Marie nous annonce que nous auront, toutes, droit à une punition. Ensuite, les trois Maîtresses éclatent de rire!

Apparemment, elles ont prévu depuis longtemps de nous infliger des punitions durant cette soirée de réveillon du Nouvel An.

Après trente minutes de trajet, nous découvrons, enfin, un manoir. Le portail automatique avec caméra s’ouvre après l’appel au téléphone de Maîtresse Odette.

Entouré de haut mur, nous découvrons un parc avec des croix et autres objets dispersés un peu partout. Nous pensons, immédiatement à un donjon.

De chaque côté de l’escalier, nous découvrons deux homme soumis, enveloppés, des pinces aux seins avec chaines et qui tiennent un luminaire, au dessus de leur tête.

 

A notre arrivée au manoir, accueillies par une Maîtresse et son soumis enchaîné!

En haut de l’escalier, une Maîtresse, habillée comme Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette, en robe fourreau nous accueille. Elle tient, en laisse, un soumis enchaîné, les mains et bras bloqués dans le dos. Il porte une cagoule et seuls, les yeux sont visibles. Un bâillon de belle taille lui distend la mâchoire. Son sexe est encagé dans une cage de très petite taille. De son gland, écrasé, sort une sonde. Ses pieds sont enfermés dans des chaussures qui ressemblent plus à des brodequins et doivent tenir ses pieds à l’étroit.

L’hôte nous regardent puis elle s’adresse à Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette:

  •  Bienvenues, vos Sissies sont très attendues!

Nous nous regardons, une lueur de crainte dans les yeux. En effet, nous savons ce qu’une telle phrase souvent sous-entend. D’ailleurs, nos craintes se révéleront fondées durant la soirée.

En entrant dans le manoir, nous découvrons, principalement, des femmes, ou plutôt des Maîtresses. Toutes sont accompagnées soit par un soumis soit par une soumise.

Je ne vois pas d’autres Sissy. Serions-nous les seules présentes pour le réveillon?

 

Obligées de défiler devant les autres invités!

Une soubrette, les pieds entravés, sort d’une pièce avec un plateau. Impossible de savoir si c’est une Sissy ou une soumise.

A la demande de ces dames, nous devons défiler et nous montrer, sous les commentaires de certaines qui n’aime pas les Sissy. D’autres, au contraire, trouvent plaisant de nous voir ainsi. Elles détaillent notre tenue ainsi que nos formes qui se sont bien apparentes suite au traitement administré à toutes les trois.

Ce traitement a, en effet, entrainé la disparition de nos clitos. Ils sont devenus, tellement, minuscules, qu’une cage ne sert plus à rien.

Pour moi, Sissy Aline, suite à une opération je n’ai plus de sperme. Quant à l’érection, ce n’est plus qu’un ancien souvenir. Il est tellement minuscule qu’il passe inaperçu recroquevillé en moi moins de un centimètre.

Je suis parfaitement heureuse de cette situation. Ainsi je n’ai plus de souci de ce côté.

Les rires de certaines Maîtresses glissent sur nous car nous les ressentons comme de vains quolibets. Sissy Michèle, Hortense et moi, nous regardons, en conservant notre sourire comme le veulent nos Maîtresses.

Cela a le don d’irriter ces personnes. Tandis que la majorité nous regarde avec bienveillance et surtout certaine envie envers nos Maîtresses, d’avoir de telles Sissies.

 

Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette, nous ordonnent d’aller ver les tables le long du mur. En approchant, nous apercevons des mousquetons qui garnissent les tables et les cuirs qui pendent.

 

Attachées et exposées puis coups de martinet sur nos fesses!

Sissy Michèle reçoit l’ordre de nous attacher, chacune à un bout, les mains et chevilles aux mousquetons du bas des pieds de table. Nous sommes courbées en avant jambes écartées mais surtout les bras tendus tête en bas.

Tout le monde peut assister au spectacle de deux Sissies, avec leur mini-jupe relevée et leur intimité exposée, mais surtout le rosebud bien visible. On peut aussi voir les bas, porte –jarretelles et corsets!

Sissy Michèle pensait échapper; mais les trois Maîtresses l’installent, à son tour, entre nous deux, avec un écartement plus important pour les chevilles. Comme elle se plaint de ce fait, un coup de cravache lui cingle les cuisses.

Ensuite, nous restons exposées pendant que les Maîtresses discutent de leur « chose », de leur avantage et défaut, ainsi que le changement de leur « époux » en Sissy.

Nous ne savons pas depuis combien de temps, nous sommes attachées mais la tête commence à nous tourner et nos épaules à être douloureuses.

Nos Maîtresses nous ramènent à la réalité par une volée de coups de martinet sur nos cuisses et fesses. Les mains détachées des pieds de table, sont ramenées dans le dos et cadenassées. Nos épaules, maintenant, tirées en arrière se rappellent douloureusement à nous.

Je gémis, Sissy Hortense et Sissy Michèle également. Nous recevons, de ce fait, des coups de cravaches sur le haut des cuisses, chacune une vingtaine. D’après Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette, nous faisons les douillettes.

 

A la merci de six Maîtresses!

Elles demandent si il est possible de leur prêter des soumises ou soumis pour nous bâillonner. Finalement, une des Maîtresses qui n’aime pas les Sissies se propose. Ensuite, deux autres font de même.

Une drôle de tension envahit la pièce. Nos Maîtresses acceptent. Nous voilà à la merci de six Maîtresses. Ces dernières arrivent avec des bâillons plug, enfin plutôt des godemichets, étant donné la taille.

Nous avons du mal à les prendre en bouche. Avec nos mâchoires distendues, notre respiration est plus difficile. Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette nous font respirer au dessus d’un flacon. C’est la première fois mais une drôle de sensation m’envahit. Apparemment, il en est de même pour Sissy Hortense et Sissy Michèle.

Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette, nous précisent:

  • c’est du « popper »! Vous allez être encore plus dans votre rôle et jouir de votre punition!

 

Les premiers coups arrivent, puis c’est en cadence que nos Maîtresses et les autres nous font revivre une séance de punition avec les cravaches.

Ainsi attachées, nos postérieurs et nos cuisses subissent les assauts de leur cravache. Ce n’est qu’une fois que nous sommes en pleurs avec des hoquets entrecoupant notre respiration nasale, qu’elles arrêtent.

Finalement, nous nous écroulons sur la table. Elles retirent le bâillon. Notre mâchoire est tellement distendue que nous avons du mal à refermer la bouche.

 

Obligées de respirer des « poppers »

Pendant que nous essayons de rependre notre respiration, nos Maîtresses arrivent avec les flacons. A nouveau, nous respirons du « poppers » et je vois que Sissy Hortense et Sissy Michèle subissent les mêmes effets  avec ce produit.

Nous sommes, encore, sur la table à rependre nos esprits. Je vois Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette ôter les rosebuds. Maîtresse Anne-Marie fait pareil avec moi.

Soudain, je sens quelque chose s’introduire dans ma chatte.  Ce doit être une Maîtresse! Sissy Hortense et Sissy Michèle semblent, aussi, surprises. Nous nous regardons, un peu effrayées car nous ne comprenons pas ce qui se passe!

Je me souviens de la taille des godemichets que j’ai aperçu tout à l’heure. A ce souvenir, je frémis. Ainsi, j’ai beau essayer de me décontracter, je sens ma chatte se distendre. Maîtresse Anne-Marie me fait à nouveau respirer du « popper ». J’ai l’impression d’une dilatation hors norme. Comme je pleure à nouveau, le bâillon revient.

Je subis la chose. Ensuite, après une respiration profonde de popper, soudain, je me relâche et décolle sous de spasmes de jouissance rarement vécus. Je vois que pour Sissy Hortense et Michèle, il en va de même.

 

Sensations de douleurs et jouissances jusqu’à un sentiment de félicité!

Une des Maîtresses dubitatives sur les Sissies revient sur ses paroles et trouve plaisant de pouvoir prendre son plaisir tout en faisant celui d’une Sissy.

Ma chatte est en feu, mais un plaisir et une jouissance puissante m’ont terrassé, ce qui n’a pas plus à Maîtresse Anne-Marie. J’ai jouis sans son autorisation et, j’ai, donc, droit à une nouvelle punition.

Je reçois, en moi, un plug électrique, des électrodes sur les plis de l’aine et, à la fin, des pinces sur mes tétons. Le tout est relié à plusieurs boitiers. Maîtresse Anne-Marie, Maîtresse Maryse, et Maîtresse Odette rient de voir ma tête. En effet, j’ai peur des décharges que n’importe quelle Maîtresse peut m’infliger.

Cela arrive vite. Je me tords sous les décharges qui se succèdent et aussi, toutes ensembles. Je ne peux plus me contrôler sous toutes ces décharges.

Soudainement mon corps se cambre.

Une onde le parcourt. Je ressens une sensation où douleurs et jouissance se mêlent. Mon corps n’est plus à moi mais à ces ondes qui m’amènent jusqu’à la félicité!

Je ne suis plus moi, Maîtresse Anne-Marie s’en aperçoit et vient m’embrasser après que je l’ai remercié de cette séance.

Revenant parmi l’assemblée, je vois mes deux consœurs dans des états semblables.

Elles me disent avoir eu du plaisir mais apparemment j’aurai été encore plus loin. J’aurais été dans les limbes au moins dix minutes.

 

Quel bonheur d’être une Sissy et de se sentir femme!

Nous devons nous rendre à la salle d’eau pour nous remaquiller et réajuster nos tenues. Sur ordre de nos Maîtresses, deux soumises doivent nous aider.

Une d’elles nous demande pourquoi nous acceptons d’être Sissy. Elle se demande comment on peut vivre, en tant que femme alors qu’on est né de l’autre sexe.

Toutes les trois, nous éclatons de rire puis nous lui rétorquons:

  • Pour nous c’est naturel, c’est en nous de vivre ainsi, un bonheur de se sentir femme !!!

C’est là que nous nous apercevons que l’autre soumise est un Sissy. Sa réponse et encore plus affirmée que nous car elle veut faire sa transition si sa Maîtresse l’autorise.

Il faut dire que pour nous les traitements suffisent déjà. Ils nous transforment déjà le corps car toutes les trois, nous avons une vraie poitrine plus de pilosité et des rondeurs qui enfin modèlent notre corps.

LA SUITE DU RÉVEILLON  (à suivre)

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