La jeune dominatrice et Le jeu d’école (4)

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jeune dominatrice

 

Uniquement parce que demandé, je vais vous raconter la suite de mon petit jeu avec ma camarade d’école qui s’est révélée être une jeune dominatrice impitoyable. Dans un premier temps,  je préférais  laisser place à vos imaginations et garder cette partie pour moi. 

 

Première victoire pour cette jeune dominatrice!

 

Ma chance tourna à la suite de cette déconvenue et je perdis deux fois de suite.

– Enfin ! Enfin une carte rouge, cria-t-elle au comble de l’excitation. Cette fois, Valentin, tu vas devoir dépasser tes limites !

Ma frayeur devant la carte rouge qu’elle piocha se transforma en surprise devant sa mine bougonne. Apercevant mon étonnement, elle soupira : 

– C’est la moins bien des 5. J’aurais beaucoup apprécié le « cuni: tellement je suis mouillée, mais on dirait qu’il va falloir patienter encore un peu. Tant pis. Mets-toi à genoux et lève la tête mon chien !

Obéissant, je levai le museau après avoir ramené mes jambes dans leur position soumise. Debout devant moi, elle me dominait de tout son être et sembler en tirer des préliminaires affolants. Je découvris, pour ma part et pour la première fois son beau corps en sous-vêtements, parure préférée dans mes goûts à la nudité. Mon érection répondit donc à son désir, ce qui lui donna un beau sourire de victoire. Cette jeune dominatrice avait vaincu la virilité d’un garçon et gagné un esclave de jeu. 

 

Début de l’humiliation pour le jeune soumis!

 

Elle passa sa main sur mon visage doucement, frottant volontairement mes yeux pour tester sans doute ma capacité à tenir ma position. Elle se pencha alors sensuellement vers ma tête dressée, les lèvres en avant, comme si elle allait déposer un baiser sur les miennes. Au comble de l’excitation, je n’attendais plus que cela et fermai presque les yeux dans l’attente de cette délivrance. Toutefois, elle s’arrêta à quelques centimètres de mon visage et m’ordonna :

– Ouvre la bouche, en grand.

J’obéis, ignorant ses projets. Elle déglutit alors élégamment et serra ses lèvres devenues magnifiques devant mes yeux. Un filet de bave s’en dégagea doucement, accompagné d’un glaviot travaillé ces dernières secondes. Elle le laissa couler jusqu’à ma bouche grande ouverte et se poser sur ma langue. J’hésitai entre dégout et plaisir lié à l’humiliation subie. Je ne tenais plus en place. Je n’osai néanmoins pas refermer la bouche de peur de la punition. Une fois le mollard sur ma langue, elle me prit les joues dans les mains et me cracha bruyamment dans la bouche. 

– Avale ! Ordonna-t-elle toute fière. 

 

Entre dégout et plaisir lié à l’humiliation!

 

Par fanatisme devant la bénédiction divine qui venait de m’être faite, je pris une seconde en fermant la bouche pour savourer le nectar acerbe qui m’avait été partagé avant de l’avaler. Je compris à ce moment-là toute l’aura qui commençait à nous entourer tous les deux dans un jeu devenu réel. 

– Qui a composé le Boléro ? Me demanda-t-elle pour reprendre le jeu. 

– Aucune idée…

– Chouette ! Me lança-t-elle comme une enfant transie. Deux cartes rouges d’un coup, tu effacerais sûrement ma frustration. Prête pour la question de ta souffrance ? 

– Je vous écoute, Maîtresse. 

– J’adore. Qui a fondé le journal l’Humanité en 1904 ?

– Jean Jaurès. Il faudra te passer de carte rouge cette fois, souris-je avec un clin d’œil. 

Elle réprima mon sourire de son air bougon et comme pour se porter chance dans sa quête de domination, posa son pied droit sur mon épaule pour la question suivante :

– Quelle est la nationalité de la première ministre assassinée Benazir Bhutto ? 

– Indienne ? 

Jana me repoussa alors violemment du pied au sol en riant. 

– Pakistanaise ! Perdu ! Bleu c’est déjà pas si mal ! Alors, voyons ce que nous avons là…

 

Sadisme de la part de la jeune dominatrice !

 

Je tremblai au souvenir du ballbusting et espérai un mal moindre pour compenser le passage récent du rouge. 

– Allonge-toi par terre. Je vais te piétiner le visage pendant trente secondes. Avec un peu de chance, je te décolle la mâchoire ou te crève un œil. J’en jouirai directement je pense !

Sadisme ou fantasme de blesser un garçon pour son seul plaisir ? Je l’ignorais. Etait-ce la douleur qu’elle m’infligeait qui l’excitait ? Ou bien le pouvoir que lui conférait cette possibilité ? Pour ma part, je n’étais pas masochiste pour deux sous, mais la savoir toute puissante sur moi ne fit qu’accroître mon érection d’adolescent. 

Une fois que je fus en position, elle monta directement sur mon torse, me coupant le souffle par la force de sa démarche. Elle me regarda tenter de me plier en deux pour recouvrer ma respiration avec un sourire narquois :

– Tu ne peux plus respirer mon chien ? Veux-tu que je descende de ton ventre ? 

 

Suite du jeu !

 

Ses talons enfoncés dans mon plexus solaire me contraignirent à hocher la tête, ce qui lui procura la plus grande joie. Elle planta tout son poids sur sa jambe gauche et avança doucement son pied opposé vers mon visage. Elle le remua de façon très humiliante pour moi juste au-dessus de mes yeux, comme attendant mes suppliques pour le poser sur ma tête.

– Pitié maîtresse… Soufflai-je sans grand bruit. 

Elle éclata de rire alors et écrasa sa plante sur mon nez, avant d’y peser de tout son poids. Je me sentis totalement écrasé. Je crus perdre connaissance, jusqu’à ce que son deuxième pied vienne répartir le poids sur ma joue. Pendant que je cherchais désespérément à respirer, elle s’amusait au contraire à boucher de ses orteils mes voies respiratoires. Je l’entendais rire encore et encore tandis que ma teinte devait virer à l’écarlate.

Quand les trente secondes, doublées pour et par son bon plaisir, furent achevées, elle leva successivement ses deux pointes de pieds vers mes lèvres et ordonna :

– Fais un bisou. Encore. 

Aussitôt ses attentes comblées, elle se rassit devant sa pile de carte et en dégaina des nouvelles. Mon attention avait toutefois chuté suite au léger étourdissement causé par la dernière épreuve et je m’opposai à une seconde carte rouge. 

– La meilleure, sourit-elle en lisant le contenu de la cruelle carte. Elle les vaut toutes ! Suis-moi, on change de pièce !

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9 réflexions au sujet de “La jeune dominatrice et Le jeu d’école (4)”

  1. J’adore cette histoire et mais comme tout ce qui ont laisser un commentaire je souhaiterais savoir la suite et la fin de ce jeu.

  2. génial il ne faut pas vous arrêter !!!
    vivement la suite pour ma part et puis comme c’est un jeu « scolaire » pourquoi n’iraient-ils pas à l’école dans les prochaine histoire 😉

    à très vite j’espère 😉

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