Aux prises avec une ancienne élève, Maîtresse dominatrice (2)

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Je suis poussé dans un couloir et quand la porte s’ouvre, j’entre dans un luxueux appartement. Ma Maîtresse me
presse vers le salon fortement décoré de façon sombre et ors, avec des fauteuils et canapés recouverts de cuir
sombre.

  • A poil !

 

  • Oui Maîtresses !

 

Tremblant j’obtempère, mais ma hâte fait que je m’emberlificote et perds du temps. Je me sens scruté,
observé… Me voilà, nu, sexe tendu au max comme jamais.

  • Tu enlèves tes lunettes. Mains derrière la tête et jambes écartées !

Je m’exécute.

Et ça dure un long moment. Elles bougent parfois, s’approchent, une me palpe les fesses, l’autre me prend
un téton et le pince fort, puis elles s’éloignent. Maîtresse Maura vient par derrière et passe une de ses
cuissardes sur mes fesses puis vient frotter mes couilles entre les jambes. Je sens ses seins se frotter sur
mon dos, puis elle repart.

 

 

Giflé par Maîtresse Laure

 

Maîtresse Laure s’approche et me donne une gifle, puis une autre. Je titube puis je me retrouve mon équilibre. On n’entend que les souffles, les bruits des mouvements qu’elles font en tournant autour de moi. Elles s’approchent puis elles s’éloignent.

Maîtresse Maura, avance ses doigts pour ouvrir ma bouche puis m’en met un qu’elle fait coulisser.

 

  • Suce grosse salope de soumis!

 

Et je suce ce doigt, je salive dessus. Elle en rajoute un second. Elle a enlevé sa veste et je la vois en
corset qui montre sa poitrine plus qu’il ne la cache. Cela dure un petit moment mais pour moi, j’ai l’impression  que cela dure une éternité !

 

  • Maintenant gros porc, tu vas aller te laver !

 

 Je sens Maitresse Laure me prendre par une oreille et me mener à travers l’appartement vers une salle
de bains spacieuse avec une baignoire dans laquelle, on me fait monter. Ensuite, elle prend le pommeau de douche règle un peu la température et me mouille à jet fort. Je prends le savon que Maîtresse Maura m’a montré et m’en
passe partout. Ensuite,  j’ai le droit à un rinçage en règle qui n’épargne aucune partie de mon corps.

Maîtresse Maura arrive avec un appareil avec des roulettes qui comporte une outre transparente, remplie d’eau. Il y a un tuyau au bout duquel se trouve une canule. Elle me fait plier et retourner puis entre sans ménagement la canule dans mon anus. Et je sens le liquide qui commence à m’emplir. Elles affichent toutes les deux un petit air sadique.

Elles ne me parlent pas. Je n’ose pas interrompre ce silence même si je commence à avoir le fondement rempli.

  • Tu gardes ça un moment ! On veut ton cul tout propre.

 

Aucune pitié de la part de mes deux Maîtresses!

 

Mon regard implore pitié, mais elles n’en tiennent pas compte. Je gesticule sur moi même, aggravant les mouvements dans mon ventre ballonné. Ensuite, après un temps insoutenable Maîtresse Maura apporte un grand récipient.

  • Vide-toi là dedans !

Et là, ce sont les chutes du Niagara! Très libérateur!

  • Ca pue ! s’exclame Maîtresse Laure en riant faussement indignée. Il est vraiment corrompu
    jusqu’à l’intérieur ce cochon. Je parie qu’il ne sait pas s’entretenir ; rien qu’à voir ces poils sur
    son corps. Faudra s’occuper de ça aussi !

Ensuite, on me jette un grande serviette éponge en m’indiquant de revenir au salon quand j’aurai fini. Ensuite, elles me présentent un mini coussin en cuir au sol placé au milieu de la grande pièce sur un tapis blanc.

  • Tu te mets à genoux là-dessus, front au sol, dos cambré, cul relevé et cuisses écartées.

 

  • Oui Maîtresses !

Et j’obtempère sous leur regard.

De nouveau un long silence s’installe. Je sens l’air passer sur mes fesses et leurs regards posés sur mon corps livré à leurs quatre volontés. Et, brusquement, après que Maîtresse Laure se soit levée, je sens une brulure, puis une autre.  Elle s’attaque à mon fessier avec la cravache, parfois par coups réguliers, parfois sans prévenir après s’être interrompue. La brulure enfle, je gémis, je crie, des larmes viennent couler sur mes joues. Je tortille mes fesses pensant éviter la cravache mais mes mouvements maladroits n’évitent rien.

Maîtresse

Après les coups de cravache…

 

Je ne sais même pas combien de coups elle a pu m’asséner quand elle s’arrête enfin. Je sanglote.

  • On dit Merci Maîtresse ! Baise le bout de cette cravache qui t’a infligé la punition !

 

  • Merci Maîtresse Laure, merci de m’avoir puni pour le trot que je vous ai fait !

 

  • Oh, c’est aussi pour mon plaisir, pour te voir pleurer, gémir comme un minable ! Maintenant baise la main qui tenait la cravache! Oui lèche moi dans la paume de la main! Lèche et remercie la main qui t’a endolori et martyrisé! Maintenant, baise puis lèche mes escarpins! Oui, tu sens le cuir? Tu sens la sueur à l’approche de mes chevilles? Lèche, esclave, honore ta Maîtresse!

Pendant que je lèche les escarpins de Maitresse Laure, Maîtresse Maura vient effleurer mes fesses rougies et je tressaille. Ensuite, je sens un liquide couler sur le sillon anal et un doigt qui pénètre mon anus en forçant!

  • On va commencer ton traitement de grosse salope ! Ton cul serré doit s’ouvrir ! Il nous appartient, tu seras bourré, possédé. Tu apprendras à jouir de ton vagin de mâle !

Elle pousse et enfonce son doigt. Je gémis et je tente de bloquer sa marche en avant en fermant mon muscle anal mais elle force ce qui ne fait qu’accroître ma douleur. Quand elle retire son doigt, je me détends. Elle en profite pour en mettre deux, et reprendre son travail. Je sens que je bande à nouveau car elle s’attarde sur ma prostate. Du reste, elle m’a attrapé les couilles et tire dessus.

  • Continue à t’occuper de mes escarpins, s’impatiente Maîtresse Laure.

 

…transformé en serviteur puis…

 

Je ne sais plus où où je suis.  En fait je ne suis plus qu’un cul qu’on ouvre, des couilles qu’on malaxe ou tire, une langue qui lèche du cuir. Un troisième doigt s’incruste dans l’anus et là je crie. Une forte gifle s’abat sur ma fesse encore endolorie par la cravache. Mais la manœuvre a permis que je ne sois plus sur mes garde et mon sphincter a relâché sa résistance. Elle coulisse ses doigts en me traitant de grosse salope.

Puis Maîtresse Laure retire sa jambe et va s’assoir, Maîtresse Maura retire ses doigts et je sens un vide dans mon séant. Elle se relève et va s’assoir.

  • Sur le meuble au fond, il y a du whisky et des verres, à la cuisine tu trouveras des glaçons..
    Dépêche-toi de nous servir, esclave !

Je m’empresse de me relever et de préparer leur apéritif. Je n’ai aucune idée de l’heure, aucune notion du monde extérieur. Il n’y a plus que leurs ordres auxquels obéir. Ayant préparé tout ce qu’il faut, je viens vers elles et dépose à leur côté un verre et les olives que j’avais vu prêtes à l’emploi à la cuisine. Je suis debout, penché et Maîtresse Laure me caresse les cuisses, l’entre-jambes puis me tapote doucement mon fessier encore traumatisé.

  • C’est bien petit prof vicieux.. tu fais un bon serviteur ! Cela me fait tant de bien de te voir rabaissé, avili, tout docile et servile à mon service. Je suis contente de ce jour de rencontre. Je crois qu’avec Maura, on va en profiter un max. Ton enfer sera peut être ton paradis de soumis.

 

…en tapis de sol sur un simple signe de doigt de Maîtresse Maura

 

Puis sur un signe du doigt Maîtresse Maura m’appelle, et le même scénario de palpations recommence en silence. Ensuite, elle ne me demande de m’allonger sur le dos à une certaine distance de son canapé. Enfin, elle pose un de ses
pieds chaussé dans une cuissarde sur mon ventre, puis l’autre sur mon sexe gonflé en écartant mes cuisses pour s’installer.

Je ne bouge plus, me voilà transformé en tapis de sol. Les deux Maîtresses entament une conversation qui me passe au
dessus. Je ne suis plus qu’un tapis de sol.

Puis j’entends sans la voir Maîtresse Laure bouger et faire tomber ses chaussures. Elle vient s’assoir près de Maîtresse Maura et me met un pied au dessus de la bouche.

  • Sens ma sueur, lèche mon pied, goûte le ! Je te fais un cadeau de roi là ! L’odeur et le goût de mes pieds!

Et dans le même temps, l’autre pied se pose sur ma poitrine sur laquelle elle appuie par petits mouvements. Je hume ce pied qui sent un mélange de cuir et de sueur. En fait, j’oscille entre la gène et le plaisir… et c’est le plaisir qui vient après le désagrément. Tout d’un coup, je me découvre fétichiste de l’odeur, du goût que je découvre en prenant son pied qu’elle met (les orteils dans ma bouche).

Dans le même temps, avec son talon, Maîtresse Maura érafle mon ventre, et avec l’autre écrase mon sexe, puis va relever mes couilles, et ainsi de suite. Je me suis devenu leur jouet sexuel. Il n’y a aucune trêve, aucun répit!

 

Mes deux Maîtresses s’embrassent!

 

Maîtresse Laure me met l’autre pied en bouche et essuie le premier sur mon front puis dans mes cheveux. J’entends des bruits et je commence à prendre conscience qu’elles s’embrassent doucement d’abord puis assez furieusement. Elles relâchent un peu leur pression sur le tapis de sol, mais je prends garde à continuer de lécher le pied que j’ai en bouche. Quand le pied sort de la bouche, je lèche la plante avant que celui-ci ne vienne se plaquer sur ma bouche comme pour me la fermer.

J’entends les bruits de caresses qui fouillent des vêtements. Mes Maîtresses sont lesbiennes, et je ne m’en étais pas rendu compte. Elles avaient raison de flairer en moi le puceau qui n’y comprend rien. Et je suis heureux de sentir qu’elles me font assez confiance pour s’aimer là juste au-dessus de moi !

J’ai quand même un peu de mal à respirer, mais je n’ose troubler ce moment de sensualité forte qui du reste fait un effet sur la tension de mon sexe un peu moins écrasé qu’auparavant par la semelle de Maîtresse Maura. En effet, elle se concentre sur un sujet beaucoup plus important que ma misérable queue.

 

De nouveau, giflé!

 

Au bout d’un long moment, long, long, pendant lequel je m’applique à être immobile et silencieux, je sens qu’elles se
relèvent. Elles soufflent et se mettent à rire. Il s’agit d’un rire libre et puissant qui respire le bonheur et la complicité. D’un seul coup, Maîtresse Laure, se redresse, se lève et se penche vers moi puis me gifle à deux reprises en m’enjoignant de ne pas bouger. Ensuite, elle s’en va en annonçant qu’elle va se doucher.

Alors Maîtresse Maura m’invite à me mettre à genoux à ses pieds, visage relevé vers elle, cuisses écartées. Elle me fixe, puis ses mains aux ongles acérées viennent travailler mes tétons plus fortement qu’ils ne l’ont été jusqu’alors, quand ce n’était qu’une prise de contact avec mon corps. J’en ai le souffle coupé. Et elle, elle affiche un sourire carnassier.
Puis elle se met à me gifler, fort ou moins fort, mais suffisamment pour me tirer des larmes : mon regard d’incompréhension la fait éclater de rire à nouveau mais ça ne l’apitoie pas pour autant.

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