Maîtresse S.

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Première rencontre avec Maîtresse S.

14h30, j’arrive au donjon de Maîtresse S. avec cinq minutes d’avance, juste assez pour ne plus faire demi tour.

En rentrant dans la bâtisse, je suis décomposé, translucide, à la limite de la crise cardiaque. Et ce n’est pas dû à la tenue de soubrette que je porte sous mes vêtements.

Pourtant après plus de 15 ans de pièges avec des Maitresse vénales, je sens qu’il se passe déjà autre chose.  Je pense que c’est surement à cause de ce Regard !

Et, soudain, ce regard est là, face à moi. Je découvre ce corps frêle et fort à la foi. ça s’emballe! J’expédie les présentations d’usage, car je ne m’en sens plus capable. Vite mon refuge, ma cagoule!

C’est fait, ouf, présentations des forces en présences, le pilori, la roue tournante, le lit d’acier, et le portique à bondage! Je réapprends à être à quatre pattes.

Il est temps pour moi de tester les soudures, et surtout à la Maîtresse de ces lieux de me découvrir.

J’ai toujours aussi peur, je n’ose pas regarder Maitresse. La pièce me perturbe, mes bras sont levés aussi haut que Maîtresse le peut, et je découvre les joies du martinet and Co! Ma peur se dissipe au fur et à mesure que le désire monte, et j’expérimente un black out et un vrai!

Mon stress s’évapore. Malgré les entraves, je me libère. J’ai trop attendu un tel moment pour le refuser. En plus, je n’ai pas l’envie de m’opposer à Maîtresse. Elle veut que je me lâche et me pousse dans mes retranchements. Les pinces au sexe, aux tétons, et la cravache, sont de bons outils. Je commence à souffler et à couiner même. Mes deux hémisphères se battent en duel.

 

Première expérience avec le pilori

 

Apres avoir joué avec ma grande taille, Maîtresse me fait essayer le beau pilori. Contrainte supplémentaire, il est un peu bas pour moi, et la commence ce que je recherchais depuis moult année, un vrai test anal. Je ne sais pas ce que j’ai pris, mais ce fut une délivrance.

Le plaisir a commencé vraiment à monter. Je me suis entendu en redemander. Après, j’entends le sourire de Maîtresse dans ses ordres. Mes jambes s’effondrent. Intelligemment, Maîtresse me fait changer d’ustensile.

La table, vu mille fois sur le net, et sous différente forme, je dois reconnaitre que cet outil est magnifique, un peu froid mais magnifique. Je dérouille, et du peu, que je peux voir, car enfin je commence à regarder les choses réellement. Ainsi, je pense que Maitresse s’est défoulée.

Je ne sais quels diamètres et profondeur ,j’ai accepté, mais ce que je sais « putain que c’est bon ». Maintenant, je pense pouvoir avoir l’autorisation de Maîtresse pour écrire que je suis une grosse salope.

Je ne pensais pas que l’on pouvait se faire défoncer à un pareil rythme. L’orgasme est là, mais j’obéis à la consigne et j’ai tenu bon. Je pense avoir joui du cul quand même, à vérifier.

Pendant tout ce temp, je pense que mes tétons et mon sexe ont subi des pinces, mais dans quelles mesures ?? Je ne sais plus.

Il ne restait plus qu’un outil qu’elle n’avait pas utilisé sur moi, la roue! Je crois que c’est à ce moment là que Maîtresse m’a accordé une pose.  Je savais pertinemment que ma saloperie de taille allait encore m’handicaper. Gagné! J’en ai souffert. Vous ne pouvez pas savoir combien il est difficile de vouloir se laisser tomber et de ne pas pouvoir. De plus, j’ai subi une séance de coups de cravache pour que les pinces tombent. Je ne sais combien de temps cela a duré. Les pinces ne voulaient pas tomber, mais Maîtresse a une belle dextérité. En fait, j’ai beaucoup aimé cela aussi. Ce fût un moment de découverte et de vrai bonheur.

J’avais oublié toute notion du temps. Ensuite, Maîtresse m’a descendu et m’a dit de me mettre à genoux pour me branler. La panique est revenue. Tout bon soumis qui se respecte, doit tôt ou tard, s’habituer au sperme. Malgré de nombreux essais, je ne m’y suis jamais fait. J’ai eu peur. Maîtresse l’a vu. Mais je sais que je n’y échapperais pas longtemps, elle me la dit.

En résumé, j’ai vécu un moment inoubliable et je crois que je viens de me trouver une addiction supplémentaire : Maîtresse S!

 

Deuxième séance avec Maîtresse S.

 

Même heure, même endroit, cependant, je suis plus détendu que la première fois! J’ai même failli être en retard.

Vite, l’entrée, h-1 minute, ouf, Je me presse d’aller embrasser la main de ma Maîtresse.

Toujours aussi douce, je la regarde bien, car je sais que cette visite va se faire dans le noir, je mémorise. Elle est belle ma Maîtresse. Le noir lui va à ravir! Surtout avec le nouvel éclairage, nécessaire pour, c’était la surprise, une séance photos…

Voila la cagoule placé, Maîtresse vérifie mon « chaps » en latex, mon Plug et le « cockring » que je dois porter, me félicite. Je suis aux anges.

Cela ne dure pas, mon Plug, collé dans mon fondement est trituré. Je me retrouve dans des positions que je commence à maitriser, mais Maîtresse me surprend. En effet, un truc froid et rond est introduit dans mon cul. Grâce au chaines qui m’entourent, je comprends vite ce qu’il m’arrive.

Je suis suspendu sur le bâti du donjon à la foi par le cul et par mon collier. Le travail réalisé sur mon sexe et mes tétons me pousse à la limite de la pendaison. Mon cou en souffre encore après une nuit réparatrice. Cependant, Maîtresse est une experte, elle sait me faire reprendre une position supportable par le travail de mes bourses ou de mon anus.

 

Le plaisir dans la souffrance arrive…

 

L’acte 2 arrive! Je suis libéré de la suspension, que je commençais à apprécier. Elle devine tout Maîtresse. Voici que je suis travaillé à quatre pattes. Enfin, je finis plutôt la tête effondrée sur le parquet, sous les assauts de ma complice. Je dois prendre des poses, remonter mon cul et me cambrer au maximum. Je sens le corps de Maitresse très proche. Elle doit poser également pour ce photographe invisible. Mes jambes fatiguent, mais je retrouve un second souffle.

Je suis perturbé. Des portes s’ouvrent puis se ferment. Il y a d’autres pas que ceux de Maîtresse. Qui me regarde ?ou qui m’immortalise ?…je resterais dans l’ignorance. Je dois garder la pose, tout en souffrant. Le temps se décompose, mon cul aussi. Les caresses, griffures, et coups de martinet de maitresse me gardent en transe.

Il est temps de faire un gros câlin à mon ami le pilori. J’essaye de simuler un refus, mais nous savons tout les deux que cela est inéluctable. Je découvre les joies des pinces lestées sur mes bourses. J’aime toujours autant le travail quasi permanent de mes tétons. Il me permet des me surpasser pour le plaisir de Madame.

Je suis déplacé. Ainsi, je pense que je dois être pris sous différents angles. Maîtresse prend sont temps pour me défoncer mon anus déjà extrêmement dilaté par ses passages manuels. Mes jambes ne me tiennent plus, mais ce pilori est solide. Il me supporte, je pense même que je fusionne avec le métal un certain moment.

Maîtresse m’autorise une pose, avant de tester la roue. Une ceinture énorme m’immobilise. Elle me prend sous les côtes et m’empêche de me tendre. J’en ai d’ailleurs quelques belles trace rouge. Il est temps pour Maîtresse de jouer avec ses pinces. Je m’attends à ce qu’elle sautent comme la dernière fois par des coups de cravache, mais il n’en est rien.

 

Premier test avec la roue!

 

Après une augmentation du volume de la musique, je réalise trop tard que je vais hurler. En une seule foi, l’intégralité des pinces m’est arrachée. Puis, je me retrouve la tète en bas, ben oui, une roue ça tourne, c’est physique à souhait, douloureux même, si seulement je pouvais me tendre! C’est un vicieux celui qui a mis la ceinture à cette hauteur.

De retour dans le bon sens, je détecte une chaleur et une odeur de paraffine! Angoisse, brulure? Il n’en est rien. Maîtresse maitrise. Je ne me porte plus, seul l’harnachement me permet de rester debout. Comme souvent d’ailleurs, j’adore, ma tète est vidée, mais je sais qu’il me reste une tache, ultime qui se rapproche.

Je dois me finir! Un blocage nait déjà sur la roue, je ne veux pas car je redoute encore l’issu. Le travail des tétons m’y contraint, mais aussi me libère.

Je remercie Maîtresse pour ne m’avoir forcé à ne mettre que la langue dans ma semence. En effet, je ne suis pas prêt. Je la remercie également de s’être si bien amusée avec moi.

Mais je suis surtout très fier que Maitresse m’appelle SON soumis et qu’elle veuille me présenter à ses amis.

Pour finir, en tout cas, j’ai du faire du bruit ou la porte était bien ouverte. Ainsi, je constate que les deux compères à la sortie affichent un large sourire. Quant à moi, j’ai hâte que Maîtresse aie le temps de s’occuper de nouveau de moi.

Il parait que les photos circulent déjà…

Merci Maitresse S!

Voila!

Troisième séance avec Maîtresse S.

 

Un mois après, je suis de nouveau convié par Maîtresse S.

Arrivé tout juste pour l’essayage de ma parure, collier et menottes de pieds et mains en aciers sur mesure, et vite le cœur bâtant, je me dépêche d’aller voir ma Maîtresse car un mois sans la voir, c’est long.

Maîtresse est resplendissante! Sa tenue est différente. En effet, une partie infime de son corps est visible. On en parlera plus tard. Pour la première fois, enfin, je ne suis plus un soumis sans collier. Le moment est important, Maîtresse l’immortalise. MERCI.

Je vais vivre la séance sans porter la cagoule. En fait, je réalise que ce n’est pas évident!  Ainsi, je dois fermer mes yeux, et essayer de mettre mes mains devant. J’ai toujours vécu les séances, complètement masqué, ou dans la pénombre, y compris à la maison! Le regard de Maîtresse, l’observer prendre du plaisir ou se défouler, c’est finalement super agréable.

Je peux même l’aider ou mieux me placer. Enfin, j’ai fini par aimer surtout après un bon tour sur la table où mes mains on étés intelligemment enchainées, j’ai pu observer Maîtresse. Mon cul, a été une première fois explosé et mes têtons, travaillés à souhait. J’ai failli franchir le pas, mais j’ai tenu bon. Mon sexe a été emprisonné par des pinces, et couronné par d’autre. Leur retrait a été jouissif.

Je suis chatouilleur, pour le bonheur de Maîtresse qui l’a découvert, et en a bien profité alors que mes pieds étaient enchainés également…subtil..

Massage de pieds pour Maîtresse S.

Puis j’ai pu montrer mes capacités de massage, sur les pieds et mollets de Maîtresse. J’aime faire plaisir à ma Maîtresse qui m’a autorisé à parler et a discuter.  J’ai aimé, je ne savais pas que c’était possible…moment très agréable…

Ensuite, elle m’a remis la cagoule et a explosé mon cul sur le pilori. J’ai beaucoup souffert mais j’ai, également, aimé. C’était très physique avec les pinces au sexe, et aux tétons. Enfin, j’ai vécu un grand moment avec le fouet, le gode ceinture et pour finir les griffes de Madame. Malheureusement, les griffures sont encore présentes sur mes bras et sur le haut du dos.

Cette séance a été plus longue que les autres. Mais vous devez savoir sublime Maîtresse que c’était très bon et que je prends de plus en plus plaisir à devenir votre soumis et votre salope.

Lors d’une autre séance, j’ai pu vivre ma première jouissance anale.

Avant de me rendre chez ma Maîtresse pour cette nouvelle séance, je dois porter un gode pendant plus de 10 heures, avec une ceinture de chasteté, et des vêtements en latex. Je décide d’expédier les  tâches ménagères et j’arrive en avance chez ma Maîtresse adorée.

Je suis enchainé avec mon collier et les bracelets. Ensuite, elle me donne des coups de cravache. J’apprends toujours à me tenir correctement et il y a beaucoup de travail. Maîtresse me fait croire que je vais garder la ceinture de chasteté. La pression dans la cage, se fait sentir avec le travail des tétons et de mon cul.

Puis, elle m’attache sur la table. L’acier est froid. Sans la cagoule, j’ai tout le loisir d’admirer ma Maîtresse, mais également de découvrir ce qui va m’arriver.

Ensuite, j’ai le droit à une petite pause car Maîtresse a soif. Après, il est temps pour moi de passer sur le pilori, mais elle a fixé sur moi un bâillon boule. Il s’agit d’une première pour moi, que je n’ai pas vraiment apprécié. En effet, j’ai une grande gueule donc il sert pas a grand-chose. Finalement, ma Maîtresse préfère m’entendre hurler!

Pour fêter mon anniversaire, ma Maîtresse a décidé de m’infliger 38 coups de cravache! Le dernier coup me fait plier jusqu’au sol. Malheureusement Maîtresse a beau s’acharner, je ne marque pas assez à son gout. Les coups pleuvent…Quelques gouttes perlent de mes yeux, puis un sentiment inconnu m’envahit, je ne sens plus les coups, je tends même mon cul pour en prendre plus, j’adore!

Maîtresse alterne, avec mon cul, mes tétons étant difficilement accessible à cause du latex, mon trou déguste pour eux, mas je ne déguste pas longtemps. Le plaisir qui est immense prend le dessus assez vite.

Oui j’aime me faire défoncer le cul! Oui maintenant je suis capable de dire que je suis LA salope de ma Maîtresse. Je rentre d’en un état second. Enfin, je vais jouir, je préviens maitresse qui m’en interdit, mais le plaisir anal est immense, je me retiens grâce à de très gros efforts.

C’est la fin, je dois me finir, malgré un long et excellent travail des tétons je n’y arrive pas, je suis désemparé.

Je viens de jouir du cul, comme le dit Maîtresse, et apparemment il est donc normal que je n’arrive plus à éjaculer…quelle frustration énorme!

Quoi que, mon cul étant dans un état pitoyable, je dois bien reconnaitre que j’ai pris mon pied, et cela d’une façon inconnue.

Je me rends compte que j’ai encore beaucoup à apprendre et à découvrir.

Mon apprentissage avec Maîtresse S, ne fait que commencer

Ma frustration de ne pas avoir éjaculé grandit sur le chemin du retour, elle m’accompagnera dans mon sommeil!

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