Un apprenti soumis très sage (2)

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Après une première journée de stage haute en couleur et en émotion, j’étais plus que troublé par ce qui venait de m’arriver. Cette rencontre avec ma nouvelle responsable m’avait mis dans tous mes états. Je ne cessais de repenser à son regard hautain me toisant quand j’étais à genoux face à elle. En fait, j’avais l’envie irrépressible de retourner la voir, pour faire preuve de plus de dévotion encore. Il me fallait pour cela attendre encore un peu. En effet, la boutique de chaussures était fermée le lendemain car il s’agissait d’un jour férié. En tant que soumis très sage, je vivais un véritable supplice. Cependant, cela rendait mon retour d’autant plus agréable…

De retour à la boutique de chaussures!

J’arrivai cette fois-ci avec un peu d’avance. Donc, je faisais le pieds de grue devant l’entrée quand je vis arriver ma cruelle supérieure hiérarchique.
  • Bonjour Madame
  • Tiens, te voila…
J’admirai son tailleur strict quand elle ouvrit la porte et je ressentis déjà en moi le désir monter.
  • Vas me chercher un café en face pendant que j’allume la boutique! Aujourd’hui, nous continuons la mise en pratique!
  • Bien Madame
Alors que je revenais un café bouillant à la main, je la vis, déjà assise, dans son fauteuil, trônant avec dédain devant moi. Elle se saisit de sa boisson.
  • Referme la porte à clef derrière toi…  (Après une pause) quoi, je n’ai rien entendu ?!
  • Bien Madame, à vos ordres!
  • Je préfère ça. On va prendre un petit temps encore pour une mise en situation, on verra bien si tu mérites d’être sous mes ordres. A ta place !

 

 

soumis très sage

Giflé par la responsable de la boutique!

Son ton était encore plus sévère que l’avant-veille. Je commençai à rougir. En fait, je crois que je devins de la même couleur que cette paire d’escarpins rouges vernis dans la vitrine. Je luttais contre ma gêne et surtout mon excitation grandissante, ployant le genou devant elle, incapable de lui résister.
  • Bien. Comme je tu l’auras compris, je suis très exigeante, mais une fois façonné par mes mains tu seras prêt à servir, je vais faire de toi un petit soumis très sage, un parfait larbin!
Elle se mit à rire à gorge déployée.
  • Première question! Comment doit-on entretenir des cuissardes? Dis-moi, qu’est-ce que tu proposes ?

 

  • Et bien, heu, si c’est du cuir il faut mettre du cirage, éventuellement un imperméabilisant…
  • Et si tu n’as pas tout ça ? Comment ferais-tu là maintenant pour faire briller mes bottes ?
  • Je crois qu’il faudrait commencer par les frotter avec un chiffon
  • Un chiffon ? Un peu comme cette espèce de torchon que tu portes sur le dos c’est ça ? Fais-moi voir ça dépêches-toi !
Je restais là interloqué, immobile car je n’étais pas sûr de savoir où elle voulait en venir. Je fus rapidement sorti de ma torpeur par une gifle cinglante.
  • Enlève tout de suite ton tee-shirt, tu n’es pas ici pour rêver imbécile !
J’obtempérai sans broncher, surpris que j’étais par cette claque qui m’avais bien secoué.
  • Bien Madame
  • Il va falloir penser à faire des abdos, tu m’en ferras 50 tous les soirs dorénavant. Frotte maintenant !

Désir total d’appartenir à cette vraie domina

Et voilà que j’étais réduis à l’état d’esclave. Cette fois, il n’y avait plus de doute. C’était une vraie domina, une Femme comme j’en avais toujours rêvé, je ne désirais plus qu’une seule chose à présent, lui appartenir.
Je passai délicatement mon vêtement sur les contours de ses souliers dans un silence glacial. Seul le bruit des passants dans la rue se faisait entendre, et me faisait craindre que quelqu’un nous surprenne à travers la vitre.
  • Voilà qui est mieux, et la prochaine fois que je te corrige je veux que tu me remercies, déjà que je prends le temps de m’occuper de la lopette que tu es.
  • Merci Madame…
Ses mots raisonnaient en moi, j’étais fou de désir pour ma tyrannique Maîtresse!
  • N’oublie pas les semelles, tu devrais être fier de porter un peu de ma boue sur toi ah ahah!

 

Son rire était délectable, je sentais son plaisir vicieux à me soumettre ainsi à sa volonté.

  • Et ensuite, comment vas-tu nourrir la matière, les faire briller ?
  • Et bien je je, je ne sais pas Madame pardon

Totalement enivré par la puissance et l’autorité de ma délicieuse tortionnaire!

Une nouvelle gifle me rappela à l’ordre.
  • Merci Madame
  • Et ta langue alors, elle ne sert qu’à dire des bêtises c’est ça, tu te fous de moi ou quoi ?!
  • Je vous demande sincèrement pardon Madame, c’est bête de ma part.
  • Je ne te le fais pas dire ! Lèche-moi les bottes immédiatement, et applique-toi !
Je n’avais jamais été humilié comme ça auparavant. Ainsi, je vivais un véritable rêve mais les yeux ouverts. C’était plus grisant que tout ce que j’aurais pu imaginer. Et c’est là que comme un vulgaire chien, je me penchai pour caresser du bout de ma langue le bout de sa chaussure. Je ne quittais pas des yeux ma délicieuse tortionnaire, tout en en lapant consciencieusement chaque centimètre de bas en haut. J’étais si enivré par sa puissance et son autorité que je lâchais un profond gémissement trahissant mon ressenti.
  • C’est que ça à l’air de te plaire en plus, hein, serpillère ? Me dit-elle en me crachant en pleine figure
  • Oui Madame, j’aime ça…
  • Bien, je vais valider ton inscription chez moi. Enfin, j’ai beaucoup de choses à t’apprendre je crois. Il faut que tu comprennes au plus profond de toi qui commande, et que tu assumes ton infériorité. Je veux que tu m’obéisses au doigt et à l’œil, en toute circonstance, et si tu es un soumis très sage, tu pourras nettoyer mes souliers tous les jours.
  • Je vous en fais la promesse Madame, faites de moi tout ce que vous voudrez, je me soumets à votre autorité!
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